Saint-Georges-d'Orques

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Georges-d'Orques
Saint-Georges-d'Orques
L'église Saint-Georges.
Blason de Saint-Georges-d'Orques
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Montpellier Méditerranée Métropole
Maire
Mandat
Jean-François Audrin
2020-2026
Code postal 34680
Code commune 34259
Démographie
Gentilé Saint-Georgiens
Population
municipale
5 600 hab. (2021 en augmentation de 3,3 % par rapport à 2015)
Densité 602 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 36′ 41″ nord, 3° 46′ 53″ est
Altitude 89 m
Min. 45 m
Max. 183 m
Superficie 9,31 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Georges-d'Orques
(ville isolée)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pignan
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Georges-d'Orques
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Georges-d'Orques
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Voir sur la carte topographique de l'Hérault
Saint-Georges-d'Orques
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Saint-Georges-d'Orques

Saint-Georges-d'Orques est une commune française située dans l'est du département de l'Hérault en région Occitanie. Saint-Georges-d'Orques fait partie de Montpellier Méditerranée Métropole.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de Lassedéron, le ruisseau de la Fosse et par un autre cours d'eau.

Saint-Georges-d'Orques est une commune urbaine qui compte 5 600 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Saint-Georges-d'Orques et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Saint-Georgiens ou Saint-Georgiennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte

Situé à 8 km à l'ouest de Montpellier, Saint-Georges-d'Orques est un village viticole. Le point culminant offre, par beau temps, une vue sur le mont Saint-Clair de Sète jusqu'à la Grande Motte. En arrière-plan se trouve le pic Saint-Loup.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Georges-d'Orques
Montarnaud Grabels
Murviel-lès-Montpellier Saint-Georges-d'Orques Juvignac
Pignan Lavérune

Transports[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 691 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Villeneuve-lès-Maguelone à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 15,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 591,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[7],[8],[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Georges-d'Orques est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[I 1],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Georges-d'Orques, une unité urbaine monocommunale[I 2] de 5 397 habitants en 2017, constituant une ville isolée[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5],[I 6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (45,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (34,7 %), cultures permanentes (22 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), zones urbanisées (19,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Georges-d'Orques est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de Lasséderon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 2002, 2003, 2005 et 2014[15],[13].

Saint-Georges-d'Orques est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Georges-d'Orques.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 739 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 733 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les origines de Saint-Georges-d'Orques remontent à la haute antiquité méditerranéenne, comme en témoignent les poteries et bronzes gallo-romains qui y ont été découverts. De ces « orcas » qui sont des grands vases en terre cuite, le village aurait tiré son nom[réf. nécessaire].

Légende[modifier | modifier le code]

Saint Georges vit le jour en Cappadoce, vécut sous l'empereur Dioclétien et mourut en martyr au début du IVe siècle.

Selon la légende du XIe siècle, Georges qui était un chevalier (devenu le patron des cavaliers) aurait combattu un dragon pour sauver une princesse Libyenne, la fille unique du roi de Silène. Du sang de la bête serait sorti un rosier rouge. Le chevalier aurait alors cueilli une fleur pour l'offrir à la jeune fille qui lui aurait rendu son amour en lui offrant un livre.

La légende a survécu rappelant cette idée de l'Amour courtois (le Fin'Amor) du Moyen-Age. La Saint Georges (ou Sant Jordi) a été déclarée, en 1996, Journée Mondiale du Livre par l'UNESCO.

Le dragon représenterait les forces de l'Obscurantisme dont triompheraient les fleurs de la Culture.

La fête du était aussi très importante, dans une bonne partie de l'Europe rurale, car elle annonçait le retour du printemps autorisant la reprise de certaines coutumes agraires. Enfin, c'est à partir de la St Georges que l'on pouvait s'offrir des bouquets de fleurs coupées et que les premières transhumances pouvaient débuter; les troupeaux redescendaient à partie de la Saint Michel (29/09).

Sur la commune de Saint-Georges d'Orques, on retrouve des représentations de saint Georges, symbolisé dans sa victoire - représenté à cheval, en armure, portant un écu et une bannière d'argent à la croix de gueules et terrassant le dragon avec sa lance, sur la façade de la cave coopérative et sur le fronton de l’église.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Georges-d'Orques Blason
« De gueules à Saint Georges contourné d'argent monté sur un cheval d'or harnaché du champ terrassant un dragon d'argent ».
Détails
Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Histoire[modifier | modifier le code]

Extrait de l'usuel du compoix de Saint-Georges-d'Orques, représentant un arbre (1593).

Rattaché à l'évêché de Maguelone dès le XIe siècle, le village cerclé de murailles attendra le XVIe siècle pour acquérir son nom moderne : Sant Jòrdi D'Orques (langue d'oc).

Le fief de Saint-Georges faisait partie, au XIIe siècle de la maison seigneuriale de Murviel.

En 1199, une vente est consentie au profit de Guilhem VIII, seigneur de Montpellier.

Saint-Georges sera ensuite apporté à Pierre II, roi d’Aragon, lors de son mariage avec Marie, fille de Guillaume, en 1204. Il sera ensuite vendu, en 1349, à Philippe de Valois. Le fief de Saint-Georges rentre alors dans la fortune des rois de France, jusqu’au XVIe siècle. 1622, le village ceint de remparts, est assiégé et pris par l’armée protestante conduit par le duc de Rohan.

À cette époque, Saint-Georges-d’Orques est dirigé par deux conseils, un conseil politique ou privé, renouvelé tous les ans, et un conseil général. Le conseil général, qui élit les consuls, est formé par tous les habitants ayant pignon sur rue. La commune était déjà bien organisée, elle maintiendra ces usages, à peu d’exception près, jusqu’en 1756, malgré les divers événements (les guerres de religion). Ensuite, le fief de Saint-Georges-d’Orques dépendra de différentes familles[Lesquelles ?].

Après l’abolition des droits seigneuriaux, lors de la Révolution, la commune est créée et élit son maire en . Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire régénérée » en l’an II[20].

En 1793, Saint-Georges d'Orques est chef-lieu d'un canton[21] qui rassemblait les communes de Lavérune[22], Juvignac[23], Murviel-les-Montpellier[24], Montarnaud[25], Saint-Paul-et-Valmalle[26] et Grabels[27].

Au fil des siècles, l'élevage, ainsi que la culture des céréales et de l'olivier cohabitant avec celle de la vigne, ont peu à peu cédé à cette dernière. Le vin de la région fut exporté à travers toute l'Europe dès le Moyen Âge et entra dans l'histoire en 1807, quand Thomas Jefferson, alors ambassadeur et futur président des États-Unis, rapporta quelques-unes de ces bouteilles de ses séjours français.

Aujourd'hui[Quand ?] situé en pleine zone d'appellation d'origine contrôlée AOC Languedoc, le terroir Saint-Georges-d'Orques a conservé une activité viticole de qualité qui exporte ses crus sur les tables des restaurants du monde entier. La zone AOC Languedoc Saint-Georges-d'Orques s'étend également sur les communes de Juvignac, Lavérune, Pignan et Murviel-lès-Montpellier.

La tradition camarguaise est également très présente dans le village. Chaque année le troisième week-end d'août, la fête votive bat son plein, suivit de son revivre qui a lieu le week-end suivant, sans compter les différentes courses camarguaises qui ont lieu tout au long de la saison taurine (trophée Montpellier Méditerranée Métropole, Trophée de l'Avenir et des As et vaches cocardières). Fier de son club taurin Le Trident créé au début des années 50, Saint Georges a su transmettre ses traditions au fil des années à ses habitants.

Une autre tradition est également maintenue, le jeu de tambourin.

De nombreux portails et grilles de maisons particulières ou bâtiments communaux, ainsi que celui du cimetière, sont peints de couleur verte et leurs pointes en jaune.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790 1792 Pierre Saint-Pierre    
1792   Jacques Allien    
1800 1801 Bruguière    
1801 1808 Antoine Allien    
1808 1815 Antoine Saint-Pierre    
1815 1824 Jean Poujol    
1824 1830 Jean Poujol fils    
1830 1839 Antonin Saint-Pierre    
1839 1847 Jean-Pierre Allien    
1847 1848 Urbain Courty    
1848 1852 Léon Vidal    
1852 1860 François Allien    
1860 1867 Hyppolyte Courty Léon Vidal    
1867 1870 Eugène Delgrès    
1870 1875 Antoine-René Bompard    
1875 1878 Sévérin Deleuze    
1878   Justin Allien    
1885 1888 Auguste Saint-Pierre[28]    
1888 1892 Joseph Cambon[28]    
1892 1900 Frédéric Saint-Pierre[29]    
1900   Martial Héral[29]    
Les données manquantes sont à compléter.
1965 1977 René Ferlet[30] SFIO puis PS Alpiniste, député suppléant de Gilbert Sénès (1967-1968)
Les données manquantes sont à compléter.
1989 1995 Claude Seigner    
juin 1995 mars 2008 Gaston Jean-Marie Moralès PS Expert comptable
mars 2008 En cours Jean-François Audrin UMP puis LR puis Horizons[31] Vétérinaire, Conseiller régional

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 5 600 habitants[Note 4], en augmentation de 3,3 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
464464472568611657643696690
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7948839909729477688421 0171 082
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2131 1421 1091 0581 020974844728877
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0001 0911 7572 7273 5674 3984 9635 0405 343
2015 2020 2021 - - - - - -
5 4215 6285 600------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 2 223 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 5 299 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 820 [I 7] (20 330  dans le département[I 8]). 60 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 6] (45,8 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 8,5 % 10,4 % 10 %
Département[I 10] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 350 personnes, parmi lesquelles on compte 78,3 % d'actifs (68,3 % ayant un emploi et 10 % de chômeurs) et 21,7 % d'inactifs[Note 7],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 1 130 emplois en 2018, contre 1 292 en 2013 et 1 309 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 337, soit un indicateur de concentration d'emploi de 48,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,6 %[I 13].

Sur ces 2 337 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 358 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 82,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,1 % les transports en commun, 8,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

610 établissements[Note 8] sont implantés à Saint-Georges-d'Orques au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 610 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
43 7 % (6,7 %)
Construction 141 23,1 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
124 20,3 % (28 %)
Information et communication 23 3,8 % (3,3 %)
Activités financières et d'assurance 19 3,1 % (3,2 %)
Activités immobilières 26 4,3 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
103 16,9 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
85 13,9 % (14,2 %)
Autres activités de services 46 7,5 % (8,1 %)

Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,1 % du nombre total d'établissements de la commune (141 sur les 610 entreprises implantées à Saint-Georges-d'Orques), contre 14,1 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[35] :

  • CMJ, fabrication industrielle de pain et de pâtisserie fraîche (6 015 k€) ;
  • So.p 34, travaux de couverture par éléments (2 703 k€) ;
  • Somali, location et location-bail de machines et équipements pour la construction (2 607 k€) ;
  • Laboratoire Insphy, fabrication de parfums et de produits pour la toilette (2 350 k€) ;
  • BDP Concept, ingénierie, études techniques (1 911 k€).

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 93 62 27 20
SAU[Note 11] (ha) 359 261 nd 125

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 93 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 62 en 2000 puis à 27 en 2010[38] et enfin à 20 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 78 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[39],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 359 ha en 1988 à 125 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 4 à 6 ha[38].

Sports[modifier | modifier le code]

Rugby à XIII[modifier | modifier le code]

La commune compte un club de rugby à XIII depuis 2013 : les « Dragons de Saint-Georges ». Ce club propose une école de rugby, des équipes de catégorie U7 à U 11 et une section « Loisirs » mixte qui pratique le Touch rugby[40]. C'est presque le hasard qui a fait de la commune un village de rugby à XIII. La fédération cherchait à créer une nouvelle école de rugby dans l'ouest montpelliérain dans les années 2000 ; elle contacte donc plusieurs communes et c'est Saint-Georges d'Orques qui se déclare intéressée. À noter que l'équipe dirigeante se compose en 2019 de Jean-Luc Garcia et de Nicolas Haddadi mais aussi d'anciens joueurs comme l'international Frédéric Zitter et l'ancien joueur de Montpellier Patrick Cobos[41].

Autres sports[modifier | modifier le code]

Le club de balle au tambourin du Sport club Saint-Georges-d'Orques représente la ville dans les compétitions nationales du jeu. Le Sport club compte six titres de champion de France séniors masculins (entre 1965 et 1973) et trois succès en Coupe de France (1953, 1954 et 1969).

Le club de horse-ball de Saint-Georges-d'Orques fait partie des 9 clubs de la Région Sud-Est, et est engagé régulièrement dans des compétitions nationales. De plus, le club organise et participe à des compétitions internationales pour jeunes.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Expression locale[modifier | modifier le code]

Lors de la grande sécheresse du milieu des années 1940, un projet ubuesque avait vu le jour, prévoyant de détourner le Rhône jusqu'aux alentours de Saint-Georges-d'Orques. Aujourd'hui, cette anecdote est devenue expression. On affirme par exemple à un menteur que « le Rhône est en crue à Saint-Georges-d'Orques » lorsqu'on veut mettre en évidence la grossièreté de son mensonge[42].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Saint-Georges-d'Orques » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Georges-d'Orques » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Georges-d'Orques » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Georges-d'Orques » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Georges-d'Orques » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Georges-d'Orques et Villeneuve-lès-Maguelone », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Villeneuve-les-Mag-Inra » (commune de Villeneuve-lès-Maguelone) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Villeneuve-les-Mag-Inra » (commune de Villeneuve-lès-Maguelone) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Georges-d'Orques », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Georges-d'Orques », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Georges-d'Orques », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Georges-d'Orques », sur Géorisques (consulté le )
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  15. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Georges-d'Orques », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  19. « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278,‎ , p. 413 (lire en ligne).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Lavérune », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Juvignac », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Murviel-lès-Montpellier », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Montarnaud », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Paul-et-Valmalle », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Grabels », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  28. a et b « 1 MI 696/2 - Délibérations du conseil municipal (12 mai 1878-5 juillet 1894). 1 MI 696/2 - 1878-1894 », sur Archives départementales de l'Hérault (consulté le ).
  29. a et b « 1 MI 696/2 - Délibérations du conseil municipal (13 juillet 1894-2 mai 1913). 1 MI 696/2 - 1894-1913 », sur Archives départementales de l'Hérault (consulté le ).
  30. https://maitron.fr/spip.php?article23733
  31. Hérault - Jean-François Audrin quitte Les Républicains pour rejoindre Horizons
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Entreprises à Saint-Georges-d'Orques », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  36. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  37. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  38. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Georges-d'Orques - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  39. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Hérault » (consulté le ).
  40. « Rugby à XIII : la belle passion des Dragons de Saint-Georges », sur midilibre.fr, Midi Libre, (consulté le ).
  41. Hervé Girette, « La conquête de l'ouest montpelliérain », Planète XIII, no 15,‎ , p. 38-40 (ISSN 2647-8323).
  42. Dictionnaire des anecdotes littéraires, Denis Boissier
  43. a b et c Inauguration du nouveau Stade de l'Occitanie avec de nombreux officiels et sportifs de hauts niveau, publié sur le site de la mairie de Saint-Georges-d'Orques (consulté le 22 juin 2019)
  44. Martine Biard, « Notice d'autorité », sur Référence sur Catalogue mondial WorldCat.org (consulté en ), P. 1, 2 et 3.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Séverin Deleuze, Saint-Georges-d'Orques aux XVIIe et XVIIIe siècles, Nîmes, C. Lacour, , 69 p.
  • Albert Fabre, Histoire de Saint-Georges-d'Orques, 3e canton de Montpellier, département de l'Hérault, Nîmes, Clavel-Ballivet, , 64 p.
  • Louis Secondy, Entre Coulazou et Mosson : 10 villages, 10 visages, Montpellier, L. Secondy, , 419 p.
  • Maxence Tringale, Topographie funéraire et translations de cimetières de la fin du Moyen-Âge à nos jours, essai d'archéologie des périodes très documentées : l'exemple du canton de Pignan (34), communes de Cournonsec, Cournonterral, Fabrègues, Murviel-lès-Montpellier, Pignan, Saint-Georges-d'Orques et Saussan, Montpellier, Université Montpellier III - Paul Valéry, , 82 p.

Fonds d'archives[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]