Répartition géographique de la population en Occitanie

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La répartition géographique de la population en Occitanie est caractérisée par la macrocéphalie de Toulouse et Montpellier.

L'armature urbaine de l'espace régional est établi pour l'essentiel depuis le Moyen Âge central, durant lequel l'essor urbain que connaît alors l'Occident chrétien — et tout particulièrement les régions méditerranéennes — permet de compléter un premier réseau hérité de l'Antiquité[1].

Depuis, si la hiérarchie urbaine a peu évolué et la croissance urbaine a été très limitée pendant toute l'époque moderne et la Révolution industrielle, le dynamisme économique et démographique connu depuis le dernier tiers du XXe siècle a fortement contribué aux espaces urbains. Il a été accompagné par un phénomène de métropolisation, avec une densification d’espaces périurbains ou interstitiels de plus en plus vastes le long des axes autour de Toulouse et sur le littoral où se forme « un quasi continuum urbain »[2]. De même, si cet essor a profité, en règle générale, à l'ensemble des villes, il a fortement contribué à creuser les écarts entre, d'une part, les deux principales métropoles régionales, Toulouse et Montpellier, et, d'autre part, les autres agglomérations[3].

Cette armature comprend à l'ouest un système monocentré et constitué de villes moyennes (Montauban, Albi, Castres, Pamiers, Auch, Carcassonne, voire Cahors et, en dehors de la région, Agen) disposées en étoile autour de la métropole toulousaine ; à l'est, des grandes villes (dont surtout Montpellier, mais aussi Perpignan et Nîmes) et des centres urbains plus modestes (Béziers, Narbonne, Sète) qui s'étendent en chapelet dans la plaine littorale depuis Avignon au nord-est jusqu'à Perpignan au sud-ouest. En dehors de ces deux réseaux principaux, en situation de piémont, quelques agglomérations d'une relative importance complètent ce maillage (Alès en avant des Cévennes dans le Gard, Rodez au pied des Grands Causses dans l'Aveyron ou Tarbes dans le piémont pyrénéen)[réf. souhaitée].

Les plus grandes communes[modifier | modifier le code]

Sur le plan strictement administratif, voici la liste des communes de plus de 20 000 habitants avec leur population en 2017 :

Code Insee Ville Département Population (2017) Rang national
31555 Toulouse Haute-Garonne +0479 553, 4
34172 Montpellier Hérault +0285 121, 7
30189 Nîmes Gard +0150 610, 19
66136 Perpignan Pyrénées-Orientales +0120 158, 30
34032 Béziers Hérault +0077 177, 64
82121 Montauban Tarn-et-Garonne +0060 810, 90
11262 Narbonne Aude +0054 700, 114
81004 Albi Tarn +0048 970, 127
11069 Carcassonne Aude +0046 031, 140
34301 Sète Hérault +0043 229, 161
81065 Castres Tarn +0041 636, 172
65440 Tarbes Hautes-Pyrénées +0041 518, 179
30007 Alès Gard +0040 219, 189
31149 Colomiers Haute-Garonne +0038 951, 193
34003 Agde Hérault +0028 609, 314
31557 Tournefeuille Haute-Garonne +0026 962, 324
34145 Lunel Hérault +0026 239, 351
31395 Muret Haute-Garonne +0024 945, 362
31069 Blagnac Haute-Garonne +0024 517, 367
12202 Rodez Aveyron +0024 057, 371
34108 Frontignan Hérault +0022 762, 384
12145 Millau Aveyron +0022 109, 404
32013 Auch Gers +0021 935, 409
34057 Castelnau-le-Lez Hérault +0020 480,

À l'ouest : la macrocéphalie toulousaine[modifier | modifier le code]

Toulouse est une métropole d'importance nationale voire européenne, au cœur de la cinquième unité urbaine et de la quatrième aire urbaine de France, et elle dispose d'une aire d'influence en étoile s'étalant dans un rayon de 50 km à 80 km. À la fois capitale de la nouvelle région (après avoir été celle de Midi-Pyrénées), faisant partie des huit anciennes métropoles d'équilibre désignées en 1964 pour bénéficier de la politique de rééquilibrage territorial alors engagé par l'État et devenue une technopole dynamique autour de l'industrie aérospatiale, elle cumule des fonctions administratives, politiques, économiques, universitaires. Elle écrase démographiquement les villes moyennes qui l'entourent, la ville intra-muros étant huit fois plus peuplée que la deuxième commune du système urbain toulousain, Montauban (ce rapport montant à douze pour leurs unités urbaines et aires urbaines respectives). Ces centres urbains secondaires sont des pôles de service, cumulant commerces, administration (surtout dans les préfectures départementales que sont Montauban, Albi, Carcassonne, Foix, Auch), dans des territoires à dominante agricole, et des relais pour les activités toulousaines que ce soit sur le plan industriel (sous-traitance aéronautique et spatiale, activités pharmaceutiques comme les Laboratoires Pierre Fabre à Castres) ou dans le cadre de son rayonnement culturel et intellectuel (antennes des universités toulousaines)[4]. Quatre agglomérations comprenant entre environ 50 000 et 75 000 habitants servent de pôles urbains à des aires urbaines de plus de 65 000 résidents mais de moins de 100 000 personnes, contribuant ainsi à structurer le phénomène de métropolisation le long des axes de communication rayonnant à partir de Toulouse, vers le nord et l'est : Montauban, Carcassonne, Albi et Castres. S'y ajoutent des unités et aires urbaines de très petites tailles qui complètent ce maillage : Auch et Saint-Gaudens à l'ouest et au sud-ouest ; Castelsarrasin au nord ; Pamiers et Foix vers le piémont ariégeois au sud ; Castelnaudary entre Carcassonne et Toulouse au sud-est. Plus éloignées, Cahors au nord et, dans la région Nouvelle-Aquitaine, Agen à l'ouest sont parfois aussi rattachées à cette zone métropolitaine.

Ville intra-muros Unité urbaine 2014
(habitants)
Aire urbaine 2014
(habitants)
Part dans la population régionale
(%)
Toulouse 935 440 1 312 304 22,9
Montauban 76 624 108 953 1,9
Albi 74 232 98 985 1,7
Carcassonne 48 471 98 241 1,7
Rodez 50 485 86 373 1,5
Castres 56 224 67 569 1,2

Les communes de l'agglomération toulousaine ne se sont pas dotées d'outil institutionnel commun. Mais, afin de piloter la dynamique de cette grande unité urbaine (politique de l'habitat, de mobilité, aménagement du territoire, etc.), elles se sont donc regroupées au sein de neuf établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), à savoir la métropole au sens de la loi MAPTAM, les deux communautés d'agglomération et les six communautés de communes suivantes (population municipale au recensement de 2013) :

La plupart des communes des aires urbaines secondaires de Montauban, Carcassonne, Albi et Castres ont formé pour leur part les communautés d'agglomération suivantes :

En , l'association du Dialogue métropolitain de Toulouse est créée pour renforcer la coopération entre les onze intercommunalité de Toulouse Métropole, du Muretain, du Sicoval, de Carcassonne, de l'Albigeois, de Castres-Mazamet, de Montauban, d'Auch et de Saint-Gaudens, mais aussi de Cahors et Rodez[5],[6]. Cette association est susceptible de se transformer en un Pôle métropolitain, un statut de syndicat mixte créé par la loi de réforme des collectivités territoriales de 2010 et réformé par la loi MAPTAM de 2014[7].

Toulouse[modifier | modifier le code]

L'agglomération toulousaine est située dans le département de la Haute-Garonne et compte 920 402 habitants en 2013 (la sixième de France et la troisième du Midi de la France), au cœur d'une aire urbaine de près de 1 300 000 habitants (la quatrième de France), avec plus de 450 communes situées dans la moitié nord-est de la Haute-Garonne ainsi que dans l'Ariège, l'Aude, le Gers, le Tarn et le Tarn-et-Garonne[8]. Elle est centrée sur la commune de Toulouse et sur l'intercommunalité de Toulouse Métropole. Elle est le siège du Groupement européen de coopération territoriale (GECT) Pyrénées-Méditerranée qui unit la nouvelle grande région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées aux communautés espagnoles de Catalogne et des îles Baléares. Son aire d'influence s'étend jusqu'aux aires urbaines de petite ou moyenne taille situées entre 50 km et 80 km, reliées à la « ville rose » par un réseau de transport performant.

Des pôles de service secondaires[modifier | modifier le code]

Quatre agglomérations — sept en y incluant Auch et le duo Pamiers-Foix —, bien que de tailles très modestes, jouent un rôle dans la structuration du territoire métropolitain autour de Toulouse. Aucune unité urbaine de ces agglomérations ne dépasse les 80 000 habitants, et une seule, celle de Montauban, est au centre d'une aire urbaine de plus de 100 000 habitants. Déjà dépendantes directement ou indirectement, et avec plus ou moins de résistance, de l'influence des comtes de Toulouse au Moyen Âge, leur histoire a toujours été liée à celle de la capitale régionale. Il s'agit des agglomérations suivantes :

  • l'unité urbaine albigeoise (73 794 habitants) est centrée autour de la ville d'Albi, la « Ville rouge » (comme pour Toulouse, en raison de la couleur des briques qui servent de matériau traditionnel de construction), préfecture du Tarn, à 75 km au nord-est de Toulouse. Elle fédère une grande partie des communes de la Communauté d'agglomération de l'Albigeois (81 365 habitants), et est le pôle d'une aire urbaine de 98 240 personnes s'étendant en doigts de gant le long des axes de communication, vers le nord-est et le sud-ouest.
  • l'unité urbaine de Carcassonne (49 257 habitants) est la deuxième de l'Aude, dont la ville-centre est la préfecture, mais elle constitue le pôle urbain de l'aire urbaine la plus peuplée de ce département (et la troisième du système urbain toulousain), avec 98 318 personnes, devant celle de Narbonne. Elle est également au centre de la deuxième intercommunalité par son poids démographique au sein de l'association du Dialogue métropolitain de Toulouse, Carcassonne Agglo, qui compte 106 148 habitants.
  • les agglomérations apaméennes (26 727 habitants) et fuxéennes (14 552 habitants) ont pratiquement fusionné et forment un système urbain commun. En effet, la vallée de l'Ariège serpentant dans le massif du Plantaurel est désormais pratiquement urbanisée en continu sur 35 km entre Pamiers et Tarascon-sur-Ariège en passant par Foix. Les deux villes-centres de Pamiers et de Foix, respectivement sous-préfecture et préfecture du département de l'Ariège dans le Piémont pyrénéen, sont situées à 64 km et 83 km au sud de Toulouse. Leurs deux aires urbaines, comptant 35 054 habitants pour Pamiers et 18 406 personnes pour Foix, partagent quatre communes multipolarisées[9]. Des fusions entre intercommunalités, permises par la loi NOTRe en 2015, ont abouti à la création d'une communauté d'agglomération et de deux communautés de communes sur le territoire de cette conurbation, devant être mises en place officiellement le et ayant vocation à être réunies à l'avenir : la communauté d'agglomération Varilhes-Foix (31 547 habitants) et les communautés de communes Saverdun-Pamiers (38 116 habitants) et de Tarascon (8 871 habitants)[10].

Au sud et à l'est : un chapelet de villes dominé par Montpellier[modifier | modifier le code]

À l'inverse de la région urbaine centrée sur la capitale régionale, un système urbain polycentrique au maillage particulièrement dense s'est développé depuis l'Antiquité dans la plaine littorale du Bas-Languedoc et du Roussillon. Ainsi, un réseau constitué essentiellement de villes moyennes s'étale en chapelet depuis le Gard et les portes de l'aire urbaine d'Avignon au nord-est jusqu'à Perpignan au sud-ouest. Cet ensemble est dominé par Montpellier, deuxième métropole de la nouvelle région tant sur les plans démographiques qu'économiques ou administratifs (après avoir été la capitale du Languedoc-Roussillon), ainsi qu'un centre universitaire et une technopole dynamique à l'importance nationale et européenne[11]. Longtemps concurrencée par Nîmes, Perpignan voire Béziers, elle s'est nettement démarqué de ces dernières à partir des années 1960, son aire urbaine étant désormais, au début du XXIe siècle, près de deux fois plus peuplée. Après Montpellier, Perpignan et Nîmes sont au cœur d'agglomérations de près de 200 000 habitants et d'aires urbaines aux alentours des 300 000 personnes, servant de pôles secondaires aux extrémités géographiques de ce chapelet en cumulant les fonctions de centres tertiaires (deux préfectures départementales) et de carrefours économiques, routiers et ferroviaires vers l'Espagne pour Perpignan et vers le couloir rhodanien pour Nîmes. Chacune de ces trois agglomérations principales a vu se développer, selon un processus de métropolisation, des systèmes urbains locaux centrés sur elles et s'étalant vers des villes plus modestes (jusqu'à Sète et Lunel pour Montpellier, jusqu'à Alès pour Nîmes, jusqu'à Saint-Cyprien pour Perpignan), complétés par un système constitué entre Béziers, Narbonne et Agde au centre de la plaine littorale languedocienne. Ces quatre systèmes locaux ont tissé entre eux des liens de plus en plus diversifiés qui étend le processus de métropolisation à une échelle plus large, marqué par un axe de transport multimodal d'importance européenne suivant plus ou moins le tracé de l'ancienne Voie Domitienne, de nombreux partenariats scientifiques, des migrations résidentielles et un tissu de résidence secondaire lié à l'aménagement touristique du littoral[12].

Ville intra-muros Unité urbaine 2014
(habitants)
Aire urbaine 2014
(habitants)
Part dans la population régionale
(%)
Montpellier 421 647 589 610 10,3
Perpignan 198 682 317 155 5,5
Nîmes 185 183 266 193 4,6
Béziers 90 402 171 010 3,0
Alès 94 440 114 093 2,0
Narbonne 52 855 92 189 1,6
Sète 91 814 91 814 1,6
Saint-Cyprien 52 371 52 371 0,9

Les communes de cet ensemble géographique forment de nombreux EPCI de tailles et de statuts très différents. 57 de ces intercommunalités, regroupant 1 066 communes et 2 577 835 habitants sur un territoire de 36 111 km2 (également en Lozère et en Aveyron) se sont regroupées le dans le Pôle métropolitain de Montpellier. Les principales agglomérations de ce réseau se retrouvent dans la métropole au sens de la loi MAPTAM, la communauté urbaine et les huit communautés d'agglomération suivantes (population municipale au recensement de 2013) :

Montpellier[modifier | modifier le code]

L'agglomération montpelliéraine est située dans le département de l'Hérault et compte 414 047 habitants en 2013 (la quinzième de France et la sixième du Midi de la France), au cœur d'une aire urbaine de près de 580 000 habitants (la quatorzième de France), avec plus de 110 communes situées dans le tiers oriental de l'Hérault ainsi que dans le Gard pour une commune[13]. Elle est centrée sur la commune de Montpellier et sur l'intercommunalité de Montpellier Méditerranée Métropole. Elle est le siège du Pôle métropolitain de Montpellier. Son aire d'influence direct s'étend jusqu'aux aires urbaines de petite ou moyenne taille situées entre 30 km et 35 km, notamment celles de Sète (90 000 habitants environ) sur le littoral au sud-ouest et de Lunel (plus de 50 000 résidents) aux portes de la Petite Camargue au nord-est.

Deux autres agglomérations importantes : Perpignan et Nîmes[modifier | modifier le code]

Deux agglomérations de plus de 180 000 ont concurrencé Montpellier jusque dans les années 1960 et encadrent ce chapelet de villes : Perpignan et Nîmes. De taille comparable et chacune située à une extrémité géographique du littoral languedocien-roussillonnais, elles sont au centre d'aires urbaines de plus de 250 000 habitants. Bien que disposant d'une aire d'influence moins vaste que celle de Montpellier, elles dominent totalement les territoires de leurs départements respectifs et voient leur rayonnement s'étendre jusqu'à des aires urbaines plus modestes mais tout de même peuplées de plus de 50 000 personnes (celles d'Alès pour Nîmes et de Saint-Cyprien pour Perpignan). Il s'agit des agglomérations suivantes :

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. [PDF] Viala, Laurent, Bernie-Boissard, Catherine et Volle, Jean-Paul, MTE, « Montpellier, la ville inventée : Frontières de la cohérence territoriale », L'Europe des projets architecturaux et urbains, Plate-forme d'observation des projets et stratégies urbaines, février 2008, p. 7
  2. [PDF] Marion Alary, Occitanie, une Région qui se réinvente : La prospective et le diagnostic, instruments essentiels de la construction d’un nouveau territoire, mémoire de stage de deuxième année de Master, Université Toulouse 2 Jean-Jaurès - Région Occitanie, 2016, p. 38.
  3. BURGEL, Guy, La Ville contemporaine après 1945, tome 6 de PINOL, Jean-Luc (dir.), Histoire de l'Europe urbaine, 2e édition revue, corrigée et augmentée, Paris, Seuil, 2012 [1re édition : 2003], p. 52
  4. [PDF] « Grand contournement autoroutier de Toulouse : Étude des impacts d'aménagement du territoire et socio-économiques aux diverses échelles territoriales », Setec Organisation, juin 2007, p. 20
  5. Statuts de l'Association du Dialogue métropolitain de Toulouse (ADMT), Assemblée générale constitutive du 8 avril 2013, site officiel du Dialogue métropolitain de Toulouse, consulté le 30 juin 2016
  6. MARTI, Sébastien, « Pierre Cohen ouvre le Dialogue avec les villes de la région », La Dépêche.fr, 09/04/2013
  7. Entretien de Jean-Luc Moudenc avec Alexandre Léoty, « "Les régions n’ont pas à dicter leur loi aux métropoles." L’opération lobbying de Jean-Luc Moudenc auprès des parlementaires », La Tribune Toulouse, 11/03/2015
  8. « Composition communale de l'aire urbaine de Toulouse », INSEE (consulté le )
  9. Projections de population dans les principales aires urbaines de Midi-Pyrénées 2007 - 2042, Aire urbaine de Foix - Pamiers, INSEE, consulté le 2 juillet 2016
  10. PAUL, Arnaud, « Ariège : le nombre d'intercommunalités va passer de 20 à 8 dans un premier temps », La Dépêche.fr, 20/04/2016
  11. Bertrand Ballet, Bernard Nozières, Roger Rabier (Insee), « Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées : Le grand sud attractif », Insee Analyses Midi-Pyrénées, no 16, 29/04/2015
  12. [PDF] Fiche « Fonctionnement urbain du Languedoc-Roussillon », Fonds structurels 2014-2020 - Diagnostic territorial stratégique, Éléments d’analyse - Rubrique no 1 du cadre de restitution de la circulaire du 16/07/2012 pour les territoires urbains, DATAR, site www.villesdefrance.fr, p. 9
  13. « Aire urbaine de Montpellier (015) », INSEE (consulté le )

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]