Rémécourt

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Rémécourt
Rémécourt
Église de Rémécourt.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Clermontois
Maire
Mandat
Philippe Hesse
2020-2026
Code postal 60600
Code commune 60529
Démographie
Gentilé Rémécourtois, Rémécourtoises
Population
municipale
75 hab. (2021 en diminution de 12,79 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 25′ 46″ nord, 2° 29′ 42″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 149 m
Superficie 2,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clermont
Législatives 7e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Rémécourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Rémécourt
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Rémécourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Rémécourt

Rémécourt est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Rémécourtois et les Rémécourtoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village depuis la route de Maimbeville.

Le village de Rémécourt est situé à 64 km au nord de Paris, 30 km à l'est de Beauvais, 24 km à l'ouest de Compiègne et au sud 54 km d'Amiens.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Topographie et géologie[modifier | modifier le code]

Ancienne carrière de craie, rue de Saint-Aubin, détail des couches.

La commune s'étend entre 83 et 149 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le village (mairie) se situe à 95 m d'altitude au fond d'une vallée sèche[a 1]. Le point le plus bas se trouve à la limite sud de la commune, au fond de cette vallée. Le point le plus élevé se situe au point de rencontre avec les limites communales de Cuignières et de Noroy. L'église Saint-Pierre se trouve à 101 m, l’élevage de la Vastepluque, au nord du village, à 109 mètres d'altitude[1].

Le territoire qui affecte une figure irrégulièrement hexagone, est formé d'un large vallon descendant vers le sud et des coteaux latéraux. Le pays est découvert. Le village est au fond de cette vallée[2].

On voit en abondance des cailloux autour du village. Le dilivium[C'est-à-dire ?] détaché des terrains en pente par l'action des eaux est accumulée dans quelques vallons sous l'aspect d'une argile fine, peu compacte, de couleur fauve. On remarque des dépôts dans le vallon où se trouve le chef-lieu[3]. La craie noduleuse ainsi que de l'argile à silex font leur apparition sur le territoire[4] comme le montre une ancienne carrière de craie située sur la route de Saint-Aubin.

La commune se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[5].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Mare, rue de la Mairie.

Aucun cours d'eau ne traverse le territoire communal, et une mare se trouve rue de la mairie.

Les vallées et fonds secs présents sur la commune sont toutefois les témoignages d'une ancienne présence de ruisseaux sur le territoire[1].

Les zones les moins élevées de la commune sont situées au-dessus de plusieurs nappes phréatiques sous-affleurantes[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 18 km à vol d'oiseau[9], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels[modifier | modifier le code]

Hormis les zones bâties, qui représentent 3,7 % de la totalité du territoire (10 hectares), la commune se compose à 80,8 % de cultures sur 222 hectares.

Les vergers et prairies rassemblent 26 hectares (9,7 %) alors que les espaces boisés que l'on trouve au sud-est comptabilisent 16 hectares[13],[1].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rémécourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,3 %), zones agricoles hétérogènes (22,7 %), forêts (1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

L’habitat communal est uniquement concentré dans le village de Rémécourt. Les lieux-dits sont les suivants : les Vignes, la Vastepluque et la Montagne[1].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

En 1890, le village comprenait 19 maisons[a 1]. Il s'est étendu par la rue du Tour-de-Ville et par les bâtiments agricoles et d'élevages situés au nord.

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

La commune est uniquement desservie par plusieurs voies communales. La rue de Noroy rejoint la commune du même nom, la rue de Saint-Aubin se dirige vers Saint-Aubin-sous-Erquery, la rue de Lamécourt relie le chef-lieu à ce dernier village et la rue de Maimbeville se rattache à la route départementale no 37 (reliant de Clermont à Gournay-sur-Aronde), longeant la limite est du territoire[1].

Les gare plus proches se trouvent à Avrechy à 5,3 km à l'ouest et à Clermont-de-l'Oise à 8 km au sud-ouest de la commune, toutes deux situées sur la Ligne Paris-Nord - Lille et desservies par des trains TER Hauts-de-France effectuant des missions entre les gares de Paris-Nord, ou de Creil et de Saint-Just-en-Chaussée, ou d'Amiens.

La commune est desservie, en 2023, par la ligne 6341 du réseau interurbain de l'Oise[20]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal (ligne 6833) relie le village, qui ne possède pas d'établissement scolaire, aux communes de Saint-Aubin-sous-Erquery, Erquery et Lamécourt[20].

Rémécourt se situe à 27,8 km à l'est de l'aéroport de Beauvais-Tillé et à 47,2 km au nord de l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle. Il n'existe aucune liaison directe entre la commune et ces aéroports par des transports en commun.

La commune est traversée par le GR 124A reliant la forêt de Hez-Froidmont à Orrouy. Arrivant de Lamécourt par le nord-ouest, il passe dans le village par les rues de Noroy, de la mairie et quitte le territoire par la rue de Maimbeville[1]. Deux circuits de randonnées du GEP Centre Oise passent en partie dans la commune : le circuit n° 8 ou des « neuf fonds » et le n° 9, « Entre Picardie et Île-de-France ». Le circuit n°8, dont le point de départ est à Fitz-James, arrive sur le territoire en suivant le GR 124A depuis Lamécourt. Il se dirige ensuite vers le bois du Courroie (commune de Noroy). Le circuit n° 9 débute à l'église Saint-Pierre : il suit le circuit n° 8 par le bois du Courroie pour revenir à l'église par l'itinéraire balisé du GR 124A venant d'Orrouy[21]

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune s'est appelée :

  • 1190 : « Ramercut »
  • 1303 : « Remecourt »[a 1]
  • Du XVe au XVIIIe siècle : « Remescourt »[a 1]
  • De nos jours : « Rémécourt » ou « Remecourt »

Cette localité paraît tirer son nom de « Ricmiri Curtis », c'est-à-dire la ferme de Ricmir ou Rimer[22],[a 1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Les religieux de l'abbaye Sainte-Croix d'Offémont, près de Compiègne, avaient la seigneurie et les dîmes de Rémécourt. Le curé était à la nomination de l'évêque de Beauvais[a 1]. Sous l'Ancien Régime, la seigneurie appartenait également en partie à la commanderie des Templiers de Sommereux, près de Grandvillers. À cette époque, Rémécourt se situait à la limite entre Picardie et l'Île-de-France comme en témoigne une borne restaurée sur la route se dirigeant vers Noroy. Le village faisait partie du comté de Clermont qui était rattaché à la couronne de France. Au XVIe siècle, une église est construite à l'emplacement de cet actuel bâtiment.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Rémécourt, carte de Cassini.

Le territoire contenait encore 4 arpents de vignes et 40 arpents de bois en 1787[a 1].

Les habitants, réunis, le , en l'auditoire du lieu[C'est-à-dire ?], réclamèrent dans leurs cahiers de doléances: le vote par tête, la suppression de la gabelle et des aides, la réforme des abus de la justice et des huissiers-priseurs, le règlement des capitaineries des chasses qui pour conserver le gibier, font de tant de tort aux récoltes, et la réunion de tous les impôts en un seul, afin que la perception en fût moins coûteuse. Les députés à la paroisse à l'assemblée du bailliage de Clermont furent Charles Pollet, syndicaliste[C'est-à-dire ?] et François Demonchy[a 1]. Durant la Révolution française, le village comptait plus de 110 habitants.

Au XIXe siècle, l'église du XVIe siècle est détruite et une nouvelle est reconstruite à son emplacement.

Une ordonnance royale du réunit la commune de Rémécourt à celle de Lamécourt; mais la grande distance qui séparait les deux localités et surtout la difficulté des communications font annuler cette fusion en 1835[a 1]. En 1890, la population du chef-lieu était de 50 habitants[a 2] et exclusivement agricole[a 1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage administratif[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'arrondissement de Clermont et également du canton de Clermont.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Depuis 1920, cinq maires se sont succédé, le mandat le plus long ayant été celui de René Antrope, mort en fonction, qui a duré 53 ans  :

Liste des maires successifs[23],[a 2]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1789 1792 Charles Pollet   Curé
1792 An II Jean Poulain    
An II An V Charles Pollet (réélu)    
An V 1727 Joseph-Stanislas Foy    
1827 1835 Rattachement à Lamécourt    
1835 1878 Jean-Louis Levasseur    
1878 1894 Arsène Achille Levasseur    
1894 1910 Raphaël Levasseur    
1910 1912 Joseph Benoist    
1912 1920 Onézine Lemaire    
1920 1944 Georges Fleury[24]
(1890-1959)
  Héros de la résistance à Clermont
Sous-préfet de Clermont (1944 → 1948)
1944 1955 Georges Brasseur    
1955 1965 Louis Noël    
1965 octobre 2018[25] René Antrope[26]
(1935-2018)
DVD Agriculteur retraité
Vice-président de la CC du Clermontois ( ? → 2018)
Président du syndicat intercommunal des eaux d'Avrechy (1977 → 2018)
Décédé en fonction
décembre 2018[27] En cours
(au 8 juillet 2020)
Philippe Hesse SE Ancien infirmier du CHI de Clermont et ancien directeur de l’Institut de formation en soins infirmiers de Beauvais
Vice-président de la CC du Clermontois (2020 → )
Président du regroupement pédagogique intercommunal
Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 75 habitants[Note 3], en diminution de 12,79 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
9895112967872687560
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
606555735856575744
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
515551464132395041
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
454953487887958175
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,7 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 39 hommes pour 39 femmes, soit un taux de 50 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
7,3 
75-89 ans
10,0 
12,2 
60-74 ans
10,0 
29,3 
45-59 ans
25,0 
26,8 
30-44 ans
20,0 
7,3 
15-29 ans
5,0 
17,1 
0-14 ans
30,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui réunit Rémécourt, Erquery, Lamécourt et Saint-Aubin-sous-Erquery[27].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre (XIXe siècle) : l'église, dédiée à Saint-Pierre, est un petit édifice moderne, en pierres d'appareil, percé de quatre fenêtres sur quatre faces, avec un clocheton couvert d'ardoises ; l'intérieur est lambrissé. On n'y dit la messe qu'une fois par an, le jour du patron[a 1]. L'édifice, simple, ne possède pas de transept.
  • Anciennes bornes : quatre bornes subsistent en limite de la seigneurie de Rémécourt qui appartenait aux célestins de Sainte-Croix d'Offémont et de la seigneurie de Noroy qui appartenait aux Bochart. Sur ces bornes, figurent d'un côté la croix latine pattée, pour les célestins, et de l'autre le croissant pour les Bochart qui portaient d'azur à un croissant d'or surmonté d'une étoile de même. La borne la plus visible se trouve sur la D 37, à gauche en se dirigeant vers Noroy.
  • Croix, à l'intersection des rues de l'Église, de la Mairie et de Noroy.
  • Calvaire en bois, rue de Noroy.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • A. Debauve et E. Roussel, Clermont et ses environs, Res Universalis, , 160 p.
  1. a b c d e f g h i j et k p. 149
  2. a et b p. 150

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e et f « Carte 1/15 000e » sur Géoportail..
  2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Clermont, arrondissement de Clermont (Oise), 1838, 211 pages, page 133
  3. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Clermont, arrondissement de Clermont (Oise), 1838, 211 pages, pages 13 et 14
  4. Histoire de Clermont-en-Beauvaisis, des origines à nos jours, Claude Teillet, page 13 et 14, Office d'édition du livre d'histoire
  5. « Géorisques : Mieux connâitre les risques sur le territoire - Rémécourt »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Carte de remontée des nappes », sur innondationsnappes.fr (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Rémécourt et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels sur la commune de Rémécourt », sur donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b « Transports en commun à Rémécourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  21. 14 Randonnées en Centre Oise, GEP Centre Oise, pages 15, 17, 18 et carte page 16
  22. La prononciation du pays est « Remécourt », le premier « e » n'étant pas accentué; l'orthographe officielle, conforme à cette prononciation
  23. « La liste des maires de Rémécourt », sur marquedorre.free.fr (consulté le ).
  24. « Biographie de Georges Fleury », sur marquedorre.free.fr (consulté le ).
  25. « René Antrope, maire de Rémécourt pendant 53 ans, n’est plus », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « René Antrope était également président du syndicat intercommunal des eaux d’Avrechy et de Saint-Rémy-en-l’Eau depuis 41 ans et vice-président de la communauté de communes du Clermontois, en charge de l’eau et de l’assainissement. ».
  26. « René Antrope, maire de Rémécourt depuis quarante-neuf ans », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il n'est pas l'un des plus vieux maires de France. « Mais je dois être l'un de ceux qui ont fait le plus de mandats ! » sourit René Antrope. Le premier magistrat actuel de Rémécourt, petite commune de 98 habitants située à mi-chemin entre Clermont et Saint-Just, brigue... son neuvième mandat ».
  27. a et b Carine Di Matteo, « Philippe Hesse est le nouveau maire de Rémécourt : Il était le 1er adjoint de René Antrope. Il lui a succédé en décembre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est à l’unanimité que, le 6 décembre, les sept élus ont désigné Philippe Hesse nouveau maire sans étiquette ».
  28. « Rémécourt 60600 », https://www.lemonde.fr/resultats-elections/remecourt-60529/, sur lemonde.fr (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rémécourt (60529) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).