Utilisateur:Alibi culturel/Rose Marie Arbour

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

La mise en forme de cet article est à améliorer ().

La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».

Rose Marie Arbour
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Nationalité
Canadienne
Activité
Historienne de l'art, professeure d'université
Autres informations
A travaillé pour

modifier - modifier le codeDocumentation du modèle

Rose Marie Arbour (née en 1939) est une historienne de l'art et professeure québécoise à la retraite spécialisée dans la question des femmes en art[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Rose Marie Arbour a occupé le poste de professeure associée au Département d'histoire de l'art de l'UQAM. Ses recherches portent sur l'histoire des artistes femmes et sur le contexte social, politique et économique des pratiques artistiques contemporaines[2]. Ses écrits ont notamment contribué à mettre de l'avant l'apport des femmes au mouvement automatiste ainsi que le caractère interdisciplinaire de ce mouvement[3].

À titre de commissaire d'exposition, elle a organisé les expositions Art et féminisme (1982, Musée d'art contemporain de Montréal, 1982)[4] et La Sculpture et le Vent (avec Serge Fisette, 2004, Centre d’exposition Circa)[5][6].

Elle a contribué de nombreux textes à des revues spécialisées québécoises ​​telles que Espace, Intervention, Possibles, Spirale et Vie des arts[1].

Publications[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

Contributions[modifier | modifier le code]

  • « Les expositions collectives : un bilan », dans Elaine Steinberg-Kraut (dir.),​​ ​​Actuelles I, Montréal, Air Canada, 1983, p. 38-47. En ligne
  • « La fabrication de la figure de l’artiste en tant que femme dans les années 1960 au Québec », dans Francine Couture (dir.), Les arts et les années 60, Montréal, Les Éditions Triptyque, 1991, p. 79-88.
  • « L’apport des femmes peintres au courant post-automatiste : une représentation critique (1955-1965) », dans Francine Couture (dir.), Les arts visuels du Québec dans les années soixante, La reconnaissance de la modernité. Montréal, VLB Éditions, 1993, p.23-70.
  • « Inventer et transmettre », dans ​​Trans-mission : La Centrale, 1996 : Transmission de l’héritage des femmes en arts visuels, Montréal, La Centrale, Galerie Powerhouse, 1996, p.14-18. En ligne
  • « Nouvelles pratiques sculpturales, Yvette Bisson, Françoise Sullivan et Claire Hogenkamp », dans Francine Couture (dir.), Les arts visuels au Québec dans les années soixante, tome II. L’éclatement du modernisme, VLB Éditeur, Montréal, 1997, p. 277-335.
  • « Dissidence et différence : aspects de l’art des femmes » dans Marie-Charlotte De Koninck et Pierre Landry (dir.), Déclics art et société. Le Québec des années 1960 et 1970, Québec, Musée de la civilisation/Musée d’art contemporain de Montréal/Fides, 1999, p.116-150. En ligne
  • « Le champ de l’art moderne et les femmes artistes au Québec dans les années 1960 », dans Antonia Trasforini (dir.), Arte a Parte. Donne artiste fra margini e centro, Franco Angeli Editore, Milan, 2000. En ligne
  • « Les expositions collectives de femmes artistes et leurs catalogues : 1965-1990 », dans Francine Couture (dir.), Exposer l’art contemporain du Québec. Discours d’intention et d’accompagnement, Montréal, Centre de diffusion 3D, 2003
  • « Y a-t-il quelque chose après l’exposition collective de femmes ? », dans Serge Fisette (dir.), La sculpture et le vent. Femmes sculpteures au Québec, Centre d’exposition Circa, Centre d’exposition 3D, Montréal, 2004, p. 3-11. En ligne

Références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ a et b Jean-Marie Tremblay, « Rose Marie Arbour », sur Les classiques des sciences sociales, Université du Québec à Chicoutimi, (consulté le )
  2. ↑ Jocelyne Connolly, « Rose-Marie Arbour, L'art qui nous est contemporain, Montréal, Artextes, Coll. « Prendre parole », 1999, 158 p. », Bulletin d'histoire politique, vol. 9, no 3,‎ , p. 91 (ISSN 1201-0421 et 1929-7653, DOI 10.7202/1060486ar, lire en ligne, consulté le )
  3. ↑ Johanne Lamoureux, « Les effets de l’art contemporain : relecture interdisciplinaire de la modernité plastique au Québec », Francofonia, vol. 9, no 37,‎ , p. 56 (lire en ligne)
  4. ↑ Lysanne Langevin, « Concentrer les énergies. Entretien avec Rose Marie Arbour », Spirale,‎ , p. 7
  5. ↑ Michel Hellman, « Sculptures et identité », sur Le Devoir, (consulté le )
  6. ↑ Serge Fisette, La sculpture et le vent. Femmes sculpteures au Québec, Montréal, Centre d’exposition Circa, Centre d'exposition 3D,

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notices d'autorité :

Bibliographie des écrits de Rose-Marie Arbour sur le portail Les classiques des sciences sociales de l'Université du Québec à Chicoutimi {{Portail|Québec|art contemporain}} [[Catégorie:Historien de l'art canadien]] [[Catégorie:Universitaire québécois]] [[Catégorie:Professeur québécois]] [[Catégorie:Historienne québécoise]] [[Catégorie:Art contemporain au Québec]]

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Utilisateur:Alibi_culturel/Rose_Marie_Arbour&oldid=192779837 ».