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Prises de position et controverses[modifier | modifier le code]

Positionnement général[modifier | modifier le code]

Sandrine Rousseau à La Rochelle (2021).

Ses engagements la portent de l’écologie au féminisme et aux questions socio-économiques (notamment l’emploi), qu’elle aborde dans des revues universitaires, des publications dans les grands médias nationaux[1],[2],[3],[4] ou des ouvrages grand public. Ses derniers livres d’intervention ont été consacrés, dans une optique féministe, aux services à la personne, notamment les services de ménage à domicile[5],[6],[7],[8], au programme social des écologistes[9] et à la place des femmes en politique[10],[11],[12],[13].

À compter de son retour dans l'arène politique en 2021, Sandrine Rousseau se réclame de l'écoféminisme et est fréquemment présentée comme « woke », terme qu'elle revendique également[14],[15],[16],[17]. Elle est connue pour ses prises de positions polémiques et clivantes, y compris au sein de son propre parti EELV[18],[19],[20],[21], voire par certaines outrances verbales[18],[21] parfois admises comme telles par l'intéressée elle-même[22]. Son style d'expression est parfois parodié[23],[24],[25]. Elle est une cible privilégiée de la droite française, qui la dépeint comme une figure de la cancel culture et d'un « wokisme » d'influence américaine[26].

Sa stratégie consiste ainsi à capter le débat avec des idées radicales, analysées comme répondant aux attentes d'une partie de la jeunesse[26],[27]. Selon le journaliste suisse Alain Rebetez, « elle tente de faire à gauche ce qu’Éric Zemmour avait fait à droite : imposer les thèmes de son choix pour gagner la bataille des idées »[28]. The New York Times indique que « ses arguments sont souvent perçus comme farfelus, mais sont basés sur des recherches universitaires — avec une sensibilité féministe selon laquelle l'intime est politique »[26].

Suicide assisté[modifier | modifier le code]

En 2013, elle raconte sur son blog les dernières heures de sa mère, qui a choisi de se suicider à domicile alors qu'elle était atteinte d'un cancer. La Voix du Nord rend compte de ce récit en une, ce qui déclenche un débat national. Sandrine Rousseau plaide pour la légalisation du suicide assisté[29].

Critique de la rationalité[modifier | modifier le code]

En 2019, Sandrine Rousseau signe, au côté de 200 autres personnalités dont Marlène Schiappa, Charlotte Gainsbourg et Muriel Robin, une tribune visant à réhabiliter l’image de la sorcière, devenue un symbole féministe, notamment à travers un ouvrage de Mona Chollet paru en 2018, Sorcières. La puissance invaincue des femmes. En 2021, lors de sa campagne de la primaire écologiste, Sandrine Rousseau déclare dans une interview pour Charlie Hebdo : « Le monde crève de trop de rationalité [...], je préfère des femmes qui jettent des sorts plutôt que des hommes qui construisent des EPR ». Ces propos sont critiqués sur les réseaux sociaux, certains internautes lui reprochant d’être « anti-science »[30],[31],[32],[33]. En défense de ses propos, elle indique avoir un « problème avec la rationalité du profit, avec la rationalité de l’organisation sociale qui fait qu’il y a des discriminations structurelles »[34].

« Homme déconstruit »[modifier | modifier le code]

En septembre 2021, lors d'un débat de la primaire écologiste face à Yannick Jadot, elle déclare : « Je vis avec un homme déconstruit, et j’en suis très heureuse »[35]. Elle popularise ainsi un terme hérité de la philosophie de Martin Heidegger et repris par Jacques Derrida pour l'analyse de textes, qui a essaimé dans le champ de la critique sociale et qui s'avérait restreint jusqu'alors à la sphère féministe pour évoquer le processus introspectif par lequel un individu remet en question les stéréotypes de genre qui l'affectent, sur la base d'un intérêt sincère pour les enjeux d'égalité femmes-hommes[36],[35],[37],[38]. Ces propos déclenchent des moqueries et critiques, en particulier venant de l'extrême droite et « de commentateurs tendant à présenter la « déconstruction » comme un projet radical d’atteinte à la virilité qui ne serait porté que par une poignée de femmes et d’hommes activistes »[36],[37],[38]. En réaction, Marlène Schiappa, ministre chargée de la Citoyenneté, publie une tribune dans Le Point, intitulée « Éloge des hommes construits »[38]. Une enquête de l'IFOP menée en 2022 « montre que ce concept répond aujourd’hui à une aspiration profonde aussi bien de la gent féminine que masculine », « même si derrière leurs déclarations de principe, les hommes hétérosexuels – notamment les plus à droite politiquement – sont loin de tous accepter une remise en cause de toutes les formes de domination masculine »[37].

Hidjab et burqa[modifier | modifier le code]

Sandrine Rousseau considère que le hidjab et la burqa sont des « vêtements sexistes » mais défend le droit des femmes à s'habiller comme elles l'entendent, estime que « l’émancipation des femmes ne passe jamais par une interdiction du vêtement », et affirme notamment : « Il y a pleins de motivations pour porter un voile. Il y en a qui portent des voiles (pour des raisons) qui sont juste un embellissement ». Des détracteurs mettent en cause une incohérence de sa position, notamment à l'occasion des manifestations consécutives à la mort de Mahsa Amini lors desquelles des manifestantes retirent leur hijab : Sandrine Rousseau est prise à partie lors d'une manifestation parisienne de soutien aux Iraniennes[39],[40],[41],[42].

Délit de non-partage des tâches domestiques[modifier | modifier le code]

Vers la fin de la campagne présidentielle de 2022, elle propose de créer un « délit de non-partage des tâches domestiques »[43]. Si cette proposition lui attire de nombreuses critiques de la part de commentateurs tendant à présenter sa proposition comme une mesure « hors sol » sur un sujet d’intérêt secondaire, 50 % des femmes et 44 % des hommes se disent favorables à l’instauration d’un tel délit selon un sondage de l'IFOP. L'institut de sondage indique qu'« une telle proposition met le doigt sur un sujet de fond, l’absence d’équité dans la division sexuelle du travail domestique, qui correspond encore aujourd’hui à une indéniable réalité statistique : la majorité des Françaises (57 %) déclarent toujours en faire « plus » que leur conjoint, contre 37 % qui disent en faire « à peu près autant » et seulement 8 % qui se prévalent d’en faire « moins » que lui »[44].

« Androcène »[modifier | modifier le code]

Adélaïde Bon, Sandrine Roudaut et Sandrine Rousseau, publient en août 2022 Par-delà l’androcène, qui tient lieu de manifeste écoféministe — courant de pensée fondé sur la conviction que sexisme et destruction de l'environnement sont intimement liés : de même que la nature serait « féminisée » pour justifier son exploitation par l'industrie, les femmes seraient « naturalisées » pour être cantonnées à la maternité. L’« androcène » est un néologisme qui prétend remplacer l'Anthropocène en théorisant le fait que les hommes, plus que les femmes et les classes dominées, portent la responsabilité de la crise écologique. Inspiré des travaux de l’universitaire et militante féministe Silvia Federici, le livre présente les procès contre les sorcières de la fin du Moyen Âge comme le symptôme du capitalisme en préparation qui aliènerait les terres et les femmes, et propose de « transformer l’illusion du pouvoir d'achat en un droit à vivre dignement, à avoir accès aux biens et services fondamentaux ». Pour le journal Le Monde, il s'agit aussi d'« un récit politique à l’acide pour les hommes, au prix de raccourcis »[45],[46].

Barbecue et virilité[modifier | modifier le code]

En août 2022, à l'occasion d'un échange lors de l'université d'été d'EELV sur les gestes du quotidien à accomplir face au réchauffement climatique, Sandrine Rousseau déclare qu'un « changement de mentalité » est nécessaire « pour que manger une entrecôte cuite sur un barbecue ne soit plus un symbole de virilité »[47]. Cette phrase transmet ainsi le message que la consommation de viande doit être réduite pour lutter contre le réchauffement climatique, et que les hommes consomment plus de viande que les femmes[26]. Pendant plusieurs jours, ces propos occupent une place centrale dans les médias et la classe politique : ils sont critiqués à droite mais soutenus à gauche (à l'exception de Fabien Roussel, secrétaire national du PCF)[48],[49]. L'affirmation est étayée par plusieurs études scientifiques, dont celles du GIEC et de l'ANSES[50]. Libération estime que Sandrine Rousseau a ainsi « réussi à imposer la question de la viande, de sa consommation excessive et de son inégale répartition entre les sexes dans le débat public »[47]. Un mois plus tard, une enquête de l'IFOP tend à confirmer le constat fait par Sandrine Rousseau avec toutefois des nuances, dont le fait que les hommes interrogés sont, pour la plupart, conscients de cette représentation et veulent majoritairement la combattre[51].

Droit à la paresse[modifier | modifier le code]

En septembre 2022, pour contredire Fabien Roussel qui avait défendu quelques jours auparavant la « gauche du travail contre la gauche des allocs », Sandrine Rousseau invoque le droit à la paresse, faisant référence à l'ouvrage du même nom et provoquant un débat à gauche sur ce thème. Elle estime ainsi que la « valeur travail » est une « valeur de droite »[52]. Selon un sondage IFOP, 69 % des Français approuvent ses propos sur le droit à la paresse, tandis que 61 % désapprouvent sa présentation de la « valeur travail » comme « valeur de droite »[53],[54],[55]. Un autre sondage IFOP indique que les 18-30 ans adhèrent plus largement que leurs aînés à l’idée du « droit à la paresse » défendu par Sandrine Rousseau (78 % contre 69 %)[56].

Julien Bayou[modifier | modifier le code]

En septembre 2022, Sandrine Rousseau est interrogée dans l'émission C à vous sur le fait que Julien Bayou, secrétaire national d'Europe Écologie Les Verts, est visé par un signalement auprès de la cellule des violences sexuelles et sexistes du parti pour des violences psychologiques supposées sur une ancienne compagne, et sur la critique de la durée de ce traitement par des militantes de la « Relève féministe ». Elle répond avoir échangé avec l’ex-compagne de Bayou, qu'elle décrit comme étant alors « très déprimée », au point qu’elle « a fait une tentative de suicide quelques semaines après », et évoque des « comportements de nature à briser la santé morale des femmes »[57]. Le lendemain de la diffusion de l'émission, le groupe écologiste à l'Assemblée nationale décide la mise en retrait de Julien Bayou de sa co-présidence et ce dernier démissionne dans la foulée[58],[59].

Cette controverse s'inscrit dans un contexte de tensions larvées de longue date entre Sandrine Rousseau et Julien Bayou au sein d'EELV[60], et coïncide avec une compétition entre eux en vue du congrès d'EELV prévu en décembre 2022 et d'un référendum interne visant à modifier les statuts du parti[61]. L'avocate de Julien Bayou, Marie Dosé, affirme que Sandrine Rousseau instrumentalise à des fins politiques le combat contre les violences sexistes et sexuelles[62],[63]. Alors qu'une enquête du journal Libération affirme qu'il était depuis trois ans sous la surveillance étroite de militantes féministes du parti, hors de tout cadre formel, provoquant une réunion du bureau exécutif d'EELV et de la cellule interne chargée des violences sexuelles[64], Sandrine Rousseau juge « problématique » l’article de Libération, affirme qu'elle n'était pas « absolument pas au courant » de l'existence du groupe ayant enquêté sur Julien Bayou mais que celui-ci « n’est pas une cellule, c’est un groupe informel de femmes qui se parlent » et ont « le droit de se parler et de se protéger »[65]. Julien Bayou met à son tour en cause Sandrine Rousseau, l'accusant notamment de « confondre féminisme et maccarthysme »[66],[67].

Cible d'un compte Twitter parodique[modifier | modifier le code]

Un compte baptisé « Sardine Ruisseau » est créé sur Twitter en septembre 2021 : se voulant parodique, il publie des blagues sarcastiques visant à tourner en dérision les prises de position de Sandrine Rousseau[68]. Son auteur, un homme anonyme, indique vouloir se moquer ainsi du « wokisme », mais nie dans le même temps avoir un objectif politique[69]. Selon Élodie Safaris d'Arrêt sur images, « sa sémantique (“bien-pensance”, “homme-soja”) est la même que la rhétorique de droite et d'extrême droite » ; son affiliation à l'extrême droite peut être corroborée par sa présence et ses abonnements sur la plateforme Gettr, sa participation à la revue Furia, ou son interview dans Causeur ; et son audience est « en grande majorité anti-woke à la sauce Printemps républicain, de droite et d'extrême droite », même s'il « fait aussi rire au-delà de ce spectre »[69]. Ce compte, relayé par certains médias et personnalités politiques, prend de l'ampleur jusqu'à dépasser les 125 000 abonnés — plus que le compte officiel de Sandrine Rousseau —[70], avec la publication de plus de 4 000 tweets moqueurs en 10 mois, soit plus de 400 tweets par mois[68],[69]. Élodie Safaris considère ce compte comme « un cas inédit » au regard de « son retentissement médiatique et politique » et de « son audience »[69]. Le succès inédit du compte suscite des dizaines de nouveaux comptes parodiques, visant principalement des personnalités de la NUPES[69].

Sandrine Rousseau dénonce « un compte de cyberharcèlement de la droite extrême » — ce dont se défend l’auteur du compte — et réclame en vain la fermeture du compte par Twitter[69],[68],[25],[71]. Il est temporairement désactivé par son propriétaire en juillet 2022, suscitant à tort des dénonciations de censure, notamment de la part de personnalités d'extrême droite. Il est ensuite temporairement suspendu en août 2022, probablement du fait d'un algorithme[68],[69]. La journaliste Marie Turcan de Numerama estime qu'il s'agit d'« un compte dédié au cyberharcèlement ciblé »[69],[68]. Pendant plusieurs mois, le compte Sardine Ruisseau usurpe notamment la photo de profil et la bannière du compte de Sandrine Rousseau, entretenant la confusion chez de nombreux internautes distraits qui croient consulter le compte de Sandrine Rousseau[69],[68].

Marie Turcan rapproche ce compte de la pratique du « FemSpoofing », « théorisée par l’experte en sémantique et désinformation Stéphanie Lamy. Puisant ses racines dans les méthodes de l’extrême droite et de la fachosphère, elle consiste à créer de faux comptes prétendument féministes afin de tourner la cause en ridicule et la décrédibiliser auprès d’un plus large public »[68]. Élodie Safaris d'Arrêt sur images estime qu'« il serait malhonnête d'attribuer à Ruisseau la totalité du harcèlement que subit la députée. Mais d'une part, la nature même de Twitter – machine à harceler – induit ces « raids numériques » dès lors qu'une critique ou moquerie devient virale. D'autre part, Ruisseau a grandement participé – volontairement ou non – à ériger Rousseau en tête de turc du réseau social. De sorte qu'aujourd'hui quoi qu'elle dise, tweete ou fasse, la twittosphère se gausse »[69].

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