Saint-Julien-le-Châtel

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Saint-Julien-le-Châtel
Saint-Julien-le-Châtel
L'entrée sud du bourg de Saint-Julien-le-Châtel.
Blason de Saint-Julien-le-Châtel
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Creuse Confluence
Maire
Mandat
Catherine Roby
2020-2026
Code postal 23130
Code commune 23204
Démographie
Population
municipale
140 hab. (2021 en diminution de 4,76 % par rapport à 2015)
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 06′ 57″ nord, 2° 16′ 11″ est
Altitude Min. 397 m
Max. 482 m
Superficie 15,3 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Gouzon
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Saint-Julien-le-Châtel
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Saint-Julien-le-Châtel

Saint-Julien-le-Châtel est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

La Voueize au pont de la RD 84.

Dans le centre de la France, plus précisément dans le quart nord-est du département de la Creuse, la commune de Saint-Julien-le-Châtel s'étend sur 15,30 km2[1]. Le territoire communal est traversé du sud au nord sur cinq kilomètres par la Voueize et à l'ouest par son affluent le ruisseau de l'Étang Pinaud qui forme une retenue importante d'environ 35 hectares à l'étang de Pinaud. La commune est bordée au sud-est sur près de deux kilomètres par la Tardes.

L'altitude minimale avec 397 mètres[1] se trouve localisée à l'extrême nord-ouest, là où le ruisseau de l'Étang Pinaud quitte le territoire communal et entre sur celui de Pierrefitte. L'altitude maximale avec 482 mètres[1] est située un kilomètre et demi à l'est-sud-est du bourg, près du lieu-dit la Barre[2].

À l'intersection des routes départementales (RD) 40, 54 et 84, le bourg de Saint-Julien-le-Châtel est situé, en distances orthodromiques, vingt kilomètres au nord-nord-est d'Aubusson, la sous-préfecture.

Le territoire communal est également desservi par les RD 55 et 993.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Saint-Julien-le-Châtel et des communes avoisinantes.

Saint-Julien-le-Châtel est limitrophe de cinq autres communes.

Communes limitrophes de Saint-Julien-le-Châtel
Pierrefitte Saint-Loup
Saint-Chabrais Saint-Julien-le-Châtel Le Chauchet
Peyrat-la-Nonière

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 908 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lupersat à 15,98 km à vol d'oiseau[6], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 934,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10],[11].

Aucune aire protégée ne concerne le territoire communal.

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1].

Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[13].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

En 2022, deux ZNIEFF sont recensées sur la commune d’après l'INPN[14].

Le bassin versant de l'étang des Landes est une ZNIEFF de type 2[Note 2] qui concerne l'intégralité de ce bassin versant, qui s'étend sur 30,52 km2, sur le territoire de six communes[15]. Cette ZNIEFF est remarquable par la présence de très nombreuses espèces, dont 92 sont déterminantes : 73 animales et 19 végétales[16]. Sur le territoire de Saint-Julien-le-Châtel, elle représente toute une zone dans le nord-est de la commune, sur environ 140 hectares, comprenant les lieux-dits le Bois Poissin et les Feuillades[17].

Le site « Étang Pinaud » est une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1[Note 3] située principalement dans le nord-ouest du territoire de Saint-Julien-le-Châtel, et très partiellement sur ceux de Pierrefitte et Saint-Chabrais ; il englobe l'étang de Pinaud proprement dit dans son intégralité et ses rives, ainsi que la vallée du ruisseau de Rebeyrette, sur les 600 mètres en amont de l’étang[Note 4],[18].

Bien que limitée à une superficie de moins d'un kilomètre carré, cette ZNIEFF présente une diversité biologique importante avec 63 espèces animales recensées (une libellule et 62 oiseaux), dont douze espèces déterminantes d'oiseaux, ainsi que 74 espèces végétales dont une déterminante[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Julien-le-Châtel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (53,5 %), zones agricoles hétérogènes (32,5 %), forêts (8,8 %), terres arables (2,8 %), eaux continentales[Note 6] (2,4 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transport routier[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Julien-le-Châtel est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Julien-le-Châtel.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 27,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 115 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 51 sont en aléa moyen ou fort, soit 44 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[26].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Julien-le-Châtel est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Durant la Révolution, la commune porte d'abord le nom de Saint-Julien-l'Égalité[31] puis celui de Voise[32].

Histoire[modifier | modifier le code]

Berceau de l'antique maison de Saint-Julien dès le XIe siècle. La terre de Saint-Julien, le château qui a donné le nom au chef de cette famille, porte titre de première baronnie de la Marche. Les seigneurs de Saint-Julien portent de sable au lion d'or, billeté de même.

La famille De Saint-Julien tirent leur origine des princes de Chambon et des Sires de Bourbon.

Louis De Saint-Julien, chevalier, seigneur et baron de Saint-Julien et de la Rochette, seigneur de Daleron en Auvergne et de Beauregard en Combrailles comparut en qualité de premier baron de la province de la Marche à la convocation de la noblesse de cette province le . Il rendit l'hommage de la terre de Saint-Julien le à la régente Anne De France.

(S'ensuit la déclaration des dix-neuf fiefs, des places, terres et seigneuries que tient noble et puissant seigneur messire Louis De Saint-Julien, chevalier, seigneur baron dudit lieu. Premièrement le château de Saint-Julien ou ledit chevalier a tout droit de Baronnie, justice haute, moyenne et basse. Place forte de grande étendue où il y a dans l'église de beaux jardins, fossoyé, environné de fortes murailles et autres fortifications).

Le château de Saint-Julien était flanqué de douze tours et défendu à la distance de 1,5 km par une tour isolée entourée de fossés (Tour du Breuil).

Cette antique forteresse fut reconstruite par Françoise De Chateauneuf (1602), veuve du Baron Claude De Saint-Julien.

Les fiefs tenus par le baron Claude De Saint-Julien : Montelladonne, Cherchaud, Haute-Serre, Joux, Montberger, Neyrolles, Rebeyrette, La Barre, La Chaud, Le Chier, La Courcelle, Le Montely, Le Theil, La Vaille, Luchat.

Les actuels derniers descendants de cette famille sont les familles PICAUD, BOUDEAU, DE SAINT-VAURY, D'USSEL.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie en 2021.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1981   Maurice Lachaudru    
         
mars 2001 mars 2014 Guy Nore    
mars 2014 En cours Catherine Roby UMP-LR Fonctionnaire

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

En 2021, la commune comptait 140 habitants[Note 7], en diminution de 4,76 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
464431447496480550553546563
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
550530549569580572550516513
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
528504464425401361361349316
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
286279246190174172169168155
2018 2021 - - - - - - -
141140-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château de Saint-Julien-le-Châtel.
  • Église Saint-Julien de Saint-Julien-le-Châtel[36].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Rainier Ier de Saint-Julien, baron de Saint-Julien, seigneur de Beauregard, de Perudette, de Veauce, des Farges et de Saint-Augustin. Il obtint en 1391 du roi Charles VI des lettres enjoignant aux hommagers de sa baronnie de faire guet et garde dans le château et forteresse de Saint-Julien.
  • Louis de Saint-Julien, chevalier, seigneur et baron de Saint-Julien et de la Rochette en la Marche, seigneur de Daleron en Auvergne et de Beauregard en Combrailles, comparut en qualité de premier baron de la province de la Marche à la convocation de la noblesse de cette province le . Il rendit l'hommage de la terre de Saint-Julien le à Anne de France, entre les mains de Jacques d'Aubusson, baron de la Borne, son sénéchal.
  • Pierre de Saint-Julien, seigneur de la Rochette, de Beauregard, des Portes et du Breuil, chevalier de l'ordre du roi, lieutenant général de ses armées, colonel des Suisses, nommé en 1542 lieutenant du Roi en la province de la Marche.
  • Urbain de Saint-Julien, seigneur de Peirudette, du Breuil, de Veauce, des Farges et du Sailhan, troisième fils de Rainier Ier et de Marie de Saint-Avit, obtint le , du Roi Charles VI, un ordre adressé à Pierre de Montmorin, son chambellan et sénéchal de Saint-Pierre-le-Moutier, pour marcher au secours du seigneur de Peirudette contre son frère Louis, baron de Saint-Julien, qui lui faisait la guerre et qui le força à lui rendre hommage.
  • Symphorien de Saint-Julien, seigneur de la Rochette, chevalier de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, vice-amiral de France, ambassadeur en Hollande, gouverneur du Havre.
  • Eugène Parry (1822-1900), né sur la commune, a été conseiller général, député et sénateur.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Julien-le-Châtel Blason
De sable semé de billettes d'or, à un lion du même armé et lampassé de gueules brochant[37].
Détails
Armes de la famille de Saint-Julien.

Création Jean-François Binon, adoptée par la commune.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Selon les cartes du Géoportail, il s'agit du ruisseau de Rebeyrette alors que le Sandre considère que c'est le cours supérieur du ruisseau de l'Étang Pinaud.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « 482 » sur Géoportail (consulté le 14 novembre 2021)..
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Julien-le-Châtel et Lupersat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lupersat_sapc » (commune de Lupersat) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lupersat_sapc » (commune de Lupersat) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  11. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Julien-le-Châtel », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Julien-le-Châtel », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Julien-le-Châtel », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. ZNIEFF 740120044 Bassin versant de l'étang des Landes, INPN - MNHN, consulté le .
  16. [PDF] Espaces Naturels du Limousin, L. Chabrol, Bassin versant de l'étang des Landes - (Identifiant national 740120044), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  17. « Carte du bassin versant de l'étang des Landes (en vert clair) à Saint-Julien-le-Châtel » sur Géoportail., consulté le .
  18. « Carte de la ZNIEFF de l'étang Pinaud (en vert foncé) » sur Géoportail., consulté le .
  19. [PDF] Espaces Naturels du Limousin, L. Chabrol, Étang Pinaud - (Identifiant national 740006172), INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Julien-le-Châtel », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Julien-le-Châtel », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  31. Nom avéré en tant que nom révolutionnaire sur Archives départementales de la Creuse, p. 4.
  32. EHESS-Cassini[1] donne La Voise comme nom de l'an II, Voise est avéré en tant que nom révolutionnaire sur Archives départementales de la Creuse, p. 7.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Église Saint-Julien, Observatoire du patrimoine religieux, consulté le .
  37. « 23204 Saint-Julien-le-Châtel (Creuse) », sur L'Armorial des villes et des villages de France (consulté le ).