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BROUILLONS

El Jadida (Tunisie)[modifier | modifier le code]

El Jadida est un village tunisien, rattaché à la délégation de Bou Argoub, dans le gouvernorat de Nabeul.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village se trouve entre Belli au nord et Bou Argoub au sud. L'A1 borde le village à l'est.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Il se se situe dans la plaine de Grombalia au pied de Djebel El Nahla qui se trouve à l'ouest.

Hydrologie[modifier | modifier le code]

Le village se situe à quelque centaines de mètre au sud de l'oued Tébournouk.

Voies de communication et transport[modifier | modifier le code]

El Jadida se situe légèrement à l'écart de la RN1.

Étymologie[modifier | modifier le code]

El Jadida signifie la Neuve en arabe.

Histoire[modifier | modifier le code]

Période antique[modifier | modifier le code]

Le site pourrait être celui d'Ad Mercurium mentionné dans la table de Peutinger d'après plusieurs historiens[1][2]. Ad Mercurium était une station sur la voie de Carthage à Théveste et accueillait un temple dédié à Mercure[3]. Sa localisation exacte fait toujours débat.

REFERENCES à consulter en bibli : [4][5]

Période médiévale[modifier | modifier le code]

Le site occupe l'emplacement de la cité médiévale de Menzel Bachou d'après plusieurs historiens[6]. REFERENCES à consulter: [7]

Période moderne[modifier | modifier le code]

A l'instar des localités voisines de Turki, Belli ou Nianou, El Jadida voit le jour avec l'arrivée des morisques au XVIIème siècle, sous l'impulsion d'Othman Dey. Elle est mentionnée pour la première fois par Ibn Abi Dinar qui la décrit comme particulièrement riche et urbanisée.

REFERENCES à consulter : Ibn Abi Dinar, Al-Muʾnis fī Akhbār Afrīqiyah wa-Tūnis, Tunis,1350 H.

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Le village, connu aussi sous le nom Bled Jedida ou Beled Djedeida, a perdu de son opulence passée. [8] Il s'est subitement dépeuplé vers la fin du XVIIIe siècle[3][8].

Beaucoup de ruines antiques et modernes, dont une tour et des restes de colonnes, sont signalées dès la première moitié du XIXe siècle dans divers témoignages et cartes[1][9]. De plus, le village a complètement perdu sa mosquée lors des bombardements de la deuxième guerre mondiale[2].

De nos jours, c'est une bourgade qui concentre une vingtaine de maisons autour du mausolée de Sidi Hajj Slimane[6].

Patrimoine[modifier | modifier le code]

  • Le mausolée de Sidi Hajj Slimane qui possède une coupole dans le style des XVIIe-XVIIIe siècles et qui constituerait le seul vestige de la fondation andalou}}se[6].



p 14-15

http://www.inp.rnrt.tn/Carte_archeo/pdf/Fr/029Grombalia.pdf

Référence[modifier | modifier le code]

  1. a et b Ernest Babelon, René Cagnat, Salomon Reinach et Jean-Baptiste Chabot, Atlas archéologie de la Tunisie, Paris, Ernest Leroux, 1892-1940 (lire en ligne), p. 87
  2. a et b Inventaire du patrimoine méditerranéen - Carte informatisée du patrimoine, Tunis 2009, 90 p. (lire en ligne [PDF]), p. 17
  3. a et b Charles Tissot, Exploration scientifique de la Tunisie : géographie comparée de la province romaine d'Afrique, t. II, Paris, 1884-1888, 918 p. (lire en ligne), p. 128
  4. Yann Le Bohec, L'Afrique, la Gaule, la religion à l'époque romaine : Mélanges à la mémoire de Marcel Le Glay, Paris, Latomus, , 876 p. (ISBN 9782870311660), p. 145
  5. Samir Aounallah, Le Cap Bon, jardin de Carthage: recherches d'épigraphie et d'histoire romano-africaines, 146 a. C - 235, Ausonius, , 388 p. (ISBN 9782910023263), p. 336
  6. a b et c Adnan Louhichi, Faouzi Mahfoudh et Tahar Galia, Contrôle et distribution de l'eau dans le Maghreb antique et médiéval, Rome, École française de Rome, , « L'hydraulique de Menzel Bachu », p. 253-265
  7. Hassan Hosni Abdelwaheb, Mélanges offerts à William Marçais par l'Institut d'études islamiques de l'Université de Paris, G.-P. Maisonneuve, , 329 p., « Villes arabes disparues de l’Ifriqiya »
  8. a et b Victor Guérin, Voyage archéologique dans la Régence de Tunis, t. II, Paris, , 398 p. (lire en ligne), p. 268
  9. Christian Tuxen Falbe et Évariste Pricot de Sainte-Marie, Carte de la régence de Tunis, dressée au Dépôt de la guerre, Paris, (lire en ligne)

Menzel Bachou[modifier | modifier le code]

Menzel Bachou (منزل باشو), orthographié aussi Manzil Bachu ou Manzil Basu, est une ancienne cité médiévale en Tunisie. Elle était également connue sous le nom de Menzel El Kébir.

Description[modifier | modifier le code]

Menzel Bachou est le chef-lieu du cap Bon, appelé Jaziret Charik, à partir du Xème siècle, en succédant ainsi à la cité de Nouba[1].

Elle est citée par Ibn Hawqal au X siècle, Al Bekri au etc....

On connait un des gouverneurs de la cité qui y avait un palais et qui s'était rebellé contre les aghlabites. Il s'appelait Ahmed Ibn Issa.....

Sources à consulter :[2] [3]

Chute[modifier | modifier le code]

La cité est détruite par les Béni Ghania (braunschvig, histoire de la berbérie orientale). Tijani, qui écrit au tout début du XIVe siècle, note que la cité est en ruine[4]. Ces ruines de Menzel Bachou ont servi à la construction de différents monuments à Tunis, dont la mosquée de la Kasbah[5].

Emplacement[modifier | modifier le code]

Pendant longtemps, la position de la cité demeure inconnue. La seule indication que les chroniqueurs du moyen-âge avait laissé est son emplacement sur la route entre Tunis et Sousse. L'historien Hassan Hosni Abdelwaheb a enfin réussi à localiser la cité en 195? sur le site de l'actuel village d'El Jadida.

Sources à consulter : [6]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Robert Brunschvig, « A propos d'un propos tunisien du Moyen-âge : Nuba - Nubiya », Revue tunisienne : organe de l'Institut de Carthage, no 22,‎ , p. 149-155 (lire en ligne [PDF])
  2. Georgette Cornu, Atlas du Monde Arabo-islamique à l'époque classique, IXe-Xe siècles, Brill,
  3. Adnan Louhichi, Faouzi Mahfoudh et Tahar Galia, Contrôle et distribution de l'eau dans le Maghreb antique et médiéval, Rome, École française de Rome, , « L'hydraulique de Menzel Bachu », p. 253-265
  4. Tidjanī, Abou Moḥammad Abd Ạllāh b́n Ibrahim (trad. Alphonse Rousseau), Voyage du scheikh Et-Tidjani dans la Régence de Tunis, pendant les années 706, 707 et 708 de l'hégire (1306-1309 de J.-C.), Paris, , 290 p. (lire en ligne), p. 24
  5. Saadaoui Ahmed, « Le remploi dans les mosquées ifrîqiyennes aux époques médiévale et moderne », Études d'antiquités africaines, Éditions du Centre National de la Recherche Scientifique « Lieux de cultes : aires votives, temples, églises, mosquées. IXe Colloque international sur l’histoire et l’archéologie de l’Afrique du Nord antique et médiévale (Tripoli, 19-25 février 2005) »,‎ , p. 295-304 (lire en ligne)
  6. Hassan Hosni Abdelwaheb, Mélanges offerts à William Marçais par l'Institut d'études islamiques de l'Université de Paris, G.-P. Maisonneuve, , 329 p., « Villes arabes disparues de l’Ifriqiya »

http://www.nabeul.gov.tn/fr/relation-des-voyageurs-arabes/

http://www.nabeul.gov.tn/fr/category/le-cap-bon/histoire/page/2/

Adnane Louhichi (INP, Tunis), Note sur un ouvrage hydraulique de Menzel Bachou (IXe-Xe siècles)

https://www.turess.com/fr/letemps/75533

https://books.google.fr/books?id=L6c3DwAAQBAJ&pg=PT42&lpg=PT42&dq=Menzel+Bachou&source=bl&ots=8YvLTvS5sg&sig=ACfU3U0tPTkX9xeSaatijUYDbYockP-Tvw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiumbSBw_jpAhWRy4UKHV3vDtcQ6AEwAHoECAoQAQ#v=onepage&q=Menzel%20Bachou&f=false

p164 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01135966/document

Musée du cinéma (Tunis)[modifier | modifier le code]

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Ethnographie régionale

Le Musée du cinéma est un musée situé à Tunis en Tunisie.

Bâtiment[modifier | modifier le code]


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Références[modifier | modifier le code]

http://www.commune-tunis.gov.tn/publish/content/article.asp?ID=18344

Musée de l'éducation (Tunis)[modifier | modifier le code]

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Le Musée de l'éducation est un musée situé à Tunis en Tunisie.

Bâtiment[modifier | modifier le code]


Collections[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

https://didactikhistoire.blogspot.com/2018/05/le-musee-national-de-leducation-tunis.html

https://www.alaraby.co.uk/%D9%85%D8%AA%D8%AD%D9%81-%22%D8%A7%D9%84%D8%AA%D8%B1%D8%A8%D9%8A%D8%A9%22-%D9%81%D9%8A-%D8%AA%D9%88%D9%86%D8%B3-%D8%B0%D8%A7%D9%83%D8%B1%D8%A9-%D8%AA%D8%B9%D9%84%D9%8A%D9%85%D9%8A%D8%A9-%D8%B9%D9%85%D8%B1%D9%87%D8%A7-31-%D9%82%D8%B1%D9%86%D8%A7%D9%8B-21

Musée géologique de l'Ichkeul[modifier | modifier le code]

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Ethnographie régionale

Le Musée géologique de l'Ichkeul est un musée situé à Ichkeul en Tunisie.

Bâtiment[modifier | modifier le code]


Collections[modifier | modifier le code]


Références[modifier | modifier le code]


Références[modifier | modifier le code]

https://zaherkammoun.com/2015/08/26/musee-dar-sghir-mahdia-dar-sghir-museum/


http://darelannabi.com/

https://www.petitfute.com/v44419-sidi-bou-said-2026/c1173-visites-points-d-interet/c937-monuments/c941-demeure-hotel-particulier/138605-dar-el-annabi.html

Musée des arts et traditions populaires de Tunis[modifier | modifier le code]

Le musée des arts et traditions populaires de Tunis est un musée situé à Tunis en Tunisie.

Bâtiment[modifier | modifier le code]

Le musée se trouve dans de Dar Ben Abdallah dans la médina de Tunis. Ce palais du XVIIIe siècle est racheté par l'Office des arts tunisiens et abrite depuis 1964 le Musée des arts et traditions populaires de Tunis. Il est un ensemble exemplaire de l'architecture tunisoise domestique du XIXe siècle. Le musée occupe ?? salles

Collections[modifier | modifier le code]

Elle expose, dans un décor reconstitué, de nombreux bijoux, jouets, costumes traditionnels et du mobilier ancien.

https://www.petitfute.com/v44416-tunis/c1173-visites-points-d-interet/c958-musee/138741-musee-regional-des-arts-et-des-traditions-populaires.html

http://www.inp.rnrt.tn/index.php?option=com_content&view=article&id=56&Itemid=39&lang=fr

http://www.patrimoinedetunisie.com.tn/fr/musees/dab.php

Institut culturel étranger en Tunisie[modifier | modifier le code]

Institut français de Tunisie

Institut culturel italien de Tunis

Institut Goethe de Tunis

Institut Cervantes de Tunis

Centre Russe des Sciences et de la Culture de Tunis

Dar Sebastien - Centre culturel international d'Hammamet[modifier | modifier le code]

http://www.ccih.gov.tn/activites-culturelles/

https://www.webdo.tn/2020/02/23/hammamet-le-fabuleux-destin-de-george-sebastian/#.YBkltuhKjIU

https://regard.ro/en-tunisie-lhistoire-perdue-de-george-sebastian/

https://www.ideomagazine.com/dar-sebastian/

Festival international d'Hammamet

https://www.petitfute.com/v44465-hammamet-8050/c1173-visites-points-d-interet/c999-galerie-d-art-lieu-d-exposition-fondation-centre-culturel/138518-centre-culturel-international-d-hammamet.html

http://www.nabeul.gov.tn/fr/centre-culturel-international-de-hammamet/

Déco Jean-Michel Frank

https://www.festivaldehammamet.com/fr/page/fih

http://www.ccih.gov.tn/villa-sebastian/

https://www.festivaldehammamet.com/fr/page/dar_sebastien_le_centre_et_ses_jardins

https://annuaire.tunisie.co/portfolios/616/dar-sebastien-160617

https://www.linstant-m.tn/article_5951_lhistoire-de-dar-sebastian-centre-culturel-international-de-hammamet.html

Village artisanal de Den Den[modifier | modifier le code]

http://www.commerce.gov.tn/Fr/actualites_7_55_D144

http://www.villagesartisanauxdetunisie.tn/denden/index.html

http://kapitalis.com/tunisie/2020/02/25/lartisanat-et-lhabit-traditionnel-tunisiens-a-lhonneur-a-denden/ https://www.linstant-m.tn/article_4746_lete-au-village-artisanal-de-den-den-.html

Sidi Jdidi, l'ancienne Arida[modifier | modifier le code]

https://www.persee.fr/doc/mefr_0223-5102_1993_num_105_1_8082

https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-00983488

https://journals.openedition.org/nda/1430

https://www.persee.fr/doc/mefr_0223-5102_2007_num_119_1_10351

Mausolées berbères antiques[modifier | modifier le code]

..... intro

Nombre d'entre eux sont ... Mausolées royaux de Numidie, de la Maurétanie et les monuments funéraires pré-islamiques

Description[modifier | modifier le code]

https://journals.openedition.org/encyclopedieberbere/532?lang=fr

Monuments[modifier | modifier le code]

Algérie[modifier | modifier le code]

Date de soumission : 30/12/2002

Mausolée royal de Maurétanie

Tombeau de Massinissa

Medracen

Siga dit Beni Rhenane

Tombeau de Tin Hinan

Djeddar

https://whc.unesco.org/fr/listesindicatives/1776/

Non inscrits :

Mausolée de Blad Guitoun en Algérie

Bénian ntâa Soumâa en Algérie

Libye[modifier | modifier le code]

Mausolée de Bès à Sabartha en Libye : Ce mausolée fait partie du site archéologique de Sabratha, inscrit dans le patrimoine mondial depuis 1982.

Maroc[modifier | modifier le code]

Bazina du Gour au Maroc : Ce mausolée inscrit au VIIème siècle est inscrit dans la liste indicative du Maroc sous le nom "El Gour"

Tunisie[modifier | modifier le code]

Henchir Bourgou

Mégalithes d'Ellès

Site archéologique de Makthar

Mausolée libyco-punique de Dougga

nécropole numide de Chemtou

https://whc.unesco.org/fr/listesindicatives/5684/

Date de soumission : 17/01/2012

Non inscrits :

Protections[modifier | modifier le code]

Protections nationales[modifier | modifier le code]

Patrimoine mondial[modifier | modifier le code]

L'Algérie et la Tunisie ont inscrit leurs monuments dans leur liste indicative respective en vue d'une prochaine inscription au patrimoine mondial. Le nom retenu pour se patrimoine transnational est les Mausolées royaux de Numidie, de la Maurétanie et les monuments funéraires pré-islamiques. Les critères présentés sont....

En 2002, l'Algérie a inscrit six monuments à savoir : .

En 2012, la Tunisie a inscrit cinq monuments à savoir :

Palette[modifier | modifier le code]

 Documentation de palette[créer] [purger]

Ceci est la documentation du modèle {{Alxmed117/Brouillon}}.

Syntaxe

L’utilisation de cette palette se fait par l’ajout, en fin de page, avant les portails, du code {{Palette|Alxmed117/Brouillon}}, ou en l’ajoutant à une ou des palettes existantes sous la forme {{Palette|nom-palette-1|Alxmed117/Brouillon}}.

Il est déconseillé d’utiliser la forme {{Alxmed117/Brouillon}}, qui ne permet pas, contrairement au modèle {{Palette}}, de séparer correctement la ou les palettes du texte qui précède par de l’espace vide.

Liste d'attaques islamistes en Tunisie[modifier | modifier le code]

Cette page recense les actes/attaques/attentats islamistes perpétrés en Tunisie.

Le terrorisme islamiste frappe la Tunisie apparaît en 2002, dans le sillage des attentats du 11 septembre 2001. Il faut attendre une décennie pour observer la renaissance des actes terroristes et leur multiplication dans le cadre de l'insurrection djihadiste en Tunisie.

Chronologie des actes terroristes en Tunisie[modifier | modifier le code]

Année 2002[modifier | modifier le code]

  • Le 11 avril 2002, attentat de la Ghriba à Djerba et revendiqué par le groupe Al-Qaïda : 19 morts et 30 blessés

Année 2012[modifier | modifier le code]

  • Le 14 septembre 2012, en réaction au film L'Innocence des musulmans, un millier de manifestants prennent d'assaut l'ambassade américaine de Tunis, incendiant deux de ses bâtiments et hissant le drapeau noir des salafistes djihadistes. Le rassemblement est finalement dispersé par l'armée, les violences faisant cinq morts et au moins 28 blessés.

Année 2013[modifier | modifier le code]

  • Le 6 février, 2013, attentat Chokri Belaïd, revendiqué par Boubaker El Hakim, affilié à l'Etat islamique : 1 mort.
  • Le 25 juillet 2013, attentat contre Mohamed Brahmi, revendiqué également par Boubaker El Hakim, affilié à l'Etat islamique : 1 mort.
  • Le 29 juillet 2013, attaque à Sabaa Diar dans le gouvernorat de Kasserine : 8 morts.

Année 2014[modifier | modifier le code]

  • Le ??? : 15 morts

Année 2015[modifier | modifier le code]

  • Le 18 mars 2015, attentat du musée du Bardo : 43 morts et 24 blessés.
  • Le 26 juin 2015, attentat de Sousse : 38 morts et 39 blessés.
  • Le 13 octobre 2015, attaque dans la région d'Al-Soltanya dans le gourvernorat de Kasserine, revendiqué par la katiba Okba Ibn Nafaa, affilié à l'AQMI : 1 mort.
  • Le 24 novembre 2015, attentat à Tunis visant un bus de la garde présidentielle et revendiqué par l'Etat islamique : 12 morts et 20 blessés.

Année 2016[modifier | modifier le code]

Année 2017[modifier | modifier le code]

  • Le 3 juin 2017, attaque dans la région d'Al-Soltanya dans le gourvernorat de Kasserine, revendiqué par la katiba Okba Ibn Nafaa, affilié à l'AQMI : 1 mort.

Année 2018[modifier | modifier le code]

  • Le 30 octobre 2018, attentat-suicide à Tunis revendiqué par : 20 blessés, dont quinze policiers et cinq civils

Année 2019[modifier | modifier le code]

  • Le 27 juin 2019, un double attentat-suicide à Tunis revendiqué par l'État islamique : 1 mort et 8 blessés

Année 2020[modifier | modifier le code]

  • Le 6 septembre 2020, attaque à Sousse revendiqué par l'Etat islamique : 1 mort et 1 blessé.
  • Le 20 décembre 2020, attaque dans la région d'Al-Soltanya dans le gouvernorat de Kasserine, revendiqué par l'AQMI : 1 mort.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Tunisie: Aqmi revendique l'attaque qui a tué 3 soldats », sur lefigaro.fr, (consulté le )