Utilisateur:Helen Tomlinson

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Helen Tomlinson
Auteur
Langue d’écriture Anglais, français

Mutations du livre et édition électronique[modifier | modifier le code]

Helen Tomlinson est étudiante en master 2 Monde du livre à AMU.

Test[modifier | modifier le code]

Poppy
Drawing of a poppy plant.

This is a revision test. It is helpful to practise beforehand.

Contents[modifier | modifier le code]

Archipelago Sea
Archipelago Sea.
  • Lists
  • Numbered lists

Numbered list[modifier | modifier le code]

  1. Toad
  2. Frog
    • Frogspawn

Definitions[modifier | modifier le code]

House
Maison.
Chair
Chaise
Chaise XIV.

Citing sources and adding footnotes[modifier | modifier le code]

Lorem ipsum dolor sit amet[1], consectetur adipiscing elit[1].

Tin mining on the island of Bangka[2] is poorly regulated and causes serious environmental pollution.

The Guardian has carried out an investigation[3].

Work accidents are common[4] and long-term health problems are also endemic[4].

Links[modifier | modifier le code]

This is an internal link to the Wikpedia page about Écosse

This is an internal link with an alternative text describing « La ville rose »

This is an external link to the site of the Cléo

This explains the meaning of the abbreviation UK

References[modifier | modifier le code]

  1. a et b Lorem ipsum
  2. An island in Indonesia.
  3. Published 01/10/2012.
  4. a et b Guardian, 1 October 2012.

Cours 1, le 9 octobre 2012[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Divers[modifier | modifier le code]
  • L'utilisation des titres (dans Wikipédia, Word, etc.) permet de créer automatiquement la table des matières ainsi que de respecter la maquette.
Astuces[modifier | modifier le code]
  • Une barre verticale (|) : AltGr + 6
  • Guillemets français :
    • Sous Word :
      • Alt+0171 et Alt+0187 donnent respectivement les guillemets gauche et droit : « et »
      • Alt+174 et Alt+175 donnent respectivement les guillemets gauche et droit : « et »
      • Sur le clavier Qwerty, Alt+z et Alt+x donnent respectivement les guillemets gauche et droit : « et »
    • Sous X11 (GNU/Linux) :
      • AltGr-w (variante oss) ou AltGr-z (variante fr) et AltGr-x donnent les guillemets gauche et droit « et »
  • Appeler plusieurs fois la même note :
    • Il est possible d'appeler la même note[1] en plusieurs endroits différents comme ceci[1]
Évaluation[modifier | modifier le code]

Plusieurs types d'evaluation seront possibles, dont notamment :

  • des questions de cours ;
  • une question théorique ;
  • la production de codes (HTML, TEI, etc.) ;
  • l'exploitation d'une Application Programming Interface (API) ;
  • la production d'un cahier de charges pour le création d'un projet d’édition électronique ;
  • la production d'un audit (i.e. évaluer les forces et faiblesses d'un site : citabilité, maniabilité, lisibilité...).

Le Cléo[modifier | modifier le code]

Le Centre pour l'édition électronique ouverte (Cléo) a développé un portail de ressources électroniques en libre accès, qui regroupe actuellement quatre plateformes :

  • revues.org (1999), un portail de revues en sciences humaines et sociales qui diffuse aujourd'hui 300 revues ;
  • calenda.org (2000), un calendrier annonçant chaque mois plus de 250 évènements scientifiques en lettres, sciences humaines et sociales ;
  • hypothèses.org (2008), une plateforme de 350 carnets de recherche en sciences humaines et sociales ;
  • OpenEdition Books (2012), une plateforme dédiée aux collections de livres qui sera lancée dans le courant de l'année 2012.

L’édition électronique[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Comment définir l’édition électronique ? Notre notion d’édition repose-t-elle sur l'existence d'un intermédiaire entre auteur et lecteur ? Dans quelles circonstances les blogs et les sites collaboratifs (par ex. Wikipédia) constituent-ils de l’édition ?

On peut distinguer trois différents types d'édition électronique[2] qui cohabitent les uns avec les autres :

  1. la numérisation, c'est-à-dire le portage du texte imprimé sur support numérique ;
  2. l'édition nativement numérique, c'est-à-dire des pratiques d’édition qui ne passent pas immédiatement par un support analogique ;
  3. l'édition nativement en réseau, c'est-à-dire des pratiques d’édition qui s'appuient sur les réseaux électroniques pour développer de nouveaux modes de production des textes.

Définitions et sigles[modifier | modifier le code]

DRM (Digital Rights Management)
Un dispositif logiciel qui permet de protéger les œuvres informatiques de la copie non contrôlée par le vendeur (cf. une copie privée). Il s'agit d'un cryptage du contenu pour le rendre illisible (sauf s'il l'on dispose d'un logiciel qui permet de le décrypter, après vérification de l’identité de l'utilisateur). Il n'y pas de dispositif équivalent pour contrôler que la lecture ou possession d'un livre papier soit autorisée (par ex. la lecture d'un livre de bibliothèque volé). Apple, Adobe, Amazon etc. disposent de logiciels pour vérifier que le lecteur a le droit de lire leurs ouvrages numériques. Le logiciel de décryptage le plus utilisé dans l'édition est Adobe Digital Edition. Le DRM va permettre, par exemple, de télécharger un ouvrage sur un certain nombre de liseuses ou ordinateurs. C'est typiquement les éditeurs qui exigent les DRM et les intermédiaires qui ne les veulent pas (Amazon est une exception).

Quelques cas d'étude

  • 1984, Kindle, 2010. Amazon a supprimé non seulement le livre des Kindles, mais aussi les annotations des lecteurs (qui sont protégées sous le droit d'auteur).
  • La littérature dite immorale, Kindle, 2011 : Amazon vendait des ouvrages de littérature érotique sur les Kindles. La société a ensuite pris la décision de supprimer ces ouvrages, accusés de ne pas être conformes à la morale, des Kindles des utilisateurs, sans leur autorisation préalable.
  • Prix Pulitzer : Apple avait refusé à un lauréat du prix, un caricaturiste, le droit de développer son propre application. Le caricaturiste a par la suite été accordé ce droit, mais le refus initial d'Apple a démontré la puissance de cette société et laisse entendre le nombre de refus de ce genre qui passent inaperçus.
L'ePub (cf. le PDF)
Un format ouvert « recomposable » pour les livres numériques, tandis que le PDF est « composé » et optimisé pour un format particulier. Le PDF vient du postscript (un format destiné aux imprimantes). Mais la taille des écrans est variable (portable, très grand). Si le lecteur doit zoomer (car le format n'est pas compatible avec son écran), le texte va partir hors du cadre du PDF. Le PDF est dont non recomposable. Cf. Wikipédia (le texte est recomposé « à la volée »). Comme Wikipédia, ePub recompose « à la volée » (chose rendue possible par le HTML). Ceci permet d'utiliser le « flux » (informations sémantiques) pour adapter le format du contenu (voir l'article de Nova Spivack, « Bienvenue dans le flux : un nouvel âge pour le web », dans le Read/Write Book, OpenEdition Press, 2010). Les ePub sont composés essentiellement en HTML.
HTML
Hypertext Markup Language. L'HTML 5 va bientôt sortir : un langage standardisé (cf. les langages utilisés dans les livres application). HTML 5 pourra être interprété par les navigateurs (donc plus durables). HTML inventé par Tim Berners-Lee et a ensuite fondé World Wide Web Consortium (W3C) : un organisme qui produit des normes pour le Web et l'XML en privilégiant l'accessibilité. Regroupe des associations, des sociétés, des États. Développe le Web Accessibility Initiative (par ex. contenu accessibles aux mal voyants, à des gens avec un ordinateur à petit écran, navigable sans souris).
Livre application.
Un logiciel. Un livre qui est aussi un jeu. A « serious game » qui permet d'apprendre quelque chose en jouant. Mais un livre Encodé et encrypté ; le livre est un fichier binaire. Chaque plateforme a son propre langage donc les livres applications ne sont pas interopérables. Les livres application ne sont pas citables.

Points faibles : les livres application sont jetables (CD-ROM, Flash) ; pas de copier-coller. N.B. Le Flash un format de programmation qui permet de faire des jeux. Mais un format propriétaire donc fermé. Le Flash a été interdit des appareils Apple par Steve Jobs il y a deux ans (car il a voulu développé son propre format et aussi car Flash présente beaucoup de défauts).

Resolvabilité
« Un identifiant est « résolvable » (ou « dé-référençable ») s’il peut être utilisé dans un mécanisme automatisé pour accéder à l’objet identifié [typiquement, un site web][3]. »
« [L]e nom est pour l'intelligibilité humaine, alors que l'identifiant est pour la désignation unique d'un objet de manière résolvable par ordinateur avec les protocoles de réseau et de nommage[4]. »

Par ex. cnrs. fr / 197.163.12.27. L'avantage de la resolvabilité, c'est que si un organisme change de serveur, l'adresse de son site web reste inchangé, pourvu que le système de noms de domaine (en anglais : Domaine Name System, DNS) soit informé du changement.

URL
Uniform Resource Locator.
XML (eXtensible Markup Language)
Un langage informatique de balisage.

Formes juridiques[modifier | modifier le code]

Creative Commons (CC)

Creative Commons est une licence juridique qui régit une œuvre (œuvre culturelle, cours, musique, article, livre, blog) à l’intérieur du régime du droit d'auteur. C'est une licence qui régit tout document relevant du droit d'auteur. La licence ne porte pas de jugement de valeur sur le document en question.

L'auteur d'un texte est protégé selon les dispositifs du droit d'auteur dès qu'il commence à écrire. À l'inverse, le brevet n'est valable qu'après que l'auteur en a fait la demande. L'auteur peut décider de mettre son œuvre sous licence CC. À ce moment, le droit d'auteur persiste, mais l’œuvre est mise sous une licence spécifique et unilatérale (cf. un contrat : bilatéral).

Si l'auteur choisit une licence ND, il limite les usages futurs de l’œuvre. Ainsi, d'un côté, on protège l’œuvre ; de l'autre, on limite ses évolutions potentielles. Théoriquement, l'auteur a le droit de vendre son œuvre mise sous licence CC (même NC), par exemple à une fondation, une entreprise. La licence s'exprime en icônes, en langage juridique et en « français quotidien ».

Wikipédia est aujourd'hui sous licence Creative Commons. Dans son article consacré à ce sujet, Wikipédia définit la Creative Commons comme « une licence dont l’objectif recherché est d’encourager de manière simple et licite la circulation des œuvres, l’échange et la créativité. Creative Commons s’adresse ainsi aux auteurs qui préfèrent partager leur travail et enrichir le patrimoine commun (les Commons) de la culture et de l'information accessible librement. L'œuvre peut ainsi évoluer tout au long de sa diffusion[5] ».

Six possibilités combinées autour de quatre pôles définissent les différents usages :

  • Attribution : signature de l’auteur initial (ce choix est obligatoire en droit français) (sigle : BY) ;
  • Non Commercial : interdiction de tirer un profit commercial de l’œuvre sans autorisation de l'auteur (sigle : NC) ;
  • No derivative works : impossibilité d’intégrer tout ou partie dans une œuvre composite ; l'échantillonnage (sampling), par exemple, devenant impossible (sigle : ND) ;
  • Share alike : partage de l’œuvre, avec obligation de rediffuser selon la même licence ou une licence similaire (version ultérieure ou localisée) (sigle : SA).

En cas de non respect, quel est la valeur juridique des licences CC ? La situation n'est pas claire car la jurisprudence relevant de cette question est peu développée ; il faut attendre que le cadre juridique se stabilise. La difficulté est de définir ce qu'est l'utilisation « non commerciale ».

Wikipédia est sous licence BY-SA, mais non sous licence NC, ce qui autorise par défaut les usages commerciaux. La licence BY-SA permet également des usages alternatifs des informations. DBpedia*, une base de données structurée composée d'informations extraites de Wikipédia[6], constitue un exemple d'usage alternatif. Cet exemple de crowd-sourcing démontre la puissance créative de la licence CC.

  • DBpedia existe en version payante et version gratuite (modèle Freemium).

Les licences Creative Commons ont également l'avantage d’éviter le coût de transaction qu'implique la recherche de l'auteur ou l'ayant droit d'un document et l'obtention de l'autorisation de reproduire le document. En mettant un document (textuel, iconographique, sonore, etc.) sous licence Creative Commons, l'auteur permet de façon tacite la réutilisation ultérieure du document, pourvu que celle-ci respecte les termes de la licence CC en question.

Cours 2, le 16 septembre[modifier | modifier le code]

Read/Write Book[modifier | modifier le code]

Selon l'éditeur Hubert Guillaud, « le livre désor­mais, est lisible et ins­crip­tible, c’est le Read/​Write Book[7] ».

Le livre papier est aussi inscriptible, mais les annotations ne peuvent être lues que par un nombre de lecteurs assez limite. D'ailleurs, chaque exemplaire du livre est unique, donc les annotations varient d'exemplaire en exemplaire.

On peut observer, dans l’évolution de systèmes de partage de contenus, le passage de la verticalité vers l’horizontalité. Par exemple, le Minitel était un serveur où peu de personnes avaient le droit de créer du contenu. Le lecteur n'avait que le droit de lire les informations. Avec le Web (Read/Write Web : RWW), le Read/Write CD (CDRW) et le Read/Write Book, on n'est plus dans un système vertical, mais dans un système pair-à-pair (peer to peer : p2p). Des couches informationnelles (qui peuvent être publiques) s'ajoutent au livre, servant ainsi à enrichi le livre. Par exemple : le livre peut savoir qu'il est cité ailleurs par le biais de rétroliens (trackbacks ou pings). Ces rétroliens s'affichent en bas du texte original (avec les commentaires).

Les métadonnées[modifier | modifier le code]

Les métadonnées sont des données qui permettent de décrire un objet numérique.

Les ouvrages papier comportent également des métadonnées. Les articles comportent les métadonnées suivantes : nom de l'auteur, titre, volume et numéro de la revue, date de parution, ISSN. Les livres comportent métadonnées suivantes : nom de l'auteur, titre, éditeur, collection, prix, ISBN, etc.

Les métadonnées doivent être structurées selon un format. Le format le plus répandu est Dublin Core. Onix est un autre format largement répandu.

Le texte numérique[modifier | modifier le code]

Le texte numérique a sept caractéristiques :

  1. Il est quasiment immatériel (à part son support matériel, c'est-à-dire le matériel, l’énergie, etc. nécessaire pour le créer).
  2. Il est reproductible.
  3. Il circule avec une grande fluidité.
  4. Il peut se doter de couches supplémentaires et successives (qui sont publiques ou privées).
  5. Il est hypertextuel (il est capable de citer ou d’être cité).
  6. Il est indexable (il peut être lu par les moteurs de recherche à tout moment et sans cesse selon la logique des algorithmes qui évoluent).
  7. Il relève de l’économie de l'attention et non de l’économie de la rareté.
Le texte numérique idéal[modifier | modifier le code]

Le texte numérique idéal a trois caractéristiques :

  1. Il doit être lisible.
  • Il faut qu'il soit décrit avec un format ouvert. N'importe qui peut créer un logiciel pour le lire ; il n'y pas un logiciel en particulier qui prime. Cf. les livres application.
  • Il faut qu'il soit recomposable. Il doit être le plus autonome que possible.
  • Il doit être conservable. Voir « l'affaire Bruce Willis » ; cf. les livres de Numilog.
  1. Il doit être manipulable.
  • Il faut qu'il soit indexable et cherchable.
  • Il doit être copiable et collable. Cf. les livres en streaming.
  • Il doit être annotable et inscriptible. Par ex. surligner un passage en jaune, ajouter des commentaires. Chez Apple ou Amazon, annoter un texte rend le lecteur plus dépendent vis-à-vis de ces entreprises. Un univers fermé ; le lecteur n'est pas la propriétaire de ses annotations. Toutefois, l'Organisation internationale de normalisation (ISO) est en train de développer un nouveau format pour les annotations,.
  1. Il doit être citable.
  • Il doit être identifiable. L'ISBN sers à identifier un livre ; une publication en série s'identifie par son ISSN. Pour les livres numériques, on dispose de plusieurs systèmes :
    • L'ISSN électronique (défauts : grossier ; pas de services).
    • L'URL (défauts : instable, la charge de travail que représente le changement du nom du site).
    • Le DOI (Digital Object Identifier). À la fois resolvable et ayant la capacité de pointer vers les métadonnées. Très stable et citable sur le long terme. Si le nom "humain" du site change, le DOI reste inchangé. Il faut que l'agence (qui vend et gère les DOI) soit informée du changement d'adresse. Les agences surveillent que les adresses sont à jour. Les DOI sont actuellement utilisés dans le monde de l'édition scientifique où la citabilité est un enjeu important pour les chercheurs (la reconnaissance et le prestige découlent en partie du nombre de fois un article est cité par les pairs). Un système similaire va peut-être émerger dans le domaine de l’édition générale. Dans l'édition scientifique : on dispose d'un DOI pour le livre ainsi aue pour chaque chapitre. Crossref : une agence qui cherche à valoriser le dispositif des DOI en informant les auteurs si l'article est cité par d'autres DOI. Trois fonctionnalités offertes par Crossref : résolution de nom ; métadonnées ; citations.
  • Il doit être correctement décrit.
    • Il faut de bonnes métadonnées.
    • Un texte incorrectement décrit est orphelin et donc introuvable par les moteurs de recherche.
    • La qualité exigée des métadonnées augmente progressivement ; on demande de plus en plus de richesse. Cela devient de plus en plus cher de renseigner les métadonnées.
    • Les métadonnées ont une valeur économique de plus en plus important. Elles ont un vrai impact sur l'efficacité de la recherche et l'utilité des informations.
  • Il doit être interopérable.
    • L'universitaire anglais Lou Burnard parle à ce sujet du « chuchotement des livres qui se parlent. »
    • Un exemple de l’interopérabilité est la Text Encoding Initiative (TEI), définit comme « un système pour faciliter la création, l'échange, l'intégration de données textuelles informatisées[8]».
    • Les rétroliens en sont un autre exemple. Les rétroliens

Opquast[modifier | modifier le code]

Opquast est un site qui liste les bonnes pratiques web. À partir de celles-ci, nous pouvons créer une grille d'audit.

Les pratiques que nous avons sélectionnées comme les plus importantes sont comme suit :

Alternatives

  • Chaque image doit être accompagnée d'un texte alternatif (notamment pour faciliter l'usage par les personnes aveugles). Par ex. l'image du billet Euro sur Wikipédia.fr.

Contact

  • Le site doit fournir au moins un moyen de contact.
  • Les coordonnées du siège social apparaissent sur le site.

Contenus

  • Chaque page doit avoir son propre titre qui identifie le contenu.
  • Les mentions légales concernant la copie et la réutilisation sont disponibles sur chaque page.

Espaces publics

  • Le site propose au moins un moyen de contacter le modérateur des espaces publics.

Fichiers et multimédia

  • La longueur des vidéos et des documents audio est indiquée.
  • Les vidéos et les documents audio sont démarrées par l'utilisateur (et non automatiquement).
  • Le format des fichiers proposés en téléchargement est indiqué.
  • Les animations, sons et clignotements peuvent être mis en pause.

Formulaires

  • En cas de rejet des données saisies dans un formulaire, les champs contenant les données rejetées sont indiqués à l'utilisateur.

Hyperliens

  • Les hyperliens sont visuellement différenciés du reste du contenu.

Identification

  • L'identité de l'auteur, de la société ou de l'organisation est indiquée.
  • Le nom du site et/ou le nom de l'auteur sont indiqués sur chaque page.
  • Chaque numéro de téléphone est indiqué au format international.

Navigation

  • Chaque page affiche une information permettant de connaître son emplacement dans l'arborescence du site.
  • Il est possible de revenir à la page d'accueil depuis toutes les pages.
  • La navigation sur le site ne provoque pas l'ouverture de fenêtres surgissantes (popups).
  • Le site ne comporte pas de liens internes vers des pages en construction.
  • Si toutes les pages du site ne sont pas directement accessibles depuis le plan du site, un moteur de recherche interne est accessible depuis chaque page.

Newsletter

  • Un lien de désinscription est présent dans chaque newsletter.

Présentation

  • La charte graphique est cohérente sur l'ensemble du site.

Sécurité et confidentialité

  • Le site propose une procédure de réinitialisation du mot de passe en cas de perte, de vol ou d'oubli.
  • Les échanges de données sensibles sont sécurisés et signalés comme tels.

Divers[modifier | modifier le code]

Sites web utiles[modifier | modifier le code]

  • Diigo : Stockage en ligne des favoris (permet de commenter le web en permanence).

Cours 3, le 23 octobre[modifier | modifier le code]

Wikipédia distingue assez nettement le fond et la forme. Le code détermine le fond et un moteur de rendu va transformer le code en forme.

Single source publishing[modifier | modifier le code]

Single source publishing (en) Single source publishing (SSP) désigne une méthode de publication utilisant une seule source (par ex. XML) qui décrit la forme du contenu. Le contenu (écrit en XML) va ensuite être transformé en plusieurs formats (qui déterminent la forme) : ePUb, Mobi, Webi, Web imprimable. SSP permettra de créer directement du PAO à partir de l'XML, ce qui donnera un fichier InDesign trois-quarts complet. Ce mode d’édition est actuellement en train de se développer.

Le Web sémantique

Tim Berners-Lee définit le Web sémantique comme « un web de données qui peuvent être traitées directement et indirectement par des machines pour aider leurs utilisateurs à créer de nouvelles connaissances[9] ».

Le circuit éditorial actuel :

  • auteur (Word)
  • éditeur (PAO)
  • Pour faire un ePUb, Mobi, etc., on retravaille le PDF créé avec PAO. Cette tâche est souvent sous-traitée par l'éditeur à une société spécialisée (à l’étranger).

Ce circuit est plus coûteux mais, en revanche, il coûte très cher de développer l’infrastructure SSP.

  • InDesign est en 2D (ce qui permet de placer des documents, des images).
  • La syntaxe Wikipédia est en 1D (en flux). On ne place pas les éléments, c'est le moteur de rendu qui le fait.

HTML[modifier | modifier le code]

XHTML est une variante d'HTML. Il en existe de nombreuses variantes : HTML 4, HTML 5, XHTML, Strict, Transitional. Au début d'une page en HTML, il faut préciser quelle variante on utilise.

Astuces[modifier | modifier le code]
  • Parfois Windows sauvegarde avec .jpg sans que l'on le précise ; dans ce cas il faut sauvegarder l'image sans .jpg dans le titre. L'image doit être sauvegarder dans le même dossier que le code HTML.
  • Pour visualiser tout le texte dans Geany, aller dans Document >> Renvoi à la ligne automatique.
  • Pour que les accents diacritiques apparaissent, il faut préciser quel code on utilise. Par ex. « <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=UTF-8" /> ».
Accents en HTML[modifier | modifier le code]

Il fallait donner un code à chaque caractère. ASCii : codage de 128, puis 255 caractères. Pour les langues non latines on changeait les attributions de codes. Cela marchait jusqu'à l’avènement du Web.

Invention d'Unicode. À chaque caractère va correspondre un code ; on invente un nouveau code à chaque fois que l'on ajoute un caractère (phonétique, Braille, etc.). Cependant, entre ASCii et le developpement d'Unicode il y a eu de nombreux jeux de caractères (charsets) pour tenter de résoudre le problème du codage des caractères, ce qui portait à la confusion.

Questions[modifier | modifier le code]

  • Comment ajouter une référence dans la bibliographie sans y faire référence directement dans le texte de l'article ?
  • Comment aérer le texte ?
  • Agrandir la table des matières ?
  • Créer un lien interne vers un article dans une autre langue ?
  • Sémantisation ?

Liens[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Creative Commons

DBpedia

Édition électronique

Rétrolien

Liens externes[modifier | modifier le code]

Le Monde du livre, un blog des étudiants du master Monde du livre

Read/Write Book. Le livre inscriptible, sous la dir. de Marin Dacos, OpenEdition Press, 2010

Notes[modifier | modifier le code]

  1. a et b Texte de la note nommée
  2. Marin Dacos et Pierre Mounier, L'Édition électronique, La Découverte, 2010, p. 5-6.
  3. Douglas Campbell, « Identifier les identifiants », AMETIST, http://lodel.demo.inist.fr/ametist/index.php?id=373
  4. « Identité d'actif », Thésaurus de l’activité gouvernementale (TAG), http://www.thesaurus.gouv.qc.ca/tag/terme.do?id=MDL340
  5. « Creative Commons », http://fr.wikipedia.org/wiki/Creative_Commons
  6. DBpedia.fr, http://wimmics.inria.fr/projects/dbpedia/doc/index.php/Accueil
  7. Read/Write Book, Blogo Numericus, http://blog.homo-numericus.net/readwrite-book-le-livre-inscriptible
  8. « Text Encoding Initiative », http://fr.wikipedia.org/wiki/Text_Encoding_Initiative
  9. Tim Berners-Lee, « The Semantic Web », dans Scientific American Magazine, 17 mai 2001, http://www.scientificamerican.com/article.cfm?id=the-semantic-web