Sausses

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Sausses
Sausses
Sausses et son « château ».
Blason de Sausses
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Franck Dagonneau
2020-2026
Code postal 04320
Code commune 04202
Démographie
Population
municipale
131 hab. (2021 en augmentation de 6,5 % par rapport à 2015)
Densité 8,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 00′ 34″ nord, 6° 46′ 58″ est
Altitude Min. 568 m
Max. 2 151 m
Superficie 14,68 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sausses
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Sausses

Sausses (en occitan Saussas) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Saussois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village est situé dans un vallon fermé, sur un promontoire à 700 m d’altitude[2], sur la rive droite du Var[3].

Sausses setouve à 7 km de Castellet-lès-Sausses, 11 d'Entrevaux et 16 de Guillaumes.

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune compte 332 ha de bois et forêts, soit 23 % de sa superficie[1].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

  • Sommet de la Tête de Travers[4],[5].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune[6] ou à son aval[7] :

  • Var (fleuve),
  • torrent le riou,
  • ruisseaux de Bez, de Champ Gras, de Clape,
  • ravins du riou, de la gourre, de la combe, des pourchiers.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Var, Alpes-Maritimes  » et « Alpes du sud »[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 028 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Méailles_sapc », sur la commune de Méailles à 12 km à vol d'oiseau[10], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 033,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,2 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sausses est une commune rurale[Note 2],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (54,3 %), forêts (35,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,6 %), zones agricoles hétérogènes (3 %)[20].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Sausses et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Voies routières[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la route départementale 2202 (tronçon historique de la route nationale 202).

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Un réseau des lignes de transport dessert régulièrement l'ensemble des communes des départements des Alpes-de-Haute-Provence - Alpes-Maritimes et Var[21],[22].

Gare de Pont de Gueydan, à 6 km[23], sur la commune de Saint-Benoît, desservie par la ligne de Nice à Digne du Train des Pignes.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

La commune de Sausses est exposée à trois risques naturels[24] :

  • feu de forêt,
  • inondation,
  • mouvement de terrain : certains versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[25].

La commune de Sausses n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[26]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[26] et le Dicrim existe depuis 2011[27].

La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle : en 1984 pour un tremblement de terre, pour des inondations et des coulées de boue en 1994 (deux fois : en hiver et à l’automne), ainsi que pour des glissements de terrain[24].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Entrevaux auquel appartient Sausses est en zone 2 (sismicité moyenne, la plus élevée de France métropolitaine) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[28], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village apparaît pour la première fois vers 1200 (de Salsis), qui dérive de l’occitan sausso, désignant une source d’eau salée, qui a été francisée par la suite[29].

Histoire[modifier | modifier le code]

Après la conquête romaine (achevée en 14 av. J.-C.), Auguste organise les Alpes en provinces. Le territoire de l’actuelle commune de Sausses dépend de la province des Alpes-Maritimes et est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas[30].

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes vers 1200[2]. Le nom vient d’une source salée située dans le lit du Var.

Au Moyen Âge, un second village était occupé sur le territoire de la commune, à La Bastide, et formait une communauté indépendante. Fortement dépeuplée par la crise du XIVe siècle (Peste noire et guerre de Cent Ans), elle est annexée par celle de Sausses au XVe siècle[31]. Les deux villages étaient des fiefs des Pontevès. Jusqu’en 1245, la communauté de Sausses relevait de la baillie d’Outre-Siagne, circonscription administrative du comté de Provence. Celle-ci est ensuite démembrée en plusieurs circonscriptions plus petites, et après une période de stabilisation, on sait qu’en 1264 Sausses faisait partie de la viguerie de Puget-Théniers[32]. Enfin, les deux paroisses de Sausses et de la Bastide relevaient de l’abbaye Saint-Dalmas de Pedona (aujourd’hui à Borgo San Dalmazzo)[33],[34]. La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Les trois co-seigneurs de Sausses, Guigon de Roumoules, Eustache Isnard et Bertrand Giraud, soutiennent tous trois le duc d’Anjou dès le printemps 1382, ce soutien étant conditionné à la participation du duc à l’expédition de secours à la reine[35]. Le village de Sausses est néanmoins conquis par le parti angevin au début de la guerre (avant 1385)[36].

Après la guerre de Cent Ans et une fois la sécurité revenue, de 1442 à 1471, 20 familles quittent le village pour repeupler les communautés de Moustiers-Sainte-Marie, Peyrolles et La Verdière[37].

L’ancien village de Sausses était auparavant situé à proximité du cimetière, mais un glissement de terrain ou un éboulement l’a enseveli[34].

À la fin de l’Ancien Régime, Sausses relevait de la viguerie d’Annot[34].

Durant la Révolution, l’archidiacre Raynard de l’ancien diocèse de Senez est arrêté en juin 1792 par la foule alors qu’il tentait d’émigrer vers Nice : il est lynché et jeté au Var[38]. La commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[39].

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités. Dès 1818, le cadastre dit napoléonien de Sausses est achevé[40].

Comme de nombreuses communes du département, Sausses se soucie de l’instruction primaire de ses garçons bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, une école fonctionne déjà au village[41]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants, et la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent pas Sausses[42],[43]. Si les subventions accordées par la deuxième loi Duruy (1877) permettent de construire une école neuve[44], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les petites filles de Sausses sont scolarisées.

Durant la Seconde Guerre mondiale, Yves Durandy sauve des Juifs de la déportation, et a été pour cette raison distingué comme Juste parmi les nations.

Jusqu’au milieu du XXe siècle, un vignoble existait à Sausses, dont la production était consommée sur place et s’exportait. Il n’en reste plus rien aujourd’hui[45]. De la même façon, l’autre plante symbolique des régions méditerranéennes, l’olivier, était cultivée dans la commune au XIXe siècle. Le terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres. Il n’est plus exploité actuellement[46].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1945   Avit Gaymard[47]    
1965 1978 Auguste Michel   Agriculteur
1989 mars 2001 Lucien Roubin PCF  
mars 2001 mars 2008 Paulette Dipopolo[48] PCF[49]  
mars 2008 octobre 2015[50] Daniel Paravicini[51],[52] MoDem Administrateur de sociétés
octobre 2015 février 2017 Alain Robini[50]    
février 2017 En cours Frank Dagonneau[53]    

Budget et fiscalité 2019[modifier | modifier le code]

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[54] :

  • total des produits de fonctionnement : 183 000 , soit 1 437  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 96 000 , soit 755  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 394 000 , soit 3 103  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 242 000 , soit 1 908  par habitant.
  • endettement : 322 000 , soit 2 538  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 18,61 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 30,90 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 72,49 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : Médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 430 [55].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Sausses a fait partie, de 2008 à 2016, de la communauté de communes du Pays d'Entrevaux[56] ; celle-ci a fusionné avec d'autres communautés de communes du sud-est du département pour constituer, le , la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.

La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)[57].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

En 2021, Sausses comptait 131 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Sausses). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

Évolution de la population  [ modifier ]
1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
281286289319277344307383401
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
367344289327306302337234235
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
205209176194158147130142104
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006
877671337965658789
2009 2014 2019 2021 - - - - -
117122132131-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
Évolution démographique avant 1793
1471
21 feux
(Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[31])

L’histoire démographique de Sausses, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1811 à 1851. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1906, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1846[60]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1970. Depuis, la population a plus que triplé.

Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[61] :

  • École maternelle et primaire à Daluis,
  • Écoles primairesà Daluis, Braux,
  • Collèges à Annot.
  • Lycée à Valdeblore.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[62] :

  • Médecins à Entrevaux, Guiullaumes, Annot,
  • Pharmacies à Entrevaux, Guiullaumes, Annot,
  • Hôpitaux à Puget-Théniers, Villars-sur-Var, Castellane.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Élevages d'ovins et de caprins.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Chambre d'hôtes.
  • Camping et hôtels à Entrevaux[64].

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité à Entrevaux, Annot[65].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chapelle Notre-Dame.
  • La chapelle Notre-Dame, ancienne église paroissiale abandonnée en 1807[72], s’était rapidement effondrée. Elle est reconstruite par un particulier en 1892[34]. Elle se trouve toujours au cimetière. La nef unique, voûtée d’arêtes, est précédée d’une façade simple à portail en plein cintre surmonté d’un œil-de-bœuf[73].
  • Source salée[74].
  • Lavoir de 1896.
  • Monument aux morts[75] : Conflits commémorés Guerre franco-allemande 1914-1918 - 1939-1945.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Sausses Blason
D'azur à un château d'or, accosté de deux lettres S, S, l'une à dextre et l'autre à senestre, de sable[76],[77].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Roger Brunet, « Canton d’Entrevaux », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
  2. a et b Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
  3. Notice no IVR93_20070401190NUC2A, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture Présentation de la commune de Sausses - Vue de la vallée du Var et du village de Sausses, prise de l'ouest
  4. Petit sommet du Mercantour entre les Alpes-de-Haute-Provence et Maritimes
  5. Le Pays d'Entrevaux
  6. « Cours d’eau de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  7. L'eau dans la commune
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Sausses et Méailles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Méailles_sapc », sur la commune de Méailles - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Méailles_sapc », sur la commune de Méailles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. Réseau des lignes régulières de transports des Alpes de haute-Provence
  22. Départ de Sausses
  23. Gare de Pont de Gueydan
  24. a b et c Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 19 août 2012
  25. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
  26. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 98
  27. Document, base Dicrim, consultée le 19 août 2012
  28. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
  29. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne)., § 20795, p. 1105
  30. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
  31. a et b Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 199
  32. Philippe Jansen, « Les droits comtaux dans les vigueries de Provence orientale d’après l’enquête de 1333 », Rives méditerranéennes, 37 | 2010, mis en ligne le 15 octobre 2011, p. 3-4.
  33. Jean-François Boué, « Implantation des ordres réguliers au Moyen Âge », CG 06.
  34. a b c et d Daniel Thiery, « Sausses », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 19 août 2012
  35. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 409 et 410 (note 42).
  36. G. Xhayet, op. cit., p. 416.
  37. Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècle, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIe siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. p. 85
  38. Juliette Hermellin, Senez en Haute-Provence : chroniques d’une cité épiscopale aux XVIIe – XVIIIe siècles, Les Alpes de Lumière, 2002, in Les Cahiers de Salagon no 7, (ISBN 2-906162-64-7), p. 74.
  39. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
  40. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
  41. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  42. Labadie, op. cit., p. 16.
  43. Labadie, op. cit., p. 18.
  44. Labadie, op. cit., p. 11.
  45. André de Réparaz, « Terroirs perdus, terroirs constants, terroirs conquis : vigne et olivier en Haute-Provence XIXe – XXIe siècles », Méditerranée, 109 | 2007, p. 56 et 59
  46. Réparaz, op. cit., p. 58
  47. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  48. Paulette Dipopolo est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Robert Hue (PCF) à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010, et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
  49. Parti communiste français, liste des maires communistes, publiée le 6 mars 2008 (sic), consultée le 25 septembre 2010
  50. a et b L. B., « Alain Robini passe l'écharpe de maire », La Provence, 5 octobre 2015, p. 16.
  51. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Saint-Jurs à Soleihas (sic) (liste 7), consulté le 10 mars 2013
  52. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  53. Franck Dagonneau élu maire
  54. Les comptes de la commune
  55. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  56. Communauté de communes du Pays d'Entrevaux, consulté le 24 août 2013
  57. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : PLUi du Moyen Verdon
  58. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  60. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute- Provence depuis le début du XIXe siècle », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 288.
  61. Établissements d'enseignements
  62. Professionnels et établissements de santé
  63. Paroisses ou secteurs paroissiaux
  64. Camping et hôtels
  65. Commerces et services de proximité
  66. Le château de Sausses
  67. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 271
  68. Chapelle du château, nouvelle église paroissiale
  69. Raymond Collier, op. cit., p. 380
  70. Église paroissiale Saint-Pons
  71. Sausses : Ccadran solaire de l'église Saint-Pons
  72. Chapelle Notre-Dame
  73. notice de la Base Mérimée, consultée le 22 février 2009
  74. Le nom de la commune provient de "sel" puisqu’il existait à proximité immédiate du Var une source d’eau salée
  75. Monument aux morts
  76. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).
  77. Dominique Cureau, « Pays d'Entrevaux : Sausses », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).