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Ébauche Vosges créées en 2013 à améliorer si possible vers le BD[modifier | modifier le code]

  • Fayé (Réf IGN OK) (Image OK) ▶️ Toponymie non sourcée et géologie à faire.
  • Haut de Falimont (Réf IGN OK) (Image OK) ▶️ déjà quelques améliorations.
  • Altenkraehkopf (Réf IGN OK) (Image OK) Toponymie et Histoire absente, géologie à faire.
  • Jungfrauenkopf (Réf IGN OK) (Image OK) et Trehkopf (Réf IGN OK) (Image OK)
  • Thannerhubel (Réf IGN OK) (Image OK)
  • Sudel (Réf IGN OK) (Image OK) ▶️ Toponymie absente, Histoire non sourcée, géologie à faire.

(2) Houillères de Communay (2022)[modifier | modifier le code]

Carte des départements français.
Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

Les houillères de Communay sont des charbonnages exploités sur le territoire des communes de Communay et de Ternay, au sud de Lyon dans le Rhône, dans le centre-est de la France.

La production totale du gisement s'élève à 800 000 tonnes, il est situé à l'extrémité occidentale du bassin houiller du Bas-Dauphiné qui est un lambeau du bassin houiller de la Loire.

Après quelques recherches en 1748 puis au début du XIXe siècle, l'activité démarre dans les années 1830 est s'industrialise vers 1850 avec le puits Bayettant et le puits de l'Espérance exploités jusqu'au commencement de la Première Guerre mondiale. Après la guerre l'activité est relancée avec le puits Sauveur jusqu'en 1923. D'autres tentatives de relances échoueront en 1926-1927, en 1941 et finalement en 1944.

Plusieurs vestiges subsistent au début du XXIe siècle tel que des terrils et des ruines de bâtiments miniers. Le carreau du puits de l'Espérance avec son chevalement reconstitué est le témoins le plus notable de l'activité minière.

Localisation[modifier | modifier le code]

Le bassin houiller s'étend sur le territoire des communes de Communay et de Ternay à l'extrémité sud-est du département du Rhône, à la limite avec la métropole de Lyon et l'Isère, en région française Auvergne-Rhône-Alpes. Il est situé à proximité immédiate du bassin houiller de la Loire, dont il est un lambeau et à 15 km au sud de Lyon[1].

Géologie[modifier | modifier le code]

Le gisement de Communay-Ternay est un lambeau synclinal du bassin houiller de la Loire. Ce gisement se prolonge vers le nord-est, en passant à l'est de Lyon. Ce prolongement est appelé « bassin houiller du Bas-Dauphiné » ou « bassin houiller de Lyon »[1],[2].

Le bassin houiller du Bas-Dauphiné est identifié par une soixantaine de sondages entrepris entre 1854 et 1925. Des couches minces de charbon et de schiste entre 750 et 1 500 mètres de profondeur. Ce gisement et jugé trop pauvre, trop profond et trop proche du terrain aquifère avec présence de molasse pour être exploité[2].

La concession de Ternay ne renferme qu'un petit lambeau d'affleurement d'une couche mince, restée inexploitée et enfermée dans des micaschistes[3].

La concession de Communay possède un gisement en forme de cuvette, formée par un profond et étroit synclinal coupé et disloqué par des failles transversales qui suivent un axe nord-sud. Ces failles sont comblées par des dykes de porphyres vert. Seul le flanc sud du synclinal est exploité, il est formé par cinq couches. Trois d'entre-elles mesurant en moyenne 1,2 mètres d'épaisseur chacune ont été exploitées[3].

Histoire[modifier | modifier le code]

Une action de la mine d'anthracite.

Les premiers travaux sont mentionnés en 1748, il s'agit de recherches aux affleurement de Chassagne à Ternay par grattage superficiel. Trois puits de recherche sont creusés entre 1800 et 1807, l'un d'entre eurx aurait atteint les micaschistes à 165 mètres de profondeur[4].

La double concession de Communay (421 ha) de Ternay (453 ha) est accordée le . La concession de Ternay est abandonnée dé 1835 après quelques recherches, seule la concession de Communay est exploitée[1]. Les puits et tranchées d'exploitation de Ternay sont signalés comme abandonnés, remblayés et éboulés en 1838[4].

L'exploitation démarre réellement en 1834 avec le fonçage du puits Bayettant (ou puits de la Veuve Molard) creusé à l'est des recherches de Chassagne. Il coupe une première couche à 68 mètres de profondeur et une seconde à 145 mètres. Le puits Bayettant est mis en communication avec le puits des Echelles bien moins profond que lui (20 mètres environ). Une distance de 110 mètres sépare les deux puits. Dans ce secteur, les couches sont dépilées entre 10 et 200 mètres de profondeur jusqu'en 1912[5].

Deux puits de recherche sont foncés au nord-est du bassin. Le puits Gueymard est commencé en 1830 mais est arrêté en 1834 au bout de 122 mètres en raison de fortes arrivées d'eau. Un travers-banc est engagé en 1846 sur une longueur de 40 mètres, sans résultats. Le puits Saint-André est quand-à-lui foncé en 1835, mais ses résultats et sa profondeur sont inconnus[5].

Les recherches sont relancées en 1854 avec le fonçage du puits de l'Espérance. Toutefois, il ne rencontre pas de couche exploitable à 96 mètres de profondeur. En 1874, le puits Bayettant est approfondi jusqu'à 174 mètres de profondeur. Quelques années plus tard, en 1877, le fonçage du nouveau puits Saint-Lucie jusqu'à 80 mètres de profondeur permet l'exploitation de la première couche rencontrée à 36 mètres. Le puits de l'Espérance rencontre finalement deux couches de charbon en 1879 après avoir été approfondi jusqu'à 220 mètres[5].

Ce nouveau secteur Sainte-Lucie – l'Espérance est exploité jusqu'au commencement de la Première Guerre mondiale. Les deux premières couches sont exploitées par dépilage et la troisième par tailles chassantes ou rabattantes, remblayées ou foudroyées[5].

Le puits Sauveur.

Après la fermeture de 1914, la Société Nouvelle des mines de Communay est constituée pour relancer l'exploitation entre 1919 et 1923. Elle entreprend le fonçage d'un nouveau puits à l'extrémité est du bassin houiller : le puits Sauveur, profond de 175 mètres. En parallèle, une campagne de sondage est lancé, en particulier dans les environs de l'ancien puits Gueymard. Malgré l'augmentation du tonnage fourni par le puits Sauveur (10 000 tonnes en 1923 contre 3 000 tonnes en 1920), la société fait faillite en 1923[6].

bataille du charbon[6].

La concession de Ternay est officiellement renoncée en , seule la concession de Communay est intégrée aux Charbonnages de France à la nationalisation en 1946. Elle est cependant abandonnée dé le . Une instruction d'arrêt des travaux est lancée en 1999, la concession est complètement abandonnée en puis officiellement renoncée le par Charbonnages de France[1].

Travaux[modifier | modifier le code]

Liste des puits[5],[6]
Numéro Nom Compagnie Période d'activité Profondeur Couches
1 Puits de Ternay inconnue 1800-1807
2
3
4 Puits Bayettant
(ou puits de la Veuve Molard)
Société Anonyme des Mines d’anthracite de Communay 1850-1912 175 m 3 couches
5 Puits Gueymard 1830-1835 122 m
6 Puits Saint-André 1835
7 Puits Espérance 1854-1914 210 m 5 couches
8 Puits Sainte-Lucie 1877-1914 80 m
9 Puits Sauveur Société nouvelle des Mines d’anthracite de Communay 1918-1923
1944-1947
175 m 2 couches
Puits et fendue Guerin 1926-1927
1944-1947
  • Le chevalement reconstitué du puits Espérance et les divers vestiges miniers, notamment des terrils.

Production[modifier | modifier le code]

La production totale du gisement est estimée à 800 000 tonnes de charbon[6],[7].

L'essentielle de la production est réalisé avant la Première Guerre mondiale : 750 000 tonnes au moment où la Société Anonyme des Mines d’anthracite de Communay dépose son bilan en 1914[3]. 35 000 tonnes sont exploitées entre 1918 et 1923, puis une production dérisoire lors de trois périodes éphémères en 1926-1927, 1941 et 1946[4],[6].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Références aux ouvrages[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Y. Paquette 2012, p. 2 et 3.
  2. a et b Y. Paquette 2012, p. 7.
  3. a b et c Y. Paquette 2012, p. 8.
  4. a b et c Y. Paquette 2012, p. 9.
  5. a b c d et e Y. Paquette 2012, p. 11.
  6. a b c d et e Y. Paquette 2012, p. 12.
  7. Y. Paquette 2012, p. 19.

Références à internet[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

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Communay

(3) Bassin salifère de Lorraine (2022)[modifier | modifier le code]

Carte des départements français.
Localisation du gisement sur la carte de France.

Le bassin salifère de Lorraine est un gisement d'Halite (sel gemme) situé en Moselle et Meurthe-et-Moselle, dans le nord-est de la France.

Il est toujours exploité dans les années 2020 à Varangéville.

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte des départements français.
Localisation du gisement sur la carte de Moselle et de Meurthe-et-Moselle.
  • Bassin houiller
  • Bassin ferrifère
  • Bassin salifère
  • Le gisement s'étend sur le territoire des départements de la Moselle et de Meurthe-et-Moselle, en région française Grand Est.

    Géologie[modifier | modifier le code]

    Histoire[modifier | modifier le code]

    Il est toujours exploité dans les années 2020 à Varangéville.

    Travaux[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

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    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.


    * Catégorie:Mine de sel en France Catégorie:Histoire de la Lorraine Catégorie:Sel alimentaire Catégorie:Histoire du sel

    (4) Houillères de Juigné-sur-Sarthe (2022)[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

    La concession de Sablé-sur-Sarthe possède une superficie de 11 657 ha. Elle est exploitée de 1822 à 1950 par les houillères de Juigné-sur-Sarthe avant d'être renoncée en 1950[1].

    Cette concession est grisouteuse est connait plusieurs explosions accidentelles. Les arrivées d'eau dans la mine s'élève à 141 900 m3 pour toute l'année 1894 (16 m3/h en moyenne). cela équivaut à remonter entre 8 et 14 m3 d'eau pour une seule tonne de charbon[2].

    [3]. [4]. [5]. [6]. [7]. [8].

    Production[modifier | modifier le code]

    Entre 1822 et 1944, 1 406 000 tonnes de charbon sont extrait[8].

    Évolution de l’exploitation de la Sanguinière[8].
    1943 1944 1945 1946 1947 1948 1949
    Production en milliers de tonnes 1,7 7 14 30 30 24 30

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    1. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées HE-JC-14
    2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées HE-JC-16
    3. H. Etienne et J.-C. Limasset 1979, p. 115.
    4. H. Etienne et J.-C. Limasset 1979, p. 116.
    5. H. Etienne et J.-C. Limasset 1979, p. 117.
    6. H. Etienne et J.-C. Limasset 1979, p. 118.
    7. H. Etienne et J.-C. Limasset 1979, p. 119.
    8. a b et c H. Etienne et J.-C. Limasset 1979, p. 120.

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

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    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    • H. Etienne et J.-C. Limasset, Ressources en charbon de la région Pays-de-la-Loire : Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et Vendée, Nantes, BRGM, (lire en ligne [PDF]). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    • Jean-Pierre Guyard, « Les mines de Juigné », La vie Mancelle & Sathoise, no 444,‎ , p. 24-31

    Catégorie:Bassin houiller de Laval

    À améliorer d'ici 2025 (5 articles)[modifier | modifier le code]

    À améliorer plus tard (1 article et de nombreux potentiels)[modifier | modifier le code]

    • Houillères de Champagnac
    • Houillères de Blanzy : créer des articles sur chaque concessions et chaque puits importants.
    • Utiliser le livre de Pierre-Christian Guillard, Les chevalements des houillères Françaises, Fichous, Pierre-Christian Guillard, , 268 p. (ISBN 2-9502503-6-X) pour créer ou améliorer des articles sur de nombreux puits intéressant partout en France.

    A créer d'ici 2022-2030 (13 articles)[modifier | modifier le code]

    Houillères du Plessis[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

    Le bassin houiller du Plessis est un gisement de houille situé sur le territoire de la commune du Plessis-Lastelle, dans la Manche, dans le nord-ouest de la France.

    Exploité de 1794 à 1859, la production totale des mines s'élève à 70 000 tonnes de charbon.

    Localisation[modifier | modifier le code]

    Le bassin houiller s'étend sur le territoire de la commune du Plessis-Lastelle au coeur du département de la Manche, en région française de Normandie. Il est situé à proximité immédiate du bassin houiller de Littry (40 km à l'est) et à 40 km au sud de Cherbourg.

    Géologie[modifier | modifier le code]

    Histoire[modifier | modifier le code]

    Travaux[modifier | modifier le code]

    Production[modifier | modifier le code]

    La production totale des mines s'élève à 70 000 tonnes de charbon.

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

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    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

    Catégorie:Entreprise liée au secteur du charbon ayant son siège en France Plessis Catégorie:Patrimoine industriel Catégorie:Manche à l'époque contemporaine Catégorie:Économie dans la Manche Catégorie:Géographie de la Manche Catégorie:Entreprise française disparue

    Bassin houiller de Quimper[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

    Le bassin houiller de Quimper est un gisement de houille situé dans le secteur de la commune de Quimper, dans le Finistère, dans l'ouest de la France.

    Localisation[modifier | modifier le code]

    Le bassin houiller s'étend dans le secteur de la commune de Quimper au sud du département du Finistère, en région françaisede Bretagne. Les gisement houiller les plus proches sont celui de Littry et du Plessis-Lastelle au nord-est, ceux de Laval et de Basse Loire à l'est, et enfin, celui de Vendée, au sud-est.

    Géologie[modifier | modifier le code]

    Histoire[modifier | modifier le code]

    Travaux[modifier | modifier le code]

    Production[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

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    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

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    Catégorie:Mine de charbon en France

    Mines de lignite d'Hostens[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

    Les mines de lignite d'Hostens sont des charbonnages de lignite situés sur le territoire de la commune d'Hostens, dans la Gironde, dans le sud-ouest de la France.

    Localisation[modifier | modifier le code]

    Le gisement s'étend sur le territoire de la commune d'Hostens au sud du département dans la Gironde, en région française de Nouvelle-Aquitaine. Il est situé à proximité immédiate du mines de lignite de Laluque, à 80 km au sud.

    Géologie[modifier | modifier le code]

    Histoire[modifier | modifier le code]

    Travaux[modifier | modifier le code]

    Production[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

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    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

    • [PDF] J. Dubreuilh et G. Le Pochat, Recherche d'argiles hyperalumieuses et de lignite dans les Landes, Pessac, BRGM, (lire en ligne)
    • Serge Lerat, « Les gisements de lignite et les centrales thermiques des Landes », Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest. Sud-Ouest Européen, t. 32, fascicule 4,‎ , p. 351-357 (lire en ligne, consulté le )

    Catégorie:Mine de charbon en France

    Mines de lignite d'Arjuzanx[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

    Les mines de lignite d'Arjuzanx sont des charbonnages de lignite situés sur le territoire de la commune d'Arjuzanx, dans les Landes, dans le sud-ouest de la France.

    Localisation[modifier | modifier le code]

    Le gisement s'étend sur le territoire de la commune d'Arjuzanx au sud du département des Landes, en région française de Nouvelle-Aquitaine. Il est situé à proximité immédiate des mines de lignite d'Hostens, à 70 km au nord et des mines de lignite de Laluque, à 20 km au sud.

    Géologie[modifier | modifier le code]

    Histoire[modifier | modifier le code]

    Travaux[modifier | modifier le code]

    Production[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

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    Catégorie:Mine de charbon en France

    Mines de lignite de Laluque[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

    Les mines de lignite de Laluque sont des charbonnages de lignite situés sur le territoire de la commune de Laluque, dans les Landes, dans le sud-ouest de la France.

    Localisation[modifier | modifier le code]

    Le gisement s'étend sur le territoire de la commune de Laluque au sud du département des Landes, en région française de Nouvelle-Aquitaine. Il est situé à proximité immédiate des mines de lignite d'Hostens, à 80 km au nord et des mines de lignite d'Arjuzanx, à 20 km au sud.

    Géologie[modifier | modifier le code]

    Histoire[modifier | modifier le code]

    Travaux[modifier | modifier le code]

    Production[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

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    Bibliographie[modifier | modifier le code]

    Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

    • [PDF] J. Dubreuilh et G. Le Pochat, Recherche d'argiles hyperalumieuses et de lignite dans les Landes, Pessac, BRGM, (lire en ligne)
    • Serge Lerat, « Les gisements de lignite et les centrales thermiques des Landes », Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest. Sud-Ouest Européen, t. 32, fascicule 4,‎ , p. 351-357 (lire en ligne, consulté le )
    • [PDF] IRSP, Réseau des mines de lignite de Laluque, Inventaire des Réseaux Spéciaux et Particuliers, (lire en ligne)
    • https://francearchives.fr/findingaid/1cf369928a6858d80fc25dad9a7e14d2f80cd429

    Catégorie:Mine de charbon en France

    Mines de lignite de Saint-Lon-les-Mines[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

    Les mines de lignite de Saint-Lon-les-Mines sont des charbonnages de lignite situés sur le territoire de la commune de Saint-Lon-les-Mines, dans les Landes, dans le sud-ouest de la France.

    Localisation[modifier | modifier le code]

    Le gisement s'étend sur le territoire de la commune de Saint-Lon-les-Mines au sud du département des Landes, en région française de Nouvelle-Aquitaine. Il est situé à proximité immédiate du mines de lignite de Laluque, à 30 km au nord et des mines d'anthracite de Sare, à 50 km au sud-ouest.

    Géologie[modifier | modifier le code]

    Histoire[modifier | modifier le code]

    Travaux[modifier | modifier le code]

    Production[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

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    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

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    Catégorie:Mine de charbon en France

    Bassin houiller des Corbières, Houillères de Graissessac et Mines de lignite du Minervois[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.
    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.
    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

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    Bassin houiller du Larzac[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

    Le bassin houiller du Larzac est un gisement de houille situé sur le Larzac, dan le "département" dans le sud de la France.

    Localisation[modifier | modifier le code]

    Le bassin houiller s'étend dans le Larzac au point cardinal du département du [[]], en région française d'Occitanie. Les bassins houillers les plus proches sont les houillères de Graissessac au sud et le bassin houiller de Carmaux et celui de Rodez au nord. Le bassin des Cévennes s'étend à l'est.

    Géologie[modifier | modifier le code]

    Histoire[modifier | modifier le code]

    Travaux[modifier | modifier le code]

    Production[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    1. Jacques Laumorm et Bruno Cahuzac, L'exploitation de la mine de Saint-Lon-les-Mines du XVIIIe au XXe siècles, Dax, Soc. Borda, (lire en ligne [PDF]).

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

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    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

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    Catégorie:Mine de charbon en France

    Bassin houiller de Langeac[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

    Le bassin houiller de Langeac est un gisement de houille situé sur le territoire de la commune de Langeac, dans la Haute-Loire, dans le centre-sud de la France.

    Localisation[modifier | modifier le code]

    Le bassin houiller s'étend sur le territoire de la commune de Langeac, dans le département de la Haute-Loire, en région française d'Auvergne-Rhône-Alpes. C'est le plus méridional des bassins auvergnats, le plus proche étant celui de Brassac-les-Mines. Au sud-est se trouve le bassin de Rodez et au nord-est le bassin houiller de la Loire.

    Géologie[modifier | modifier le code]

    Concession[modifier | modifier le code]

    Marsanges[modifier | modifier le code]

    Chadernac[modifier | modifier le code]

    La Chadèle[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

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    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

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    Catégorie:Mine de charbon en France

    Bassin houiller Roannais[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

    Le bassin houiller Roannais est un gisement de houille situé dans le Roannais, à cheval entre la Loire et le Rhône, dans le centre-est de la France.

    exploité entre 1752 et 1928.

    Localisation[modifier | modifier le code]

    Le bassin houiller s'étend dans le Roannais à cheval entre les départements de la Loire et du Rhône, en région française d'Auvergne-Rhône-Alpes. Il est situé à proximité des bassins auvergnats (à l'ouest), du bassin de La Chapelle-sous-Dun (au nord), du bassin houiller de la Loire, (dans le sud) et du bassin de Communay (au sud-est).

    Géologie[modifier | modifier le code]

    Histoire[modifier | modifier le code]

    Travaux[modifier | modifier le code]

    Production[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

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    Bassin houiller du Bas-Dauphiné[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.

    Le bassin houiller du Bas-Dauphiné (ou bassin houiller de Lyon) est un gisement de houille situé au sud et à l'est de Lyon dans le département du Rhône, dans le centre-est de la France.

    Houillères de Communay

    Localisation[modifier | modifier le code]

    Le bassin houiller s'étend au sud et à l'est de Lyon dans le département du Rhône, en région française d'Auvergne-Rhône-Alpes. Il est situé à proximité des bassins auvergnats (à l'ouest), du bassin Roannais (au nord), du bassin houiller de la Loire, (à l'ouest) et de Voglans à l'est.

    Géologie[modifier | modifier le code]

    Histoire[modifier | modifier le code]

    Houillères de Communay

    Travaux[modifier | modifier le code]

    Production[modifier | modifier le code]

    Notes et références[modifier | modifier le code]

    Voir aussi[modifier | modifier le code]

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    Articles connexes[modifier | modifier le code]

    Bibliographie[modifier | modifier le code]

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    Catégorie:Mine de charbon en France

    Liste moins prioritaire / à voir 2030-2050 (25 articles) 😅[modifier | modifier le code]

    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte de Moselle et de Meurthe-et-Moselle.
  • Bassin houiller
  • Bassin ferrifère
  • Bassin salifère
  • Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte de France.
    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.
    Carte des départements français.
    Localisation du gisement sur la carte des bassins houillers français.