Projet:Wikiconcours lycéen 2013/Académie d'Amiens

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Page pour la coordination académique : 1 lycée engagé dans le concours

CLEMI de l'académie d'Amiens[modifier | modifier le code]

Participants[modifier | modifier le code]

Lycée des Métiers du Tertiaire Romain Rolland[modifier | modifier le code]

Travail réalisé par Mme Sophie Van Hamme, professeur de lettres-histoire, et Mme Céline Bonnard, professeur documentaliste, du Lycée professionnel Romain Rolland avec la classe de seconde Bac Pro 2MRCU2. Nous participons au wikiconcours des lycéens 2013 en créant un article sur les femmes espionnes de la Grande Guerre.

Les élèves sont :[modifier | modifier le code]

BEAUQUET Mélissa BELLENGER Océane BORDET Danielle CHOWDHURY Noman DEJAEGER Quentin DOMONT Brendan DUCLOS Doryan GODIN David HERBETTE Yasmine JOUIN Chrystopher LANGLAIS Miriame LEBLOND Mallaury LEFEBVRE Mallaury MACE Gwenaele MIEZI Afonso PERET Mégane REBIDJ Samy SAKER Nettie SARAIVA GUERRA Samantha

Articles créés ou améliorés[modifier | modifier le code]

Espionnes dans la Grande Guerre[modifier | modifier le code]

Le contexte :[modifier | modifier le code]

Au début du XXème siècle, des femmes revendiquent des droits politiques, civiques et sociaux. En 1914, tandis que les hommes rejoignent leurs unités, les mouvement féministes suspendent leurs revendications. Les femmes constituent alors une force de travail indispensable : aux champs, à l'usine, derrière les guichets, dans les classes, les tramways... En août 1914, le front se stabilise des Flandres à la frontière suisse. Dans le nord de la France, l'occupation est féroce : incendies, pillages, exécutions sommaires, déportation... Certaines femmes proposent de s'enrôler dans l'armée, mais les autorités militaires refusent leur concours "non conforme à la règlementation internationale". Pourtant des femmes patriotes, seules ou en réseau, résistent aux Allemands [1].

Leurs motivations :[modifier | modifier le code]

Elles sont variées : il s'agit de l'amour de la patrie, ou bien d'un dévouement qui trouve ses fondements dans la religion, de la haine de l'Allemand, d'une solidarité avec les hommes de la famille partis combattre ou encore de l'appât du gain (les services secrets paient cinquante francs par mois les observatrices).

Qui sont ces femmes ?[modifier | modifier le code]

Elles sont issues de toutes les classes sociales. On trouve des aristocrates, qui utilisent leur connaissance des langues. Ainsi, Louise de Bettignies crée avec son amie Léonie van Houtte le réseau Alice qui transporte des messages dans le nord de la France, en Belgique, et les fait transmettre à l'Intelligence Service aux Pays-Bas. La princesse Marie de Croÿ, avec Louise Thuliez, monte également, depuis son château, un réseau pour retirer des zones allemandes des prisonniers français évadés. Des infirmières, comme Édith Cavell, cachent des soldats dans les ambulances. Certaines sont institutrices, comme Angèle Lecat qui utilise des pigeons voyageurs. Il y a de simple particulières, comme Marie-Thérèse Lhermitte, dont le jardin surplombe la ligne ferroviaire Lille - La Bassée, et qui, la journée, compte les trains tout en tricotant. Des veuves, des mères seules, comme Mathilde Lebrun, localisent les dépôts de munitions allemands [2][3].

Leurs rôles :[modifier | modifier le code]

Les agents, quels qu'elles soient, déposent et récupèrent des messages dans des boîtes aux lettres, afin que les renseignements soient centralisés et acheminés aux Pays-Bas. Les rapports sont cachés dans des talons de chaussure, dans des tablettes de chocolat, dans le creux des manches de parapluie, des poignées de valises, des baleines de corset, des ourlets, de boutons. Elles cherchent des renseignements sur l'emplacement des canons, des aérodromes. Des femmes se prostituent pour connaître les numéros et les positions des régiments ennemis [3].

La reconnaissance de la nation :[modifier | modifier le code]

Certaines femmes sont capturées, emprisonnées ou abattues, comme Édith Cavell, dont l'exécution par les Allemands a un énorme retentissement dans les opinions publiques alliées. Les espionnes tuées auront leur nom inscrit sur le monument aux morts de leur commune ; peu ont un monument érigé spécifiquement à leur mémoire. Angèle Lecat donnera son nom à une école. Quelques espionnes obtiendront la Légion d'Honneur, mais la gratitude de la patrie n'a pas été à la mesure des sacrifices et des risques pris [4].

Sources :[modifier | modifier le code]

[1]Les espionnes dans la Grande Guerre, Chantal Antier, Mariane Walle, OLivier Lathaie, collection Ecrits, éd. Ouest France. [2]1914-1918 : combats de femme, "les femmes, piliers de l'effort de guerre", Evelyne Morin Rotureau (dir.), collection Mémoire, éd. Autrement. [3]Héroines de la Grande Guerre, Jean-Marc Binot, éditions Fayard. [4]Sandrine Heiser, « « Votre ancêtre était… une femme » ! », Revue historique des armées [En ligne], 272 | 2013, mis en ligne le 18 septembre 2013, consulté le 27 mars 2014. URL : http://rha.revues.org/7786.

Articles des élèves :[modifier | modifier le code]

Femmes espionnes dans la Grande guerre[modifier | modifier le code]

Problématique : Quels rôles jouaient les femmes avant et pendant la guerre 14-18 ?[modifier | modifier le code]

Contexte :[modifier | modifier le code]

Avant la guerre, la femme est cantonnée chez elle hormis les ouvrières qui travaillaient aux mines. Elles revendiquent des droits tels les droits de vote. Ainsi les « suffragettes » manifestent allant parfois jusqu'à saccager des bureaux de vote. Parmi elles, la personnalité de Louise Weiss en est une de ses représentantes. -Pourquoi les femmes vont jouer en rôles pendant la guerre ? Les femmes vont remplacer les hommes au travail, essentiellement dans les mines et les travaux agricoles, tandis que d’autres vont devenir espionnes.

Les femmes ont dû remplacer les hommes :[modifier | modifier le code]

Lorsque les effectifs masculins s’amenuisaient au fur et à mesure pour aller combattre sur le front, les femmes, dans un bel élan de solidarité national, s’engagèrent dans la vie de la cité et du pays tout entier. On vit alors ces femmes, la vielle encore cantonnées dans leurs taches ménagères, affirmer leur personnalité : elles furent dans les usines a tourner les obus, dans les tramways et les autobus, dans le métro, receveuses et même conductrices, elles enseignaient dans les écoles et les lycées de garçons, à la place des mobilisés, elles conduisaient les ambulances au front. A la campagne, elles géraient la têtes des exploitations rurales, et tout cela sans pour autant négliger leurs taches traditionnelles au seins de leur familles et dans le fermes (cf. Histoire mondiale de la femme ; tome4, sous la direction de Pierre Grimal, éd Nouvelles Librairie de France, 1974)

Les femmes revendiquant l’égalité des salaires :[modifier | modifier le code]

Aussi, conscientes de l’imortance du role elles revendiquaient des droits d’autant plus que, dans bien des familles, l’absence définitive du père ou du mari tué pendant la guerre les obligeaient à continuer leurs travail. C’est alors qu’on assista aux magnifestations des « suffragettes » exigeant notamment l’égalité des salaires enntres elles et les hommes : «  à travail égal, salaire égal », demandaient-elles. Comment devient-on espionnes ? Louise de béttigny, figure emblématique des femmes espionnes, s’engage dans l’espionnage pour aider la France. Marie de Croÿ et Edith Cavell paeticipent elles-aussi à l’espionnage tout en provenant de la bourgeoisie, ceci afin de donhjner du sens à leurs vies. L’on trouve ainsi des industrices telles Angéles Lecat donnant des renseignements, des prostituées comme Marcelle Richard.

Le devenir de ces femmes :[modifier | modifier le code]

Certaines femmes serons emprisonnées, d’autres executées. L’execution d’Edith Cavelle provoquera un lourd relentissement dans l’opignion publique. Certain obtiendrons (à titre posthume ?) la légion d’honneur, d’autres des monuments aux morts. Angéles Lecat, executée, donnera son nom à une école. Quelque remerciments ont été faits sans être à la hauteur des combats menés par ces femmes pour la libertés.

Rôles de ces femmes :[modifier | modifier le code]

Il s’agira donc d’éclairer sur le rôle crucial de ces femmes qui ont combattu autrement pour la liberté du pays. Leur rôle a été la plupart d’entre elles l’espionnages sous diverses formes. Certaines couchérent

Article créé par Gwenaële Macé

QUELQUES ESPIONNES :[modifier | modifier le code]

Angèle Lecat[modifier | modifier le code]

Tous les témoignages l’attestent lorsque la guerre éclata en 1914 la famille lecat fut sous contexte anime par un fort sentiment patriotique aussi c’est tout naturellement qu’en juin 1917 deux prisonniers anglais évades trouvèrent refuge dans un ferme famille toujours est-il que angele lecat et ses sources . Philomène et marie furent arrêtée en octobre pues condamnes a six mois de prison .alors qu’elles furent incarcères les autorités allemandes apprirent qu’en message a l’adresse des troupes françaises et anglaises avait été envoyé par Angèle le premier septembre al ‘aide d’un pigeon voyageurs . condamnée amort elle fut exécute le 25 mars 1918 a Saint-Amand-les-Eaux elle n’avait pas trente ans . Angèle lecat est condamne amort le 2 février 1918 et fusile le 25 mars pour avoir aider a cacher les soldats anglais et envoyé de message par pigeon voyageurs aux allées .

POURQUOI ANGELE LECAT DEVIENT ESPIONNE ? Angèle lecat figure emblématique des femmes espionnes que s’engage dans l’espionnage pour aider les soldats. Angèle Lecat donnera son nom a une école et quelque remercîment on était fait sans êtres a la hauteur des combat mène par c’est femmes pour la liberté c'est-à-dire pas assez de reconnaissance par rapport au travail mène par c’est femmes espionne. (ordre du 4 avril) Mme LECAT (angele) de rumegies (nord) jeune fille d’une abnégation et d’un patriotisme admirables a payé de sa vie les service exceptionnels qu’elle a rendus a la France MOTIVATION 7 Aout 1914 le ^président du conseil l Viviane lance un direction d’appel (page 32 combat de femme )

Quelque soit les objection grâce au développement de l’instruction . Les travail de femme a était bouleverser pendant la première guerre mondiale. Des point globale la guerre a représenté une nouveauté au une continuité de émancipation et mobilisation

La détresse matérielle des mères tellement réelle d’autant que les secteur traditionnel d’activité féminine ( textile habillement )(page 33 patriote avant tout)

Une nouvelle activité féminine est développe celle : d’infirmière , ange gardien de tout les soldats blessé a l’époque

des ouvrière philanthropiques ou encore des service de sante militaire plus de mobilisation vers des aides sociaux et charité et de très nombreuses bénévoles (pages35) Grace au travail donné des femmes de mobilisation et la émancipation a fait per :mettre une entrée dans l’industrie et les bureaux.

Article crée par Quentin DEJAEGER

Marie Léonie Vanhoutte[modifier | modifier le code]

(13 janvier 1888-4 mai 1967)


En août 1914, elle est infirmière de salle, elle travaille à l’installation des ambulances de la croix rouge. Elle deviens le lieutenant de la célèbre Louise de Bettignies. Elle a aidé à recueillir et à transmettre les informations essentielles sur ces mouvements des troupes allemandes pour l’armée britanique. En 1915, elle tomba aux mains de l’ennemi et fut condamnée à mort. Sa peine fut commuée et on l’incarcera à la forteresse de Siegburg où elle contracta ce tiphus. Mais elle s’évadera en 1918. Le 24 août 1919, elle reçoit la croix de guerre. Elle reçoit également la médaille militaire anglaise, la croix de chevalier de l’ordre de l’empire Britanique et la croix civique Belge et reçoit la croix de chevalier de la légion d’honneur.

Sources[modifier | modifier le code]

http.//netia59a.ac-lille.fr/rostandrx//mg/pdf/fiche_bio_ml-Vanhoutte.pdf http :ilhautville-sur-mer.voila.net1ninie.hrml http://translate.google.fr1translate ?hl=fr §sl=en§u=http://www.bridgemanart.com Photo : http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fvincent.boez.pagesperso-orange.fr%2Fhenrie10.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fvincent.boez.pagesperso-orange.fr%2Fhenriettemoriame.htm&h=115&w=115&tbnid=WUWwexM8A0X4RM%3A&zoom=1&q=marie%20leonie%20vanhoutte&docid=DaV5RZzjHoX3hM&hl=fr&ei=DwU0U7OYFOaU0AWE8ICwCA&tbm=isch&iact=rc&dur=183&page=1&start=0&ndsp=37&ved=0CG0QrQMwBw


Article créé par SARAIVA GUERRA Samantha


Edith Cavell[modifier | modifier le code]

née le 4 décembre 1865 à Swardeston en Angleterre et morte le 12 octobre 1915 à Schaerbeek en Belgique, Elle fut fusillée par les Allemand pour avoir fait évadée un centaine de soldat alliée de Belgique. Elle c’est donc fait fusille pour haute trahison. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Edith_Cavell


Louise de BETTIGNIES[modifier | modifier le code]

Cette jeune Lilloise va travailler pour l’Intelligence Service , développant un vaste réseau de renseignement et d’évasion , dans le nord de la France occupé , préceptrice chez des familles princières d’Europe jusqu’au début 1914. Infirmière au début de la guerre , elle recopie des centaines de lettres de blessés à l’encre invisible et les porte en France via la Belgique , la Hollande et l’Angleterre sous le nom d’Alice Dubois . Contactée par les services secrets Français et Anglais , elle met sur pied , aidée par Léonie Vanhoutte , une organisation de 80 personnes qui informent pendant 8 mois les Britanniques sur la localisation des troupes et des batteries Allemandes. Arrêtée et condamnée à mort en 1915 , sa peine est commuée en prison à perpétuité . A Siegburg, en Prusse , elle continue la résistance , engageant les prisonnières à ne pas fabriquer les têtes de grenade Allemandes . Punie , elle contracte une pleurésie au cachot , est opérée et meurt de septicémie en Septembre 1918 . Le village de Saint-Ammands-les-Eaux installe un monument aux Morts en sa mémoire et aux femmes héroïques des pays envahis.

Article crée par GOUHIER Oceane et Miriame LANGLAIS

Marie de Croÿ[modifier | modifier le code]

S.A.S Marie Elisabeth Louise de Croÿ, princesse de Solre et de Croÿ né le 26 novembre 1876 à Londres et décède le 20 juin 1968 à Saint Benin d’Azy.

Pendant la première guerre mondiale elle mit sur pied un réseau d’espionnage pour lutter contre l’occupant avec Edith Cavell qui regagnent l’Angleterre en passant par la Hollande des soldats alliés. Marie de Croÿ est ensuite déporté et condamné à dix ans de travaux forcés par des soldats Allemands. Puis va à la prison de Siegburg et devient amie avec la baronne Manthe Boël. Elle avait la possibilité d’avoir la liberté par Monseigneur Pacelli mais refusa. Le 4 Août 1917 elle rentre à l’hôpital de Bonn (Allemagne) pour malnutrition et en sort le 13 novembre 1918. Elle écrit deux ouvrages pour raconter sa vie de guerrière en 1933. Pendant la deuxième guerre mondiale Marie de Croÿ continue ses actions, elle garde le même comportement héroïque. Elle cache le Générale Giraud qui s’est évadé de son lieu de captivité en Allemagne puis fut arrêté à Lille suite à cela. Elle a donc le même comportement héroïque. Marie de Croÿ a reçu la légion d’honneur avec une croix de guerre et fut faite chevalier d’ordre de l’Empire britannique.

Source: -Wikipedia, Fr.wikipedia.org /wiki_de_Croÿ le 20/02/2014 -Héroïne de la Grande Guerre, de Jean Marc Binot, édition Fayard 2008 Page17, 175, 176,178


Article créé par Lefebvre Mallaury et Bordet Danielle