Rousset-les-Vignes

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Rousset-les-Vignes
Rousset-les-Vignes
Vue sur le village.
Blason de Rousset-les-Vignes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Communauté de communes Enclave des Papes-Pays de Grignan
Maire
Mandat
Jacques Gigondan
2020-2026
Code postal 26770
Code commune 26285
Démographie
Gentilé Roussettois, Roussettoises
Population
municipale
276 hab. (2021 en diminution de 6,76 % par rapport à 2015)
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 25′ 09″ nord, 5° 03′ 43″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 1 305 m
Superficie 15,45 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Valréas
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grignan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Rousset-les-Vignes
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Rousset-les-Vignes
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Rousset-les-Vignes

Rousset-les-Vignes est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Rousset-les-Vignes est situé à 15 km à l'est de Grignan (chef-lieu du canton), à 10 km au nord-ouest de Nyons et à 21 km au sud de Dieulefit.

Rose des vents Montbrison-sur-Lez Le Pègue Teyssières Rose des vents
Montbrison-sur-Lez N Venterol
O    Rousset-les-Vignes    E
S
Valréas
Vaucluse
Saint-Pantaléon-les-Vignes Venterol

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Alpes du sud »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 853 mm, avec 7 jours de précipitations en janvier et 3,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Taulignan », sur la commune de Taulignan à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 842,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rousset-les-Vignes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valréas dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,3 %), cultures permanentes (36,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[13] :

  • 1214 : castrum de Rosseuf (Inventaire des dauphins, 251).
  • XIVe siècle : Rossetum (pouillé de Die).
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : Capella de Rosseta (pouillé de Die).
  • (non daté) : mention de l'église : Ecclesia Beate Marie Magdalane loci Rosseti (visites épiscopales).
  • 1519 : mention de la paroisse : Cura Rosseti (pouillé de Die).
  • XVIIe siècle : mention de la paroisse : Cura de Rosset in comitatu Venayssini (rôle de décimes).
  • 1673 : Rosset (archives de la Drôme, E 5870).
  • 1891 : Rousset, commune du canton de Grignan.

(non daté)[réf. nécessaire] : Rousset-les-Vignes.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Le territoire est voisin de celui du Pègue (voir ce lieu).

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Lors de la colonisation romaine, ce territoire fut rattaché à tribu gauloise des Aletani, dont la capitale était Aletanum[réf. nécessaire].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

L'origine du village est due au prieuré clunisien de Saint-Pantaléon[14].
Au cours du XIe siècle, les moines bénédictins de Saint-Pantaléon construisirent sur place un monumental prieuré adossé à la montagne de la Lance, qu'ils placèrent sous la protection de dom Mayeul de Cluny. Ils commencèrent à implanter un vignoble sur les coteaux gréseux. Par la suite, ils firent entourer de remparts leur établissement et l'agglomération qui s'était créée autour[réf. nécessaire].

XIIe siècle : un château est construit par les comtes de Valentinois (le castrum de Rosseuf est attesté en 1214). Ses fortifications seront modifiées au XIVe siècle et totalement restaurées au cours du XVe siècle[réf. nécessaire].

La seigneurie[13] :

  • 1339 : au point de vue féodal, la terre ou seigneurie est la possession des prieurs du lieu.
  • XVe siècle : une part appartient à des bâtards de la maison de Poitiers.
  • 1456 : la plus grande partie appartient aux Diez.
    • 1494 : la part des Diez passe (par mariage) aux Alrics.
    • Les Alrics acquièrent la part des bâtards de Poitiers.
    • La part des Alrics passe aux Marcel.
    • Elle passe aux Vesc.
    • Fin XVIe siècle : elle passe aux Vincens qui obtiennent du pape Alexandre VIII l'érection de Rousset en marquisat.
    • 1723 : le marquisat passe aux Durand de Pontaujard.
    • 1755 : il passe (par héritage) aux Armand de Forest, derniers seigneurs.

Début XIVe siècle : lors de la présence des papes en Avignon, la commune est intégrée dans le Comtat Venaissin (voir enclave des papes)[réf. nécessaire].

1451 : le village est assiégée par des bandes de pillards qui ne purent forcer les remparts. La paix revenue le village médiéval pris son aspect Renaissance[réf. nécessaire].

Avant 1708, la communauté comprend les deux communes actuelles de Rousset-les-Vignes et de Saint-Pantaléon-les-Vignes[13].

1747 : le hameau de Saint-Pantaléon (autrefois Saint-Pantaly) est détaché de Rousset[15].

1744 (démographie) : 156 habitants[13].

Avant 1790, Rousset était une communauté du Comtat-Venaissin, répondant pour la justice au bailliage de Valréas. C'était également une paroisse du diocèse de Die, dont l'église, premièrement dédiée à sainte Marie-Madeleine, fut mise sous le vocable de saint Mayeul en 1736, et dont la collation de la cure et les dîmes appartenaient au prieur du lieu (voir Serre-Mayol)[13].

Serre-Mayol[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

  • 1449 : Prioratus de Rosseto (pouillé hist.).
  • 1509 : mention de l'église Saint-Mayol : Ecclesia parrochialis Beati Mayolis prope et extra loci Rosseti (visites épiscopales).
  • 1515 : Prioratus Rosseti et Sancti Panthalionis (Long, notaire à Grignan).
  • XVIe siècle : Prioratus de Roseto (pouillé gén.).
  • 1596 : Sainct Mayol (archives de la Drôme, E 5898).
  • 1891 : Serre-Mayol, quartier de la commune de Rousset.

Emplacement d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, filiation de Cluny, et de la dépendance du prieuré du Pont-Saint-Esprit, uni dès le XVIe siècle à celui de Saint-Pantaléon, dont le titulaire était décimateur dans les deux paroisses de Rousset et de Saint-Pantaléon, et dont l'église dédiée à saint Mayol fut paroissiale jusqu'au début du XVIIe siècle. Cette église était interdite depuis quelque temps en 1737[16].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Rousset-les-Vignes.

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal est composé de deux adjoints et de huit conseillers municipaux[17].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Les maires de Rousset-les-Vignes.
Liste des maires successifs depuis 1945
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1947 Gabriel Lagier    
1947 1955 Ludovic Heraud    
1955 1959 Ferdinand Mancip    
1959 1965 Raphaël Meyer    
1965 1978 Fernand Mancip    
1979 mars 2001 René Julian PS  
mars 2001 mars 2008 Claude Mocata    
mars 2008 En cours
(au 22 janvier 2015)
Jacques Gigondan[17] DVD Retraité

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

En 2021, la commune comptait 276 habitants[Note 3], en diminution de 6,76 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
780803830776739763754728760
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
772757750729700632622601570
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
532512457340313308319254229
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
237228216257257254283288289
2014 2019 2021 - - - - - -
293280276------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : le [14].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Le pèlerinage à la chapelle Notre-Dame-de-Beauvoir a lieu le [14].

Économie[modifier | modifier le code]

En 1992 : lavande, vignes (vins AOC Côtes du Rhône-Village), vergers, oliviers, truffes, ovins[14].

Les vignerons de la commune sont représentés au sein de la Commanderie des Costes du Rhône, confrérie bachique, qui tient ses assises au château de Suze-la-Rousse, siège de l'Université du vin[réf. nécessaire].

Commerce[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Façade du prieuré de Rousset-les-Vignes.
  • Ancien prieuré clunisien du Xe siècle : façade Renaissance[14]. Il est situé au centre du village, à côté de l'église. Abandonné lors de la Révolution, c'est aujourd'hui une propriété privée[réf. nécessaire].
  • Vestiges du château du XIIe siècle dont il ne reste que les soubassements. Ses fortifications furent modifiées au XIVe siècle et totalement restaurées au cours du XVe siècle[réf. nécessaire].
Château du XIVe siècle : tours, portail gothique, escalier à vis[14].
  • Église Saint-Mayeul de Rousset-les-Vignes d'origine romane (remaniée) : façade (IMH), pierre tombale (XVIe siècle), statue (en bois) de la Vierge[14].
  • Maisons médiévales[14].
  • Chapelle Notre-Dame-de-Beauvoir (XIVe siècle au XVIIe siècle)[14].
  • Château du XVIe siècle à l'angle ouest de l'enceinte du village[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Musée du prieuré[14].
  • Vie artistique[14].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Rousset-les-Vignes Blason
De gueules au chevron d'or accompagné de trois croisettes du même, au chef d'argent chargé d'un soleil non figuré du champ[22].
Devise
Tant qu'il luira.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Rousset-les-Vignes et Taulignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Taulignan », sur la commune de Taulignan - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Taulignan », sur la commune de Taulignan - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 319 (commune).
  14. a b c d e f g h i j k l et m Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Rousset-les-Vignes.
  15. Jean Pagnol, Valréas et "l'enclave des papes", tome 1, Aubenas, LIENHART, , 298 p..
  16. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 375 (Serre-Mayol).
  17. a et b Rousset-les-Vignes sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 22 janvier 2015).
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. « Rousset-les-Vignes », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]