Rue Raspail (Bois-Colombes)
| Rue Raspail | |||
 La rue Raspail le long du marché. | |||
| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Coordonnées | 48° 54′ 58″ nord, 2° 16′ 16″ est | ||
| Pays |  France |
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| Région | Île-de-France | ||
| Ville | Bois-Colombes | ||
| Début | Rue Jean-Brunet | ||
| Fin | Rue des Bourguignons | ||
| Morphologie | |||
| Type | Rue | ||
| Longueur | 610 m | ||
| Largeur | 8 m | ||
| Histoire | |||
| Anciens noms | Rue de l'Église | ||
| Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
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La rue Raspail est une voie de communication de Bois-Colombes dans le département des Hauts-de-Seine, en France.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
Cette rue parallèle à la ligne de Paris-Saint-Lazare à Ermont - Eaubonne part, côté sud-est, de la limite de la commune d'Asnières-sur-Seine. Elle traverse tout d'abord un quartier urbanisé d'immeubles construits à la fin du XIXe siècle[1]. Longeant le marché, elle traverse ensuite la rue d'Estienne-d'Orves (anciennement rue Verte), puis rentre dans une zone essentiellement pavillonnaire. Elle y rencontre alors la rue Ferrand et plusieurs voies résidentielles comme la villa Marie et l'avenue des Pavillons. Marquant ensuite le début de la rue Eugène-Besançon, elle se termine au droit de la rue Jean-Brunet.
Origine du nom[modifier | modifier le code]
C'est par délibération du Conseil municipal en date du 9 octobre 1886 que le nom de François-Vincent Raspail, chimiste, botaniste et homme politique fut donné à cette rue[2].
Historique[modifier | modifier le code]
En 1868, l'abbé Rampant construisit au no 12, sur un terrain familial, une chapelle qui donna son nom à la rue pendant quelques années. Cette chapelle en pierre de taille, munie d'un clocher, resta cependant inachevée faute d'en avoir demandé l'autorisation au Diocèse, au ministre des Cultes et à la commune[3].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]
- Gare de Bois-Colombes, ouverte en 1857, qui assure sa desserte ferroviaire.
- Marché de Bois-Colombes[4]. L'ancien marché fut détruit en 1956.
- C'est à son domicile du no 56 que meurt le 30 avril 1903 Auguste Moreau, un des deux maires adjoints du premier conseil municipal de la ville[5].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Rue Raspail à Bois-Colombes », sur cartorum.fr (consulté le )
- « Circuit découverte Centre ville 2 », sur calameo.com (consulté le )
- « Le journal de Bois-Colombes JBC n°15 - Février 1998 », sur calameo.com (consulté le )
- « Bois Colombes La Rue Des Halles à Colombes - Cartorum », sur cartorum.fr (consulté le )
- « Les Journées européennes du patrimoine à Bois-Colombes »
