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Ceci est un BROUILLON POUR LA CRÉATION DE L'ARTICLE "Blindés de la Gendarmerie nationale (France)"

La Gendarmerie nationale française[A 1] a commencé à utiliser des véhicules blindés dès 1931. Elle a créé sa première unité blindée en 1933 au sein de la Garde républicaine mobile et à formé en 1939 une unité de combat qui a été engagée au front pendant la compagne de 1940. Après la guerre, la Gendarmerie a été équipée de blindée obtenus principalement de l'Armée de terre. Ces engins ont été engagés en métropole pour accomplir des missions de sécurité intérieure (maintien de l'ordre mais également Défenses opérationnelle du Territoire mais également en Algérie.

Depuis la fin des conflits de la décolonisation puis de la guerre froide, la mission principale des blindés de la Gendarmerie n'est plus le combat mais la participation au maintien et au rétablissement de l'ordre intérieur. De nouveaux engins conçus pour ce rôle ont été acquis. Ils ne sont plus peints en kaki mais en bleu pour refléter cette mission principale. Le premier d'entre eux, le Berliet VXB 170, plus connu sous l'acronyme de VBRG Véhicule blindé à roues de la Gendarmerie), entré en service en 1974 est en cours de retrait et de remplacement par le véhicule d'intervention polyvalent de la gendarmerie (VIPG) produit par la société Soframe, dont 90 exemplaires ont été commandés.

Le premier véhicule opérationnel a été livré en pour une commande totale de 90, les 89 engins suivants devant suivre par tranches de 30 jusqu'en 2025.

Historique[modifier | modifier le code]

Les blindés dans la Gendarmerie[modifier | modifier le code]

Dès les années 1930, la Gendarmerie s'équipe de véhicules blindés[1]. Elle déploie dès 1931 deux chars et onze automitrailleuses en Corse lors d'une opération d'envergure contre le grand banditisme[2].

En 1933 est créée une première unité blindée : le Groupe spécial de garde républicaine mobile[A 2] à Versailles-Satory. En 1940, le Groupe spécial sert d'unité-cadre pour la formation du 45e bataillon de chars de combat qui participe à la campagne de France.

Après la guerre, différents types de blindés sont utilisés : chars, automitrailleuses et half-tracks. Ils sont principalement destinés aux missions de combat (Défense opérationnelle du territoire ou DOT) ou aux situations extrêmes de rétablissement de l'ordre comme en Algérie. La mise en œuvre des blindés est confiée à des "escadrons mixtes portés-blindés"[A 3] implantés en province ainsi qu'à une formation centrale basée à Versailles-Satory. Héritière du groupe spécial formé en 1933, cette unité a porté plusieurs dénominations avant de devenir en 1991, le groupement blindé de gendarmerie mobile (GBGM). Le GBGM est chargé notamment de la protection des institutions en cas de crise majeure (comme le putsch des généraux en 1961), du maintien et du rétablissement de l'ordre en contexte « dégradé ou très dégradé » ainsi que de missions de défense opérationnelle du territoire[3].

Avec la fin des conflits coloniaux puis de la guerre froide, la mission de combat disparait au profit de celle du maintien et du rétablissement de l'ordre. À partir de 1974, la Gendarmerie acquiert un blindé spécialisé, le VBRG, qui est peint en bleu, en cohérence avec cette mission principale. Par la suite, elle retire progressivement du service ses blindés de combat (chars AMX-13, véhicules de transport de troupes (VTT) AMX-13 VCI, automitrailleuses AML et engins VBC-90)[A 4].

En France métropolitaine, les escadrons mixtes perdent leurs blindés au début des années 2000 et tous les VBRG sont rapatriés à Satory ou à Saint-Astier (siège du Centre national d'entraînement des forces de gendarmerie). La Gendarmerie déploie également des blindés en Corse et dans les départements, territoires et communautés d'outre-mer[4]. Outre-mer, la mise en œuvre des blindés est assurée principalement par les Antennes du GIGN.

Au début des années 2020, la Gendarmerie ne dispose donc plus que du VBRG et de quelques Véhicules de l'avant blindés (VAB), obtenus auprès de l'armée de terre en vue de leur emploi en Afghanistan. Ces derniers sont surtout déployés en Nouvelle-Calédonie[5].

L'utilisation des blindés de la Gendarmerie au maintien de l’ordre est soumise - suivant l'effectif engagé - soit à l’autorisation du préfet de zone de Défense soit à celle du Premier ministre.

Le remplacement des VBRG[modifier | modifier le code]

Le VBRG

Le remplacement du VBRG, est évoqué à de nombreuses reprises à partir du milieu des années 2000. Il fait l'objet de nombreux projets allant de l'achat de machines neuves[A 5] à la rénovation totale ou partielle de la flotte[6] mais aucun de ces programmes n'aboutit.

Le projet redevient d'actualité[7] à la suite d'événements tels que la crise des Gilets jaunes ou l'affaire de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, qui mobilisent massivement les blindés de la gendarmerie en France métropolitaine. L'option de rénovation totale ou partielle de la flotte étant finalement écartée, c'est la solution du remplacement qui est retenue. Son financement est assuré par le plan de relance mis en œuvre à la suite de la Pandémie de Covid-19[7],[A 6].

Un appel d'offres pour la fourniture de « véhicules blindés maintien de l’ordre » (VBMO), livrables d'ici 2026 est donc lancé le [8]

Le Centaure[modifier | modifier le code]

Du VBMO au VIPG Centaure[modifier | modifier le code]

VIPG de la gendarmerie mobile lors d'une présentation

Le blindé recherché par la Gendarmerie doit être plus polyvalent que le VBRG[9] car son domaine d'utilisation comprend le maintien et le rétablissement de l'ordre, la lutte contre les violences urbaines, l’appui aux missions de sécurité civile (catastrophe naturelle ou industrielle), la défense opérationnelle du territoire et la lutte contre le terrorisme, [3] ainsi que d'autres évènements nécessitant l'emploi de véhicules blindés tels que la mise en place d'un Dispositif d'intervention augmenté de gendarmerie (DIAG) par exemple)[9].

Initialement, deux constructeurs semblent favoris : Nexter avec une version du blindé léger Serval déjà commandé par l'Armée de terre et Arquus avec une version de son Sherpa Light[7]. Mais le , le ministère de l’Intérieur annonce la sélection d'un véhicule proposé par Soframe, filiale du groupe Lohr[10]. La commande concerne 90 blindés - soit 30 de plus que les VBRG disponibles à cette date - avec début des livraisons dès l'année suivante[9]. Le coût total du programme est de 70 millions d'euros[11].

Le véhicule est baptisé « Centaure » par la Gendarmerie. L'acronyme officiel est d'abord VBP pour « véhicule blindé polyvalent », avant d'être changé par la suite en VIPG pour « véhicule d'intervention polyvalent de la gendarmerie ». Ce changement reflète, selon Politis, la plus grande polyvalence du blindé en comparaison avec le VBRG[11].

Caractéristiques[modifier | modifier le code]

Le Centaure est entièrement blindé, au niveau 2 de la norme STANAG 4569. Il est protégé contre les munitions de calibre 7,62mm, les mines, les engins explosifs improvisés et contre les risques NRBC. Sa masse totale est de 14,5 tonnes[9].

Le véhicule dispose de quatre roues motrices, ce qui lui permet de franchir un fossé de 90 cm ou de gravir des marches de 40 cm. Il peut également progresser sur une pente inclinée à 60 %, et rouler avec un dévers de 30 %[12],[A 7]. Propulsé par un moteur d'une puissance de 330 chevaux[12], il peut circuler à une vitesse minimum de 3 km/h, et jusqu'à une vitesse maximum 100 km/h, avec une autonomie de 500 km[13]. Il peut transporter sept gendarmes, en plus de son équipage de trois militaires. L'accès se fait par deux portes sur le côté droit, une sur le côté gauche et une rampe d'accès à l'arrière[12].

Équipements[modifier | modifier le code]

VIPG Centaure avec lame déployée
VIPG poussant des véhicules lors d'une présentation
Simulateur VIPG

Le VIPG est équipé d'un tourelleau télé-opéré, sur lequel une mitrailleuse FN Herstal MAG 58 peut être montée, principalement lors des opérations extérieures et des missions anti-terroristes[14]. Elle est bâchée et partiellement démontée (retrait du canon) lorsqu'elle n'est pas nécessaire (maintien de l'ordre par exemple)[11].

Le Centaure dispose également d'un lance-grenades automatique de 30 coups pouvant tirer des grenades lacrymogènes[14]. Il est équipé, comme les VBRG[15], d'un système permettant de diffuser un gaz incommodant dans sa proximité immédiate, pour protéger le véhicule et son personnel d'une attaque extérieure[16].

Il dispose du système de détection acoustique de tirs adverse Pilar V de Metravib Defence[17]. Il est aussi équipé de nombreux capteurs et caméras[12], permettant d'identifier un individu sur une distance de 9 km, de jour comme de nuit.

Enfin, chaque véhicule est équipé[12] d'une lame mobile, montée sur des vérins hydrauliques[9], qui lui permet de percuter jusqu'à une vitesse de 30 km/h des obstacles et des véhicules pesant jusqu'à 3,5 t, avant de les pousser pour dégager une voie de circulation[12],[A 8].

Simulateur[modifier | modifier le code]

Simulateur VIPG

La formation des conducteurs est assurée à Satory au moyen d'un système simulation développé par la société Exail pour un coût d'environ 550 000 euros[11],[13].

Le système comprend trois postes de conduite et un poste instructeur [18]. Il permet l'apprentissage de la conduite du véhicule et de la mise en œuvre de ses équipements.

La mise en réseau des postes permet la simulation de l'engagement simultané de plusieurs véhicules.

Carrière opérationnelle[modifier | modifier le code]

VIPG lors d'une présentation

La Gendarmerie prévoit de baser un tiers de ses engins à Satory, un tiers en province [A 9] et le dernier tiers en outre-mer[19].

Un premier exemplaire opérationnel a été livré le 26 septembre 2022 au Groupement blindé de gendarmerie mobile[20],[21]. En octobre 2023, une trentaine d'exemplaires ont déjà été livrés au GBGM au Centre national d'entrainement des forces de gendarmerie (CNEFG). Soframe produit alors une dizaine de VIPG Centaure par mois[16].

Le VIPB connait son premier engagement durant la nuit du 30 juin au , lors des émeutes liés à la mort de Nahel[22]. Ils sont également déployés durant le mouvement des agriculteurs en début 2024[23]. Peu après, le 18 février 2024, au moins deux VIPG Centaure sont déployés à Saix face à une manifestation contre le projet d'autoroute A69. En mars, deux exemplaires sont mobilisés à La Courneuve après un évènement de violences urbaines[24].

Utilisateurs[modifier | modifier le code]

  • Drapeau de la France France - environ 30 exemplaires en octobre 2023, 60 autres exemplaires doivent être livrés d'ici le premier trimestre 2024[16].

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le mot « gendarmerie », lorsqu'il désigne l'organisme d’État à caractère unique, comme dans les expressions « la Gendarmerie » ou « la Gendarmerie nationale », prend une majuscule ; dans les autres cas, il garde la minuscule, comme pour les expressions « gendarmerie mobile » ou les « forces de gendarmerie » - Voir conventions typographiques de Wikipédia, notamment § « Organismes uniques » et § « Unités militaires »
  2. Garde républicaine mobile (GRM) est l'ancienne dénomination de la gendarmerie mobile. Dissoute lors de l'armistice de 1940, elle est remplacée par la Garde pendant l'occupation. Recréée en 1944 sous la dénomination de Garde républicaine, elle prend son nom actuel de gendarmerie mobile en 1954
  3. À cette époque, les escadrons bénéficient d'une double dotation en véhicules : fourgons-cars pour le maintien de l'ordre et véhicules de combat pour les missions de Défense Opérationnelle du territoire (DOT). Chaque escadron compte alors trois pelotons de marche (depuis les années 2000 quatre - dont un peloton d'intervention). Alors que dans un escadron porté standard, les trois pelotons sont dotés de camionnettes tactiques, dans un escadron mixte, un des pelotons dispose de VBRG ou d'automitrailleuses.
  4. Les VBC-90 sont les derniers a être retirés, en mai 2004 - Source : Colonel Marc Clerc - Histoire et Évolution des Moyens Blindés depuis la Deuxième Guerre mondiale - Revue de la Gendarmerie nationale n° 262 - 3e trimestre 2018.
  5. Un premier marché, remporté par Panhard avec un véhicule AVXL semi-chenillé original (doté d'une chenille « ventrale » située entre les roues) a été annulé en référé en 2007 sur plainte de Renault Trucks Defense (RTD) dont l'offre basée sur un VBMO (véhicule blindé de maintien de l'ordre) 6 x 6 dérivé du VAB n'avait pas été retenue, au motif que le véhicule de Panhard n'était pas produit en série, comme exigé au cahier des charges. Relancé une deuxième fois puis attribué en 2008, un deuxième appel d'offres avait cette fois été remporté par Renault Truck Defense (RTD) avec une solution basée sur son véhicule Sherpa 3A mais ce marché n'a cependant jamais été exécuté faute de financement.
  6. Si l'utilisation de fonds du plan de relance a permis le lancement puis l'exécution rapides du programme, certains de ses aspects ont cependant été critiqués par la Cour des comptes qui dans son rapport S2024-0185 sur les Forces mobiles de février 2024 questionne notamment la rapidité avec laquelle la spécification du produit a été établie ainsi que le dimensionnement du programme tout en relevant le peu d'intérêt qu'il semble avoir suscité dans la Police dans une optique de mutualisation des ressources Référence : Cour des comptes - Rapport S2024-0185 sur les Force mobiles de février 2024 https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/2024-03/20240403-S2024-0185-Forces-mobiles.pdf - consulté le 19 mai 2024 - Conclusion intermédiaire p 56
  7. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Performances
  8. Un dispositif comparable existe également sur le VBRG mais seule une partie de la flotte en est équipée.
  9. Par exemple, selon le journal Oues France la région de Gendarmerie de Bretagne disposera à partir de 2024 de trois Centaure, basés à l'escadron 15/3 de Gendarmerie mobile de Vannes, dans le Morbihan Source : Trois blindés Centaure équiperont la gendarmerie en 2024 à Vannes https://www.ouest-france.fr/bretagne/info-ouest-france-trois-blindes-centaure-equiperont-la-gendarmerie-en-2024-a-vannes-7b15d910-8f8d-11ee-81ce-f12d7d2fb9c2 sur le Ouest-France.fr, consulté le=2023-12-06}}

Références[modifier | modifier le code]

  1. L'achat de ces matériels a été autorisé par la loi de finance du 31 mars 1921. Georges Carrot, Le Maintien de l'ordre en France au XXe siècle, Éditions Veyrier, 1990, p 39.
  2. Simon Fieschi, Les Gendarmes en Corse, 1927-1934 De la création d'une compagnie autonome aux derniers « bandits d'honneur », in Jean-Noël Luc (dir.) Soldats de la Loi, Paris, Presses de l'université Paris-Sorbonne (PUPS), 2010, pp. 109-120.
  3. a et b Jérôme Bisognin, « Contribution de la Gendarmerie nationale à un conflit de haute intensité: », Revue Défense Nationale, vol. N° Hors-série, no HS4,‎ , p. 29–42 (ISSN 2105-7508, DOI 10.3917/rdna.hs06.0029, lire en ligne Accès libre, consulté le )
  4. Général Pierre Durieux Histoire de la Gendarmerie Mobile 1921 - 2021 Service de diffusion de la Gendarmerie (SDG) Limoges - p 154-158
  5. Audition du général Lizurey, Directeur général de la Gendarmerie nationale, devant la commission de la défense nationale et des forces armées de l'Assemblée nationale 10 octobre 2017- http://www.assemblee-nationale.fr/15/cr-cdef/17-18/c1718007.asp.
  6. Didier Hassoux et Christophe Labbé, « "Fort Chabrol à l'Elysée" », Le Canard enchaîné,‎ , p. 3
  7. a b et c « Les antédiluviens blindés (VBRG) de la gendarmerie mis enfin à la casse ? », sur La Tribune, 2020-12-14cet12:54:00+0100 (consulté le )
  8. BOAMP Avis 20-154690 publié le 19 décembre 2020 https://www.boamp.fr/pages/avis/?q=idweb:%2220-154690%22
  9. a b c d et e Sirpa Gendarmerie, Gendarmerie nationale, « Centaure, le nouvel engin blindé de la gendarmerie », sur www.gendarmerie.interieur.gouv.fr (consulté le )
  10. Webmaster 2, « Les VBRG sont morts, place aux VBMO! », sur La voix du gendarme, (consulté le )
  11. a b c et d Guillaume Deleurence, « On a testé pour vous le Centaure, le nouveau blindé de la gendarmerie », sur POLITIS, (consulté le )
  12. a b c d e et f « Centaure, le futur blindé des gendarmes passé au crible », sur L'Essor de la gendarmerie (consulté le )
  13. a et b Par Nicolas Goinard Le 23 octobre 2023 à 06h10, « Émeutes, menace terroriste, cyclone : le Centaure, le nouveau blindé tout-terrain polyvalent des gendarmes », sur leparisien.fr, (consulté le )
  14. a et b « Le nouveau blindé de la gendarmerie présenté à Eurosatory », sur L'Essor de la Gendarmerie nationale (consulté le )
  15. « «Gilets jaunes»: la gendarmerie dément l'existence d'une «arme secrète» dans ses blindés », sur Le Figaro, (consulté le )
  16. a b et c Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :5
  17. Sirpa Gendarmerie, Gendarmerie nationale, « Centaure : un nouveau blindé pour la protection de la population », sur www.gendarmerie.interieur.gouv.fr (consulté le )
  18. Communiqué de presse de la société Exail, sur son site https://www.ecagroup.com/media-file/7612-exail-livre-le-systeme-de-simulation-de-conduite-du-vehicule-polyvalent-centaure-a-la-gendarmerie-nationale.pdf consulté le 20 mai 2024.
  19. « Voici Centaure, le nouveau véhicule blindé de la gendarmerie », sur www.20minutes.fr, (consulté le )
  20. « Nouveaux blindés : le premier Centaure livré à la Gendarmerie », sur L'Essor de la gendarmerie (consulté le ).
  21. « L'entreprise Soframe a livré le premier Centaure à la Gendarmerie », sur lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  22. Webmaster 2, « Émeutes en France: la Gendarmerie engage pour la première fois ses blindés “Centaure” (actualisé) - La voix du gendarme », (consulté le )
  23. Laurence Defranoux, « Agriculteurs : tracteurs vs blindés de la gendarmerie, qui pourrait remorquer l’autre ? », sur Libération (consulté le )
  24. Commissariat attaqué à La Courneuve: deux blindés déployés par la gendarmerie pour assurer le maintien de l'ordre Consulté le .

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]