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Sarcophage mérovingien Évreux prés du jardin botanique ou jardin François Mitterrand rue Guy de Maupassant

L'histoire d'Evreux sous les mérovingiens , fut largement méconnue tant les information furent lacunaire sur l'histoire de ce chef-lieu du département de l'Eure en cette première partie du haut moyen-âge. Toutefois de récente découverte archéologique nous apprend davantage que ce que l'histoire officielle .[1]

De l'urbanité à la ruralité[modifier | modifier le code]

Mutations économiques[modifier | modifier le code]

Evreux ville impotente à l'époque gallo-romaine après la chute de l'empire romain d'occident en 476 est la déposition de Romulus servus Augustule par le roi Odoacre des ostrogoths , la civilisation passe de l'urbanité à la ruralité , l'économie s'effondre , la population autrefois dans l'opulence retourne à la frugalité.[2]

Découverte d'un tombeau dans les environs d'Evreux[modifier | modifier le code]

En 1854 sous le second empire français (1852-1870) était découvert un tombeau merovingien qui fut daté précisément qu'en 2002 après de nombreux débat entre spécialiste de cette période merovingienne qu'en à son authenticité.[3]

Evreux , ville de Neustrie[modifier | modifier le code]

Partage successorales[modifier | modifier le code]

Le nom de la Normandie à l'époque mérovingienne et carolingienne est la Neustrie nommé par le roi Clotaire I fils de Clovis mort en 511.[4] Le royaume de Neustrie est du partage selon la coutume franque entre les fils de Clovis , ce partage est égalitaire mais pour des raison administrative il fut progressivement par la suite abandonné au profils du droit d'ainesse issus du droit romain.[5],[6]

Spécificité d'Evreux[modifier | modifier le code]

Evreux sous les merovingiens sous les rois de Neustrie puis le royaume francs unifier de Dagobert en 629 et de conseillé saint Wandrille , moine bénédictin de la région proche de Saint Eloi ,[7] Evreux tout comme le Vaudreuil est une bourgade choyé par les rois merovingiens qui leur fait une résidence campagnarde de ressourcement proche des deux principale villes de Neustrie d'alors que son Paris et Soissons.[8] A l'époque mérovingienne la ville d'Evreux qui s'appelle encore mediolanum était réputé pour ses artisans forgerons puisqu'une épée mérovingienne en parfait état de conservation fut retrouver sur un chantier de fouille archéologique en 1996.[9]

Le domaine agricole du long buisson[modifier | modifier le code]

Sur quatre et cinq hectare à la sortie sud d'Evreux en direction de Guichainville se situe l'ancien domaine agricole du long buisson mise au jours en 2006 suite à l'archéologie préventive en raison de l'extasions d'un hypermarché permis de mettre au jours une fermes merovingiennes et des sépulture datent de cette époques.[10] Ce n'est toutefois pas un cas isolé dans le département de l'Eure puisque une autre nécropole mérovingienne fut mise à jour à pose à la fin du XXe siècle.[11]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Jean-Pierre Leguay, L'Europe des états barbares: Ve-VIIIe siècles, Belin, (ISBN 978-2-7011-3254-9, lire en ligne)
  2. Jean-Pierre Leguay, L'Europe des états barbares: Ve-VIIIe siècles, Belin, (ISBN 978-2-7011-3254-9, lire en ligne)
  3. Charles Lenormant, Découverte d'un cimetière mérovingien à la Chapelle-Saint-Éloi (Eure), C. Douniol, (lire en ligne)
  4. Julien Marie Lehuërou, Histoire des institutions mérovingiennes et du gouvernement des Mérovingiens: Histoire des institutions carolingiennes et du gouvernement des Carolingiens, Joubert, (lire en ligne)
  5. Patrick Périn et Laure-Charlotte Feffer, La Neustrie: les pays au nord de la Loire de Dagobert à Charles le Chauve (VIIe-IXe siècles), Musées et Monuments départementaux de Seine-Maritime, (ISBN 978-2-902093-03-8, lire en ligne)
  6. Julien Marie Lehuërou, Histoire des institutions mérovingiennes et du gouvernement des Mérovingiens: Histoire des institutions carolingiennes et du gouvernement des Carolingiens, Joubert, (lire en ligne)
  7. Joseph Thiron, La plus ancienne "Vie de saint Wandrille": dite "Vita prima, Éd. de Fontenelle, (ISBN 978-2-85019-065-0, lire en ligne)
  8. Enault, De Paris à Cherbourg: Itinéraire historique et descriptif, Hachette, (lire en ligne)
  9. Michel Le Pesant, « Épée mérovingienne trouvée à Evreux (cimetière Saint-Aquilin) », Annales de Normandie, vol. 16, no 4,‎ , p. 398–401 (DOI 10.3406/annor.1966.6785, lire en ligne, consulté le )
  10. Vincent Carpentier, « Guichainville-Vieil-Évreux (Eure). Long Buisson II », Archéologie médiévale, no 35,‎ (ISSN 0153-9337, DOI 10.4000/archeomed.49969, lire en ligne, consulté le )
  11. Marine Drieu, « Poses (Eure) : la nécropole mérovingienne. L’apport de l’étude des éléments de ceinture », dans Journées archéologiques de Haute-Normandie. Harfleur, 23-25 avril 2010, Presses universitaires de Rouen et du Havre, coll. « Journées archéologiques de Normandie », , 139–144 p. (ISBN 979-10-240-1062-5, lire en ligne)

Voir Aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]