Ptenopus kochi
Règne | Animalia |
---|---|
Embranchement | Chordata |
Classe | Reptilia |
Sous-classe | Lepidosauria |
Ordre | Squamata |
Sous-ordre | Sauria |
Infra-ordre | Gekkota |
Famille | Gekkonidae |
Genre | Ptenopus |
Ptenopus kochi est une espèce de geckos de la famille des Gekkonidae[1].
Répartition[modifier | modifier le code]
Cette espèce est endémique de Namibie.
Habitat[modifier | modifier le code]
Ce gecko se rencontre sur le sol des zones désertiques à semi-désertiques, dans des terriers qui le protègent de la chaleur et de la sécheresse de la journée. Le climat est chaud voire très chaud en journée, avec des chutes marquées des températures la nuit. L’hygrométrie est faible, bien que ces geckos trouvent une humidité plus élevée dans les terriers où ils vivent.
Description[modifier | modifier le code]
Ptenopus kochi est assez massif, avec une grosse tête et de grands yeux. Ceux-ci sont surmontés d’un bourrelet de peau qui lui donnent un « regard » particulier. Il est orange, avec des points plus ou moins sombres. Il est insectivore.
Étymologie[modifier | modifier le code]
Cette espèce est nommée en l'honneur de Charles Koch (1874-1970)[2].
Publication originale[modifier | modifier le code]
- Haacke, 1964 : Description of two new species of lizards and notes on Fitzsimonsia brevipes (FitzSimons) from the central Namib desert. Scientific Papers of the Namib Desert Research Station, vol. 25, p. 1-15
Liens externes[modifier | modifier le code]
- (en) Référence Animal Diversity Web : Ptenopus kochi (consulté le )
- (en) Référence Catalogue of Life : Ptenopus kochi Haacke, 1964 (consulté le )
- (fr + en) Référence ITIS : Ptenopus kochi Haacke, 1964 (consulté le )
- (en) Référence Reptarium Reptile Database : Ptenopus kochi Haacke, 1964 (consulté le )
- (en) Référence UICN : espèce Ptenopus kochi Haacke, 1964 (consulté le )
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en) Référence Reptarium Reptile Database : Ptenopus kochi
- Beolens, Watkins & Grayson, 2009 : The Eponym Dictionary of Reptiles. Johns Hopkins University Press, p. 1-296