Solers

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Solers
Solers
La place de la mairie.
Blason de Solers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux
Maire
Mandat
Gilles Groslevin
2020-2026
Code postal 77111
Code commune 77457
Démographie
Gentilé Solersois
Population
municipale
1 231 hab. (2021 en diminution de 2,3 % par rapport à 2015)
Densité 196 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 39′ 28″ nord, 2° 43′ 01″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 102 m
Superficie 6,28 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Coubert
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontenay-Trésigny
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Solers
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Solers
Liens
Site web solers.fr

Solers est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Solers se situe à environ 10 km au sud-est de Brie-Comte-Robert.

Localisation de la commune de Solers dans le département de Seine-et-Marne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 62 mètres à 102 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 91 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Solers.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 3,96 km[5].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].

La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Nord-est du bassin Parisien »[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 715 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montereau-sur-le-Jard à 8 km à vol d'oiseau[11], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 657,9 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Solers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Coubert, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[21] et 5 102 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[22],[23].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[24],[25].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 70 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés consultables ici[26].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,5% ), forêts (16,3% ), zones urbanisées (9,1 %)[27].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[28],[29],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification[modifier | modifier le code]

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[30]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 537 dont 84,1 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 15,7 % d'appartements[Note 4].

Parmi ces logements, 89,9 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 8,2 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 84,4 % contre 14,8 % de locataires et 0,8 % logés gratuitement[31].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne d'autocars du réseau de bus du Pays Briard No 30A (Tournan-en-Brie – Melun).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Sollarium (vers 1100) ; Solerre (1248) ; Solerrium (1264) ; Solorra, Solairia, Soulloire en la chastelerie de Meleun (1320) ; Soloirre, Soloerre, Soloiere, Solorre (1370) ; Solairre (1384) ; Soulleres (1454) ; Soullerre ou pays de Brye (1494) ; Sollerre en Brye (1669) ; Soulers (1669) ; Soullaire (1682) ; Soullers (1720) ; Sollers (1723) ; Soleire en Brie (1756) ; Soulaire ou Soulerre (XVIIIe siècle) ; Soleres (1788)[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1789, Solers faisait partie de l'élection de Rozay et de la généralité de Paris et était régi par la coutume de Melun[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 1990 Claude Magnin PCF  
         
2014 En cours Gilles Groslevin   Artisan

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [32],[33].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Solers est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [34],[35],[36].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[37]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[34],[38].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [34],[39].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 1 231 habitants[Note 5], en diminution de 2,3 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
376431396355386332334320325
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
290288318308320302341378339
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
330326329275333331339360372
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
4204015036921 0991 2431 2791 2881 261
2018 2021 - - - - - - -
1 1861 231-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports[modifier | modifier le code]

  • installations communales de Solers (stade, rue du haut des plantes).

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 491, représentant 1 285 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 740 euros[44].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 95, occupant 601 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 74,6 % contre un taux de chômage de 5,1 %. Les 20,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,1 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 8,3 % de retraités ou préretraités et 3,9 % pour les autres inactifs[45].

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 73 dont 6 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 16 dans la construction, 16 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 5 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 2 dans les activités immobilières, 9 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 10 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 8 étaient relatifs aux autres activités de services[46].

En 2020, 16 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 15 individuelles.

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[47].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Solers est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[48].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[49]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 5 en 1988 à 3 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 133 ha en 1988 à 252 ha en 2010[48]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Solers, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Solers entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[48],[Note 7]
Nombre d’exploitations (u) 5 4 3
Travail (UTA) 29 9 7
Surface agricole utilisée (ha) 666 756 756
Cultures[50]
Terres labourables (ha) 664 753 750
Céréales (ha) 427 s s
dont blé tendre (ha) 269 324 s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 118 96 s
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) s 43 s
Élevage[48]
Cheptel (UGBTA[Note 8]) 42 1 2

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Monuments et lieux remarquables[modifier | modifier le code]

La commune ne compte pas de monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques (Base Mérimée)[51].

Autres monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Martin-et-Saint-Bruno, auquel il convient d’ajouter le patrimoine mobilier classé suivant :
    • Statue de saint Martin (Au fond de la nef )[52] ;
    • Tableau de saint François [53] ;
    • Tableau de saint Martin [54] ;
    • Ciborium (trompe-l’œil) (Chœur)[55] ;
    • Statue de saint Bruno (Au fond de la nef)[56] ;
    • Cloche en bronze[57] ;
    • Tableau du maître-autel, cadre : La Vierge et saint Joseph retrouvant Jésus dans le Temple (Chœur)[58] ;
    • Tableau : Jésus chez Marthe et Marie (Nef, mur nord, au-dessus de la porte d'entrée)[59] ;
    • Confessionnal (Nef)[60] ;
    • Autel (maître-autel) (Chœur)[61] ;
    • Tableau : saint Bruno (À droite du maître-autel)[62] ;
    • Meuble de sacristie[63].
  • L'ancienne chapelle d'un couvent de Chartreux :
    • le clocher est carré à contreforts coiffé en bâtière, nef unique couverte en charpente ;
    • il y a plusieurs tableaux du XVIIe et du XVIIIe.
  • Une croix des Chartreux, en pierre, qui date de 1636 ;
  • Cimetière militaire allemand :
Cimetière militaire de Solers
Cimetière militaire de Solers

Le cimetière militaire allemand se trouve à 50 km au sud-est de Paris et à la périphérie du village de Solers. Y reposent 2 228 soldats allemands de la Seconde Guerre mondiale[64].

Autres[modifier | modifier le code]

Le , un train en panne arrêté sur le viaduc a été heurté par le train suivant et plusieurs voitures sont projetées sur l'autre voie. Un 3e train qui revient vers Paris percute ces voitures et franchit le parapet pour tomber dans l'Yerres en contrebas[65].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Solers Blason
De gueules à saint Martin à cheval, partagent son manteau avec un mendiant, le tout d'argent posé sur une terrasse du même, au soleil levant d'or[66].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d’historiens, Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Solers », p. 119

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  4. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Solers - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Solers » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  2. « Plan séisme consulté le 6 juillet 2021 ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yerres (F4--0210) » (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Coubert (F4815100) » (consulté le ).
  5. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 24 novembre 2018
  6. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  7. « SAGE Yerres - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  8. site officiel du Syndicat mixte pour l'assainissement et la gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Solers et Montereau-sur-le-Jard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Melun » (commune de Montereau-sur-le-Jard) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Melun » (commune de Montereau-sur-le-Jard) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Solers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Solers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des espaces protégés sur la commune de Solers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Unité urbaine 2020 de Coubert », sur insee.fr (consulté le ).
  22. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  28. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
  29. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
  30. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  31. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 21 août 2020
  32. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur vie-publique.fr, (consulté le ).
  33. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
  34. a b et c « Commune de Solers - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  35. « CC Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  36. « CC Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  37. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
  38. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  39. « CC Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 8 juillet 2021.
  45. Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2018», consultée le 8 juillet 2021.
  46. Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 8 juillet 2021.
  47. Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 8 juillet 2021.
  48. a b c et d « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Solers. », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  49. « L'agriculture en Seine-et-Marne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  50. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Solers. », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
  51. « Plateforme ouverte du Patrimoine », sur le site du Ministère de la Culture (culture.gouv.fr) (consulté le ).
  52. Notice no PM77003745, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  53. Notice no PM77002450, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. Notice no PM77003107, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  55. Notice no PM77003886, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  56. Notice no PM77003746, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  57. Notice no PM77001696, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  58. Notice no PM77001697, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  59. Notice no PM77002236, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  60. Notice no PM77003744, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  61. Notice no PM77003105, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  62. Notice no PM77003106, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  63. Notice no PM77003887, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  64. (de) Site internet du «Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge» (le travail du Service d'Entretien des Sépultures Militaires Allemandes et description du cimetière à Solers
  65. Le Matin : derniers télégrammes de la nuit, s.n., (lire en ligne).
  66. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.