ST Aerospace A-4SU Super Skyhawk

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...et histoire des A-4 Skyhawk singapouriens.

ST Aerospace
A-4SU Super Skyhawk
Vue de l'avion.
Un A-4SU Super Skyhawk de la RSAF, photographié au décollage au cours de l'exercice Cope Tiger '02 en Thailande.

Constructeur Drapeau des États-Unis Douglas Aircraft Company
Drapeau de Singapour Lockheed Aircraft Services Singapore (LASS)[1]
Drapeau de Singapour ST Aerospace
Rôle Chasseur-bombardier et avion d'entraînement avancé
Statut Retiré du service
Premier vol
Mise en service
Date de retrait 2005 : A-4SU
2011 : TA-4SU
Nombre construits env. 150 exemplaires[2]

Le ST Aerospace A-4SU Super Skyhawk était une évolution majeure de l'avion d'attaque au sol américain A-4S Skyhawk, initialement conçu par la Douglas Aircraft Company au début des années 1950. Cette modernisation fut entreprise par Singapore Aircraft Industries (SAI) — désormais ST Aerospace — au cours des années 1980.

L'appareil fut utilisé exclusivement par la Force aérienne de la république de Singapour (en anglais : Republic of Singapore Air Force, RSAF), servant dans le rôle de chasseur-bombardier de 1989 à 2005, lors de son retrait du service en première ligne. Depuis le milieu de l'année 1999, l'A-4SU endossa le rôle supplémentaire d'être l'avion d'entraînement avancé officiel de la RASF, au sein du programme d'entraînement avancé AJT (Advanced Jet Training), qui fut effectué par un détachement installé sur la base aérienne de Cazaux, en France[3].

Conception et développement[modifier | modifier le code]

A-4S et TA-4S[modifier | modifier le code]

Photographie de l'avant d'un TA-4SU Skyhawk.
Double cockpit d'un TA-4SU. La rangée de générateurs de vortex sur les becs de bord d'attaque et l'entrée d'air dynamique montée sur le côté gauche pour le refroidissement du moteur sont uniques au TA-4SU. Le frein de bouche couleur chrome du canon Colt Mk.12 (en) est également visible.

Dès l'année 1973, la Force aérienne de la république de Singapour (RSAF) commença à acquérir des Skyhawks. Le premier lot de plus de cinquante appareils — des anciens A-4B de la Marine américaine — fut commandé puis subséquemment réquisitionné dans les stocks du Military Aircraft Storage and Disposition Center (MASDC, actuellement AMARG), situé sur la base aérienne Davis-Monthan, en Arizona, puis envoyé à Lockheed Aircraft Service (LAS) à Ontario, en Californie, et sa subsidiaire Lockheed Aircraft Service Singapore (LASS), à Singapour. Ils y subirent une révision et une rénovation majeures[1].

Ces avions resurgirent ensuite en tant qu'A-4S monoplaces (44 cellules) et TA-4S biplaces (3 cellules), tous ayant reçu plus de cent modifications. Celles-ci incluaient un nez légèrement plus long, pour recevoir un équipement avionique nouveau, cinq points d'emports au lieu des trois habituels, une antenne ADF en forme de selle sur le dos du fuselage, des plaques de blindage pour le cockpit, des destructeurs de portance (spoilers), une perche de ravitaillement coudée, la capacité à tirer des missiles air-air AIM-9 Sidewinder et un logement pour un parachute de freinage sous la tuyère moteur de l'A-4AB d'origine. Comme pour les A-4H israéliens, qui furent armés d'une paire de canons DEFA de 30 mm, les avions singapouriens furent armés de canons ADEN de calibre 30 mm à la place des canons Colt Mk.12 (en) de calibre 20 mm originaux. Une commande ultérieure pour quatre cellules d'entraînement biplaces fut placée en 1976, ces appareils rejoignant la RSAF en 1977[1],[4].

Les appareils d'entraînement n'étaient pas des TA-4 standards, avec un cockpit commun pour l'instructeur et l'élève, mais furent à la place reconstruits par Lockheed avec un insert de 710 mm dans le fuselage avant et une verrière en bulle séparée pour l'instructeur derrière le cockpit de l'élève, lui offrant ainsi une bien meilleure vision périphérique. Cette modification était unique pour la RSAF mais pas pour Lockheed, qui avait déjà réalisé de tels agencements de cockpits avec les avions SR-71B et TU-2S, versions d'entraînement des SR-71 et U-2 qui possédaient également des cockpits décalés. Après leur conversion, ces avions d'entraînement TA-4S furent équipés du turboréacteur d'origine Wright J65, comme sur les A-4B/C, au lieu des Pratt & Whitney J52 utilisés par les biplaces d'entraînement TA-4F/F construits spécifiquement pour ce rôle par Douglas. Ce fut la raison principale pour laquelle la RSAF décida de ne pas se procurer de TA-4E/F (si à la place une commande avait été placée), qui aurait obligé la force aérienne à effectuer la maintenance de deux moteurs différents pour des appareils essentiellement similaires[4].

Tous les monoplaces furent ensuite retirés du service, lorsque la version améliorée A-4SU commença à entrer en service. Les biplaces par contre furent améliorés et maintenus en service[4].

A-4S-1 et TA-4S-1[modifier | modifier le code]

Un second lot de 70 cellules fut commandé — un mélange d'A-4B et A-4C ex-US Navy — en 1980. Ces appareils furent directement livrés à Singapour pour être reconstruits, les A-4C devenant les A-4S-1, tandis que les A-4B devaient rester en stockage pour servir de sources de pièces détachées. En parallèle avec un petit nombre de TA-4S-1, ces nouveaux Skyhawks — caractérisés par une perche de ravitaillement droite au lieu de la version coudée des A-4S/TA-4S originaux — rejoignirent la RSAF en tant que remplaçants des appareils usés, dès 1982. Toutefois, ces cellules conservèrent les canons de 20 mm Colt Mk.12 originaux des A-4C[4].

En 1983, une troisième commande de huit TA-4S vit seize A-4B de l'Aerospace Maintenance and Regeneration Center (AMARC, actuellement AMARG) être convertis et reconstruits en tant que huit avions d'entraînement TA-4S-1[4].

A-4SU et TA-4SU Super Skyhawk[modifier | modifier le code]

Une maquette à échelle 1 du TA-4SU, exposée sur le stand de Singapore Aircraft Industries (SAI), lors de l'exhibition Asian Aerospace de 1988.

En 1985, constatant que quatre A-4S avaient été retirés du service dans des accidents séparés, associé aux faibles taux de disponibilité de la flotte originale d'A-4S, la RSAF mena une enquête, qui révéla que malgré un potentiel restant encore élevé pour les cellules, les moteurs Wright J65 utilisés par les Skyhawks étaient trop vieux, et les pièces détachées qui étaient associées devenaient difficiles et chères à obtenir. Par conséquent, la RSAF décida de faire évoluer les A-4S et TA-4S plutôt que de les remplacer[4].

SAI reçut le contrat comme entreprise principale liée au projet d'évolution et le turbofan sans postcombustion General Electric F404-GE-100D fut sélectionné comme nouveau groupe propulseur. Le projet de mise à jour s'étendit plus tard pour couvrir l'intégralité de la flotte des plus récents A-4S-1, ainsi que pour profiter de l'opportunité de complètement moderniser l'installation avionique de l'appareil : L'avion allait désormais disposer d'un chercheur/désignateur laser Pave Penny (en) dans le nez, un système de navigation inertielle (INS), un système de navigation TACAN, des récepteurs d'alerte radar (RWR) avant et arrière et des éjecteurs de leurres radar (bandelettes) et infrarouges (fusées)[4].

Les versions modernisées A-4SU et TA-4SU, avec leur nouveau moteur General Electric F404, disposaient de 29 % de poussée supplémentaire, qui résultat en une réduction du temps de décollage de 30 % ainsi qu'une augmentation de charge utile, de distance franchissable et de vitesse maximale. La vitesse maximale au niveau de la mer était désormais de 1 130 km/h, et la vitesse de croisière maximale à 30 000 pieds (9 100 m) était de 826 km/h[4],[5].

Carrière opérationnelle[modifier | modifier le code]

En service[modifier | modifier le code]

Photo de face d'un A-4SU Super Skyhawk. Notez la perche de ravitaillement coudée, les becs de bord d'attaque en position basse et la prise d'air dynamique. Des AIM-9 Sidewinder inertes (peints en bleu) sont également accrochés sous les pylônes extérieurs de l'appareil.

En 1974, le RSAF reçut suffisamment d'A-4S rénovés pour former les escadrons no 142 (en) et no 143 (en), qui furent basés respectivement sur les bases aériennes de Tengah et Changi (en). Au sein de la Force aérienne de la république de Singapour (RSAF), les A-4S et TA-4S reçurent des numéros de série à trois digits commençant par un 6 (ex : 600, 651…)[6].

À partir de 1982, les A-4S-1 et TA-4S-1 rejoignirent progressivement la RSAF comme remplaçants des appareils usés, un équilibre étant atteint en 1984 pour permettre la création d'une nouvelle unité, l'escadron no 145 (en), qui fut également basé sur la base aérienne de Tengah. Ces appareils reçurent des numéros de série à trois digits commençant par un 9 (ex : 900, 929…)[6].

En tout, environ 150 appareils — tous des A-4B et A-4C — furent acquis par Singapour[2].

Les A-4SU Super Skyhawks modernisés furent d'abord reçus par le 143e escadron, puis le 142e et le 145e, à partir de l'année 1989. L'avion fut aussi utilisé par l'équipe d'acrobatie aérienne Black Knights (en), pour les manœuvres aériennes de précision, de 1990 à 2000[6],[7],[8].

Fin du service dans les unités de première ligne[modifier | modifier le code]

Un TA-4SU en position de leader devant deux A-4SU, sur la base aérienne de Korat, en Thaïlande, pendant l'exercice Cope Tiger '02.

Après 31 ans d'opérations, la RSAF retira officiellement sa flotte de Super Skyhawks des unités de combat opérationnelles à Singapour, le [6]. Les réalisations des A-4SU incluaient un vol direct de Singapour vers les Philippines, incluant la toute première mission de ravitaillement en vol de la RSAF, en 1986[9], ainsi que la démonstration acrobatique des Super Skyhawks rouges et blancs des Black Knights pendant les expositions Asian Aerospace des années 1990, 1994 et 2000. Il fut utilisé une dernière fois par les Black Knights à l'occasion de la parade de la fête nationale singapourienne (en), le . Un mois avant son retrait des unités de première ligne, l'escadron de Skyhawks no 145 remporta les honneurs dans un exercice d'attaque mené contre ses rivals plus modernes F-16 et F-5, et émergea comme l'escadron hissé au plus haut niveau au cours de la compétition inter-unités des forces armées singapouriennes, un titre qu'il détenait depuis l'année 2000[10].

Le , un A-4SU fut donné à l'École polytechnique de Singapour (en) pour servir de plateforme technique d'étude aux élèves[11],[12]. Dans la foulée, l'École polytechnique de Ngee Ann (en)[12],[13], l'École polytechnique de Temasek (en)[14] et l'université de technologie de Nanyang reçurent chacune un A-4SU Skyhawk[12].

Deux des A-4SU mis à la retraite furent également donnés au Musée de l'Air et de l'Espace, en France, pour y être exposés en statique. Le , une cérémonie pour la signature d'un certificat de transfert et d'acceptation (en anglais : Certificate of Transfer and Acceptance) eut lieu entre des représentants de la RSAF et du musée français, sur la base aérienne de Cazaux, en France[12]. Depuis, seul le 928 est exposé dans le hall « Rosette » du musée, tandis que le 941 reste en stockage[15],[16].

Rôle secondaire[modifier | modifier le code]

Le TA-4SU 933 en ligne de vol sur la base aérienne de Cazaux, en 2004.
Le , une paire d'A-4SU Super Skyhawks (938 & 909) en exposition statique pendant un meeting aérien sur la base aérienne d'Istres.
Les Super Skyhawks en France.

En 1998, le Gouvernement français proposa à la RSAF d'utiliser les installations de la base aérienne 120 Cazaux. Un contrat de location de 25 ans pour l'entreposage de 18 appareils A-4SU et environ 250 membres de la RSAF et leurs familles fut signé plus tard dans la même année. De retour à Singapour, le 143e escadron fut désactivé en 1997, et ses avions furent transférés à l'escadron no 150, qui avait abandonné ses avions d'entraînement de base SIAI Marchetti SF.260[3]. Le nouvel escadron reprit ensuite le rôle de l'entraînement avancé sur avions à réaction, utilisant ses avions comme avions d'entraînement de pointe pour les pilotes de la RSAF. Cette réorganisation en fit le candidat tout désigné pour aller en France, et les premiers des 18 avions furent « emballés » et envoyés en France par bateau au milieu de l'année 1999, dans le cadre du programme d'entraînement avancé AJTP (Advanced Jet Training Program) de la RSAF[17].

Les onze appareils d'entraînement restants — quatre A-4SU et sept TA-4SU[18] — devaient initialement être retirés du service en 2007[19], mais ils restèrent en service jusqu'à la livraison de leurs remplaçants, douze Aermacchi M-346, qui eut lieu entre 2012[20],[21],[22] et 2014[23].

Versions[modifier | modifier le code]

  • A-4SU Super Skyhawk : Version évoluée de l'A-4S-1 ;
  • TA-4SU Super Skyhawk : Version évoluée des avions d'entraînement TA-4S et TA-4S-1.

Utilisateurs[modifier | modifier le code]

Un A-4SU de l'escadron no 150, photographié à RAF Waddington pendant le Waddington International Air Show de 2000.

Exemplaires en exposition[modifier | modifier le code]

De nombreux exemplaires sont actuellement en exposition dans divers lieux :

  • A-4S (600) BuNo 142850, en exposition statique au Singapore Discovery Centre (en)[25] ;
  • A-4S (690) BuNo 144979, en exposition statique à l'institut militaire SAFTI (en)[25] ;
  • A-4S (607) BuNo 145013, en exposition statique au musée de la Force aérienne de la république de Singapour[25] ;
  • TA-4S (651) BuNo 145047, fuselage avant et cockpit en exposition statique au musée de la Force aérienne de la république de Singapour[25] ;
  • A-4SU (928) BuNo 147797, en exposition statique au musée de l'Air et de l'Espace à Paris[15], tandis qu'un autre A-4SU (941, BuNo 145071) est en stockage[16] ;
  • A-4SU (929) BuNo 145073, gate guardian au musée de la Force aérienne de la république de Singapour[26] ;
  • TA-4SU (900) BuNo 147742, en exposition statique au musée de la Force aérienne de la république de Singapour[26].


L'A-4S no 607, BuNo 145013, sous les anciennes couleurs du Singapore Air Defence Command (SADC, actuellement RSAF). Notez également le canon ADEN monté dans l'emplanture d'aile.
Fuselage en exposition statique du TA-4S no 651, BuNo 145047, tel qu'il fut produit par Lockheed Aircraft Services (LAS).
L'A-4SU no 929, BuNo 145073, monté comme gate guardian à l'extérieur du musée.
Le TA-4SU no 900, BuNo 147742, avec une nacelle de ravitaillement accrochée sous le pylône d'emport central de fuselage.
Skyhawks en exposition au musée de la Force aérienne de la république de Singapour (RSAF).

Spécifications techniques (A-4SU)[modifier | modifier le code]

Données de International Directory of Military Aircraft[4], Skyhawk.org[5]

Caractéristiques générales

Performances

Armement

Avionique

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c (en) « Singapore servicing », Flight International magazine, Flight Global/Archives, vol. 101, no 3289,‎ , p. 421 (lire en ligne [PDF]).
  2. a et b (en) « Douglas A-4 Skyhawk Production History » [archive du ], sur a4skyhawk.org, A-4 Skyhawk Assiociation (consulté le ).
  3. a et b (en) « Speech by Chief of Air Force, Major-General Lim Kim Choon, at the Inauguration of the 150 Squadron Building in Cazaux Air Base, France » [archive du ], Ministère de la Défense, (consulté le ).
  4. a b c d e f g h et i (en) Frawley 2002, p. 155.
  5. a et b (en) « Douglas A-4 Skyhawk Technical Data » [archive du ], sur Skyhawk.org (consulté le ).
  6. a b c d e f g et h (en) « Republic of Singapore Air Force » [archive du ], sur a4skyhawk.org, Skyhawk Association, (consulté le ).
  7. (en) Gail Wan et Chua Soon Lye, « RSAF Black Knights all ready to wow spectators at Singapore Airshow », Pioneer, MINDEF,‎ (ISSN 0048-4199, lire en ligne).
  8. a et b (en) « Black Knights - History » [archive du ], MINDEF, (consulté le ).
  9. (en) « RSAF's first air-to-air refuelling », sur sg.geocities.com, (consulté le ).
  10. (en) « The SAF's Best Combat Units » [archive du ], MINDEF, (consulté le ).
  11. (en) « Super Skyhawk Touches down at Singapore Polytechnic » [archive du ], Singapore Polytechnic, (consulté le ).
  12. a b c et d (en) « Retired RSAF Super Skyhawks Find New Home in French Museum », sgforums, (consulté le ).
  13. (en) « Ngee Ann Polytechnic received a A-4SU Super Skyhawk donated by The RSAF », Ngee Ann Polytechnic, (consulté le ).
  14. (en) « School of Engineering: Diploma in Aerospace Electronics » [archive du ], Temasek Polytechnic (consulté le ).
  15. a et b (en) Pierre-Clement Got, « Douglas A-4SU Skyhawk - Singapore - Air Force », Airliners.net, (consulté le ).
  16. a et b (en) « Musée de l'Air et de l'Espace: Stored Dugny », sur AviationMuseum.eu, (consulté le ).
  17. (en) « RADM (NS) Teo Inaugurates RSAF’s Advanced Jet Training Facilities at Cazaux » [archive du ], MINDEF, (consulté le ).
  18. (en) Adam Baddeley, « The AMR Regional Air Force Directory 2011 » [archive du ] [PDF], Asian Military Review (consulté le ).
  19. (en) Douglas Poster et Gary Verver, « A-4 Republic of Singapore Air Force » [archive du ], sur Skyhawk.org, A-4 Skyhawk Association (consulté le ).
  20. (en) S. Ramesh, « MINDEF awards contract to ST Aerospace to acquire 12 M-346 aircraft » [archive du ], MediaCorp Channel NewsAsia, (consulté le ).
  21. (en) Jon Grevatt, « Alenia Aermacchi's M-346 wins Singapore jet trainer race » [archive du ], Jane's Information Group, (consulté le ).
  22. (en) Siva Govindasamy, « Singapore to announce M-346 trainer selection » [archive du ], Flightglobal.com, (consulté le ).
  23. Guillaume Steuer, « Singapour : la base de Cazaux accueillera bientôt douze M-346 », sur Air et Cosmos, (consulté le ).
  24. (en) « The RSAF Inaugurates the M-346 into 150 Squadron » [archive du ], sur www.mindef.gov.sg, MINDEF (consulté le ).
  25. a b c et d (en) Joseph Baugher, « US Navy and US Marine Corps BuNos Third Series (140053 to 145061) », sur www.joebaugher.com, (consulté le ).
  26. a et b (en) Joseph Baugher, « US Navy and US Marine Corps BuNos Third Series (145062 to 150138) », sur www.joebaugher.com, (consulté le ).
  27. (en) Andreas Parsch, « AN/APQ - Equipment Listing », sur www.designation-systems.net, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

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