Saint-Martin-de-Fugères

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Saint-Martin-de-Fugères
Saint-Martin-de-Fugères
L'église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge en 2009.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Le Puy-en-Velay
Intercommunalité CC Mézenc-Loire-Meygal
Maire
Mandat
Jean Chambon
2023-2026
Code postal 43150
Code commune 43210
Démographie
Population
municipale
231 hab. (2021 en augmentation de 5,96 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 24″ nord, 3° 56′ 07″ est
Altitude Min. 725 m
Max. 1 185 m
Superficie 20,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Mézenc
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Martin-de-Fugères

Saint-Martin-de-Fugères est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Martin-de-Fugères se situe à 21 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1] et à 47 km du Chambon-sur-Lignon[2]

Les Sentiers de grande randonnée GR 3/GR70 (chemin de Stevenson) confondus et GR 40 passent dans la commune.

Elle fait partie du bassin de vie et de la zone d'emploi du Puy-en-Velay[I 1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Alleyrac, Le Brignon, Chadron, Goudet, Le Monastier-sur-Gazeille et Salettes.

Communes limitrophes de Saint-Martin de-Fugères
Chadron Le Monastier-sur-Gazeille
Le Brignon Saint-Martin de-Fugères Alleyrac
Costaros Goudet Salettes

Relief[modifier | modifier le code]

Le bourg de Saint-Martin est situé au pied du mont Charcon (1 149 m) sur la bordure du plateau dominant à l'est la vallée resserrée de la Loire. Le chef-lieu est à 1 010 mètres d'altitude.

Le territoire communal est structuré par quatre monts, le mont Charcon (1 149 m), la Suchère (1 054 m), Chantegrail (1 107 m) et Nouroux à 1 114 m.

Carte du relief de la commune.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.

Le lit du fleuve la Loire constitue une partie de la limite ouest du territoire communal.

La commune est drainée également par les ruisseaux, notamment ceux de la Fatte et du Cros, qui en sont des affluents. La source de Bonnefond est une source d'eau minérale ferrugineuse[3],[4].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-de-Fugères est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[5],[I 2],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,3 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), forêts (21,4 %), terres arables (11 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[7]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Fugères est un hameau proche au sud-est de Saint-Martin

Les autres principaux hameaux sont Les Salles, Courmarcès, Le Cros, Fugères, Ponteils.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 256, alors qu'il était de 254 en 2015 et de 257 en 2010[I 5].

Parmi ces logements, 46,1 % étaient des résidences principales, 49,6 % des résidences secondaires et 4,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,4 % des appartements[I 6].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Martin-de-Fugères en 2020 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (49,6 %), très supérieure à celle du département (16 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,4 % en 2015), contre 70,3 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].

Le logement à Saint-Martin-de-Fugères en 2020.
Typologie Saint-Martin-de-Fugères[I 5] Haute-Loire[I 8] France entière[I 9]
Résidences principales (en %) 46,1 71,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 49,6 16 9,7
Logements vacants (en %) 4,3 12,4 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune vient de S. Martini de Feugeriis (Ernest Nègre)[8].

Histoire[modifier | modifier le code]

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Martin, instituée par la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle de Fugères et devient Saint-Martin-de-Fugères[9].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-de-Fugères est un village étape de Robert Louis Stevenson dans son Voyage avec un âne dans les Cévennes (1879) :

« C'était dimanche. Les champs de la montagne étaient tous déserts dans la clarté du soleil et, tandis qu'au bas de la côte, nous traversions Saint-Martin-de-Fugères, l'église débordait de fidèles jusque sur le seuil. Il y avait des gens agenouillés au-dehors sur les marches et le bruit du plaint-chant du prêtre m'arriva de l'intérieur obscur. Cela me donna aussitôt une impression de famille, car je suis, pour ainsi dire, un compatriote du dimanche, comme l'accent écossais, agitent en moi des sentiments complexes : reconnaissance et le contraire. Il n'y a qu'un voyageur, qui surgit là comme un évadé d'une autre planète, à pouvoir goûter exactement la paix et la beauté de la grande fête ascétique. La vue de la contrée au repos lui fait du bien à l'âme. Il y a quelque chose de meilleur que la musique dans le vaste silence insolite, et qui dispose à d'agréables pensées comme le bruit d'une mince rivière ou la chaleur du clair soleil. »

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement du Puy-en-Velay du département de la haute-Loire[I 1]

Elle faisait partie depuis 1801 du canton du Monastier-sur-Gazeille[9]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Mézenc[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Haute-Loire depuis le redécoupage électoral de 1986[10].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Saint-Martin-de-Fugères était membre de la petite communauté de communes du Mézenc et de la Loire Sauvage, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal, dont est désormais membre la commune[I 1].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
maire en 1967   Robert Roche DVD  
         
mars 2001 printemps 2023[11] Jean-Pierre Pons[12],[13]   Vice-président de la communauté de communes du Pays du Mézenc
Mort en fonction
août 2023[14] En cours
(au 30 novembre 2023)
Jean Chambon   Agriculteur

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[16].

En 2021, la commune comptait 231 habitants[Note 3], en augmentation de 5,96 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2161 2231 2341 2181 2771 2901 3111 3611 260
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2451 2541 0581 1121 1451 0571 1331 1561 186
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1881 1331 080973870849811761583
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
526512422363266245245243204
2015 2020 2021 - - - - - -
218236231------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[9] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 24,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,4 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 122 hommes pour 102 femmes, soit un taux de 54,46 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 10]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,6 
90 ou +
1,9 
7,8 
75-89 ans
9,3 
31,0 
60-74 ans
27,1 
22,5 
45-59 ans
20,6 
14,0 
30-44 ans
15,9 
11,6 
15-29 ans
8,4 
11,6 
0-14 ans
16,8 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2020 en pourcentage[I 11]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,4 
8,2 
75-89 ans
11,6 
20,2 
60-74 ans
20,2 
21,4 
45-59 ans
20,4 
16,9 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,3 
17,2 
0-14 ans
15,9 

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

  • AS Chadron Saint-Martin de Fugères[18],[19].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 107 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 218 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 540 [I 12] (20 800  dans le département[I 13]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 14] 4,3 % 7,4 % 7,5 %
Département[I 15] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 16] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 127 personnes, parmi lesquelles on compte 76,1 % d'actifs (68,7 % ayant un emploi et 7,5 % de chômeurs) et 23,9 % d'inactifs[Note 5],[I 14]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 17]. Elle compte 45 emplois en 2018, contre 46 en 2013 et 55 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 88, soit un indicateur de concentration d'emploi de 51,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,7 %[I 18].

Sur ces 88 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 34 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 19]. Pour se rendre au travail, 74,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 21,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 20].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Commune de Saint-Martin-de-Fugères (43210) - commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2024), sur https://www.insee.fr (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Saint-Martin-de-Fugères » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Saint-Martin-de-Fugères - Section LOG T2 » (consulté le ).
  7. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Saint-Martin-de-Fugères - Section LOG T7 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  9. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Martin-de-Fugères (43210) », (consulté le ).
  11. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  12. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Martin-de-Fugères » (consulté le ).
  13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  14. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Martin-de-Fugères » (consulté le ).
  15. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  18. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Martin-de-Fugères » (consulté le ).
  19. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  20. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Martin-de-Fugères et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Martin-de-Fugères et Le Chambon-sur-Lignon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Des travaux au chevet de la source : Un groupe de cinq jeunes scouts et guides de France d’Angers, les Unis Verts, âgés de 17 et 21 ans, a séjourné du 13 au 24 juillet pour un camp d’été isolé, au cœur des gorges sauvages de la Loire, au Mas de Bonnefont », L'Éveil de la Haute-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. Jean Grimaud, « Cure de jouvence à la source de Bonnefond qui coule en bordure de Loire : Depuis la fin du déconfinement, les marcheurs ont pu reprendre leurs balades et retrouver leurs coins favoris : la source d’eau minérale de Bonnefond par exemple, beaucoup découvrant les travaux intervenus cet été dans le petit bâtiment où elle jaillit du rocher et sur ces abords », L'Éveil de la Haute-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  8. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), p. 1628
  9. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  10. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  11. « Élection partielle complémentaire à la suite du décès du maire, Jean-Pierre Pons », Le Progrès (Lyon),‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 1er octobre 2014).
  13. « Jean-Pierre Pons réélu maire », L'Éveil de la Haute-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  18. AS Chadron St Martin de Fugères Site du Club de Football
  19. « Nouveaux maillots à l’AS Chadron St-Martin », L'Éveil de la Haute-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Notice no PA00092862, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture