Rhapsodie à sept
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| Rhapsodie à sept | |
| Genre | Septuor |
|---|---|
| Nb. de mouvements | 3 |
| Musique | André Jolivet |
| Effectif | violon, contrebasse, clarinette, basson, cornet à pistons, trombone et percussion |
| Durée approximative | 19 min |
| Dates de composition | 1957 |
| Commanditaire | René Nicoly pour les Jeunesses musicales de France |
| Création | 13 novembre 1959 Festival de Brunswick |
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Rhapsodie à sept est un septuor pour clarinette, basson, cornet à pistons, trombone, percussion, violon et contrebasse d'André Jolivet. Composé en 1957, il est créé le au Festival de Brunswick en Allemagne.
Présentation[modifier | modifier le code]
La Rhapsodie à sept est une commande de René Nicoly, président des Jeunesses musicales de France, pour compléter un programme de concert dans lequel figurait L'Histoire du soldat. La partition de Jolivet, composée en 1957, adopte de ce fait le même effectif instrumental que celui retenu par Stravinsky, soit un septuor constitué d'un violon, une contrebasse, une clarinette, un basson, un cornet à pistons, un trombone et des percussions[1].
La Rhapsodie à sept est créée le au Festival de Brunswick en Allemagne[1].
L’œuvre, d'une durée moyenne d'exécution de dix-neuf minutes environ, est composée de trois mouvements qui « relèvent d'un esprit traditionnel, tant formellement que du point de vue de l'écriture »[1] :
- Résolu ;
- Hiératique ;
- Incisif.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Poirier 1989, p. 496.
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Alain Poirier, « André Jolivet », dans François-René Tranchefort (dir.), Guide de la musique de chambre, Paris, Fayard, coll. « Les Indispensables de la musique », , 995 p. (ISBN 2-213-02403-0), p. 494–497.
Liens externes[modifier | modifier le code]
