Rue Servient

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Rue Servient
Voir la photo.
Le tram T1 et la Tour Part-Dieu dans la rue.
Voir la plaque.
Situation
Coordonnées 45° 45′ 38″ nord, 4° 50′ 58″ est
Ville Lyon
Arrondissement 3e
Quartier La Part-Dieu
Début pont Wilson
Fin Gare de Lyon-Part-Dieu
Morphologie
Type Rue
Géolocalisation sur la carte : Lyon
(Voir situation sur carte : Lyon)
Rue Servient

La rue Servient est une rue du quartier de la Part-Dieu dans le 3e arrondissements de Lyon, en France. La rue rend hommage à Madame de Servient, morte en 1731, qui a fait don de son domaine de la Part-Dieu à l'Hôtel-Dieu de Lyon.

Odonymie[modifier | modifier le code]

Attesté depuis , le nom de Servient provient de Catherine Mazenod, dite « Madame de Servient » morte en 1731, qui lègue à l'Hôtel Dieu de Lyon, les domaines de la Part-Dieu[1].

Présentation[modifier | modifier le code]

La rue Servient commence au quai Victor-Augagneur, face au pont Wilson. Elle traverse le 3e arrondissement d'ouest en est jusqu'à croiser le boulevard Vivier-Merle, au droit de l'entrée principale de la gare de la Part-Dieu. Avant de croiser le boulevard Vivier-Merle, la rue passe sous le centre commercial de la Part-Dieu.

Depuis le début des années 2000, elle est parcourue, quasiment sur toute sa longueur, par la ligne 1 du tramway de Lyon.

Monuments et bâtiments[modifier | modifier le code]

En parcourant la rue d'ouest en est depuis le pont Wilson, on croise successivement les constructions suivantes : l'hôtel de préfecture du Rhône, le nouveau palais de justice de Lyon, l'auditorium Maurice-Ravel, la tour Part-Dieu (anciennement tour du Crédit lyonnais), le centre commercial de la Part-Dieu et la gare de Lyon-Part-Dieu.

Du milieu des années 1980 jusqu'en 2014, la section moderne des archives départementales du Rhône est abritée dans une ancienne usine de vêtement réhabilitée de la rue Servient. De même, de 2001 à 2007, les locaux du journal régional Le Progrès ont été installés dans un immeuble à l'angle des rues Servient et Vendôme.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Vanario 2002, p. 282.