Saint-Sauveur (Oise)

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Saint-Sauveur
Saint-Sauveur (Oise)
La mairie, rue Aristide-Briand.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne
Maire
Mandat
Claude Lebon
2020-2026
Code postal 60320
Code commune 60597
Démographie
Gentilé Saint-Salvatoriens, Saint-Salvatoriennes
Population
municipale
1 743 hab. (2021 en augmentation de 4,81 % par rapport à 2015)
Densité 106 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 09″ nord, 2° 47′ 02″ est
Altitude Min. 33 m
Max. 133 m
Superficie 16,5 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Sauveur
(ville-centre)
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Compiègne-2
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Sauveur
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Saint-Sauveur
Liens
Site web https://saint-sauveur60.fr/

Saint-Sauveur est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Sauveur est situé dans la partie sud-ouest de la forêt de Compiègne, à environ 15 km du centre-ville de Compiègne. Sa proximité avec la forêt en fait un village rural très calme et accueillant où les possibilités de promenades sont infinies.

À l'extrême-est du village, le relief devient plus accidenté pour laisser place à une colline souvent surnommée montagne de Saint-Sauveur (bien que ne dépassant pas 120 m d'altitude). Du haut de ce dénivelé, on bénéficie d'une vue panoramique du village en contrebas.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est drainé par plusieurs ruisseaux qui se jettent dans l'Oise : Le ru de la Fontaine Saint-Jean, le ru des Moilineaux, le ru aux Feuilles , le Grand ru, le ru de la Hideuse qui traverse la mare de l'Arbre Sec...

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 750 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Sauveur est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Sauveur, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[11] et 2 811 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (84,6 %), zones urbanisées (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %), terres arables (2 %), prairies (1,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée au sud de son territoire par la ligne d'Ormoy-Villers à Boves, qui a été mise en service en 1882, et le service voyageurs a été supprimé en 1939. La gare de Saintines - Saint-Sauveur, qui dispose d'importantes installations marchandises, se trouve dans la commune voisine de Saintines.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 103 et 105 du réseau TIC, par la ligne 13 du service AlloTIC et par la ligne 641 du réseau interurbain de l'Oise[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Salvator (1179) ; et Giroldi maisnili (1179) ; Giroldi mesnilium (1186) ; Geromenailium (vers 1215) ; Girosmenil (1220) ; Geromenil (1220) ; apud Girouomenill (1279) ; in villa et territorio de Giromenailio (1308) ; Giroumenil (1311) ; la prevoste de giromesnilg (1319) ; Giromesnil (1362) ; Sanctus Salvator (1399) ; S. Sauveur de Giromenil (1399) ; Giromesnil (XVe) ; Gerosmesnil (1564) ; Saint Sauveur de Geromesnil (XVIe) ; Girosmesnil (1610) ; Saint Sauveur ou Girosmesnil (1667) ; S. Sauveur de Géroménil (1764) ; Sauveur (1794) ; Sauveur Géroménil[18] (1794), durant la Révolution française; Saint-Sauveur (1840)[19].
Le village s'est appelé Giromesnil. Sa dénomination actuelle commémore la victoire remportée en 1359, non loin de là, par le capitaine de Béthisy sur les Anglais le jour de la Sainte-Trinité[20], du nom de l'église d'origine du lieu.

Saint-Sauveur est un hagiotoponyme qui trouve son origine de l'attribut de « sauveur du monde » attaché à Jésus-Christ par les églises chrétiennes.

Histoire[modifier | modifier le code]

  • Occupation romaine.
  • C'est après la victoire des Français sur les Anglais à Giromesnil (ou Géromesnil) le jour de la Sainte-Trinité 1359, que Hugues de Sézanne fit vœu de reconstruire l'église consacrée à Saint-Sauveur en l'honneur du jour de la victoire et que la localité prit le nom de son église[20].
  • Dépendait de la baronnie de Saintines.
  • Autrefois axée sur la culture du chanvre.
  • Depuis 1765[réf. nécessaire], et jusqu'à la fin du XXe siècle, l'activité principale a été l'industrie du bois et la brosserie, notamment au XIXe siècle[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Compiègne, année où celui-ci est divisé et la commune rattachée au canton de Compiègne-Sud. En 1982, celui-ci est lui-même scindé et la commune rejoint le canton de Compiègne-Sud-Est[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Compiègne-2.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de l'agglomération de la région de Compiègne (ARC), structure intercommunale qui succédait à un SIVOM créé en 1970.

Celle-ci fusionne avec la petite communauté de communes de la Basse Automne, qui n'atteignait pas les 15 000 habitants requis par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du [22] pour former, le , la communauté d'agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne (ARCBA), dont la commune est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1995 mars 2001 Françoise Courtalhac    
mars 2001 septembre 2018[23] Jean-Claude Granier SE Vice-président de l'ARC (2014 → 2016)
Vice-président de l'ARCBA (2017 → 2018 )
Décédé en fonction
décembre 2018[24],[25] En cours
(au 8 décembre 2018)
M. Claude Lebon SE Travailleur social retraîté

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

En 2015, la municipalité a mis en place des bacs de recyclage et composteurs au cimetière. Cette action a permis de collecter 180 litres de déchets recyclables et 800 litres de déchets vert par semaine. Le ministère de l'environnement a attribué 53 500 Euros à l'agglomération pour qu'elle équipe d'autres communes volontaires avec 53 composteurs de cimetière[26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 1 743 habitants[Note 3], en augmentation de 4,81 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
620727634641758759781811787
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
780809827843842910874877931
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9531 0039999579719399549671 018
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0441 1371 1811 5151 6491 6061 6041 5851 562
2015 2020 2021 - - - - - -
1 6631 7351 743------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 841 hommes pour 887 femmes, soit un taux de 51,33 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,8 
6,4 
75-89 ans
7,2 
16,2 
60-74 ans
17,2 
23,1 
45-59 ans
22,1 
19,3 
30-44 ans
19,1 
13,4 
15-29 ans
14,5 
21,1 
0-14 ans
19,2 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Services publics[modifier | modifier le code]

La commune décide fin 2018 de se doter d'une agence postale communale, afin d'éviter une fermeture sans compensation du bureau de poste[32].

Économie[modifier | modifier le code]

  • Ancienne brosserie Gourdelier, puis Bontemps, 181 rue Mabonnerie, fondée vers 1885. Exploitée par la SIAM depuis 1956, elle comptait en 1962 plus de 11 salariés, en 1983, 55 salariés et en 2000, 38 salariés[33].
  • En 2024, la fabrication de bâtonnets de glace est présente dans la commune. La société compte une dizaine de sites dans le monde et fait travailler localement une soixantaine de personnes[34].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église de la Sainte-Trinité.
Ancien temple protestant.

Saint-Sauveur compte un monument historique sur son territoire :

  • Église de la Sainte-Trinité, rue Aristide-Briand (inscrite monument historique par arrêté de 1948[35]) : elle remplace une église médiévale dédiée à saint Michel, vétuste déjà quand les troupes de Hugues de Cézanne battent les Anglais près de Verberie le jour de la Sainte-Trinité de 1359. Le capitaine fait alors le vœu de bâtir une nouvelle église placée sous ce vocable, mais le projet n'est finalement mis en exécution qu'à partir de la fin du XVe siècle au plus tôt. C'est ce qu'indique clairement le style gothique flamboyant de l'église, et les influences de la Renaissance perceptibles dans le transept et les bas-côtés de la nef.
Le gros-œuvre est probablement terminé en 1543, date qui se lit sur les remarquables vestiges de vitraux conservés dans le chœur. Le voûtement ne prend fin qu'en 1559, mais l'église reste à vrai dire inachevée, car les deux premières travées de la nef n'ont jamais été voûtées, et sont dépourvues de bas-côtés au sud. Hormis ce défaut et un manque d'élégance du clocher et de la façade, l'église de la Sainte-Trinité est une construction soignée, notamment à l'intérieur, qui fait preuve de recherche stylistique. L'extérieur est sobre, mais d'une belle régularité[36],[20].

On peut également noter les sites suivants :

  • Ancien temple protestant, rue Aristide-Briand.
  • Château du Soupiseau, manoir situé à l'ouest du village, avec son jardin[37].
  • Les restes d'antiques fours de potiers romains étaient encore visibles dans les années 50. L'exploitation forestière et les saccages les ont fait disparaître.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Communes limitrophes de Saint-Sauveur (Oise) » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Sauveur et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Saint-Sauveur », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. « Transports en commun à Saint-Sauveur », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 529.
  20. a b et c Dominique Vermand, « Saint-Sauveur, église de la Sainte-Trinité », Diocèse de Soissons, Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
  21. a et b « Saint-Sauveyr », Communes, sur http://www.agglo-compiegne.fr (consulté le ).
  22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  23. LP, « Jean-Claude Granier, le maire de Saint-Sauveur, est décédé : L’élu avait 76 ans. Ses obsèques auront lieu mercredi », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. Élie Julien, « Saint-Sauveur : Claude Lebon, futur maire, veut se sentir « utile » : L’ancien premier adjoint du maire décédé aura la lourde tâche de poursuivre l’action d’un élu très apprécié localement. Il compte s’appuyer sur le travail mené par son équipe jusque-là », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Claude Lebon élu maire à Saint-Sauveur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Claude Lebon (sans étiquette) a été élu maire de Saint-Sauveur, ce samedi 8 décembre. Sa liste était arrivée en tête des élections municipales organisées dimanche 2 décembre, décrochant 15 sièges sur 19 ».
  26. « Bacs de recyclage et composteurs au cimetière », sur Le Parisien (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Sauveur (60597) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. Cindy Belhomme, « Saint-Sauveur aura son agence postale communale », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Brosserie Gourdelier, puis Bontemps, actuellement usine d'emboutissage Siam », notice no IA60001110, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Orianne Maerten, « Les bâtonnets de Smart Wood s'exportent dans le monde entier : À Saint-Sauveur, dans l'Oise, l'entreprise Smart Wood fabrique des bâtonnets pour les glaces. La proximité de la forêt de Compiègne, qui fournit un quart de son bois, explique son implantation. », Courrier picard,‎ , p. 24 III.
  35. « L'église », notice no PA00114875, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Philippe Bonnet-Laborderie et François Callais, Entre rivière et forêts, la communauté compiégnoise : Saint-Sauveur, Beauvais, G.E.M.O.B., coll. « Villes d'art de l'Oise et de la Picardie », , 192 p. (ISSN 1255-0078), p. 89-92.
  37. « Jardin d'agrément du château du Soupisseau », notice no IA60001482, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.