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Fédération Spirite Internationale
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La Fédération Spirite Internationale (F.S.I) en français, International Spiritualists' Federation (I.S.F) en anglais et Federacíon Espiritísta Internacional (F.E.I) en espagnol, est une association internationale créée en 1923 ayant pour but d'unifier les mouvement spirites et spiritualistes dans le monde.

Aujourd'hui, il s'agit d'une organisation internationale anglophone de soutien des églises spiritualistes, avec un accent particulier sur celles basées dans des pays qui ne soutiennent pas le spiritualisme comme religion[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

photo de Lady and Sir Arthur Conan Doyle
Lady et Sir Arthur Conan Doyle, présidents d'honneurs du Congrès de Liège, 1923

La genèse[modifier | modifier le code]

C'est d'abord lors du congrès international spirite de Barcelone en 1888 qu'émerge le besoin de fédéraliser le spiritisme à une échelle internationale. D'ailleurs, dès 1910, année où le Bureau International du Spiritisme, basé à Genève est également fondé, une première structure du nom de "La Fédération Spirite Internationale" sera annoncée au Journal Officiel[2], même si c'est bien à Liège que se dessinera la future institution.

Il faudra attendre le premier Congrès Spirite Universel de Liverpool de 1912 pour qu'une commission mandatée par l'office genevois fonde une fédération internationale[3]. Bien que ralenti par la Première Guerre mondiale, ses statuts seront rendus public au Premier Congrès Spirite International de Liège de 1923[4]. Il y est décidé de son installation à Paris, de son fonctionnement et de ses moyens de financement.

C'est le 24 août 1926 que ses statuts seront publiés au Journal Officiel, avec pour objet « [la] fraternité entre les spirites du monde entier, l'étude scientifique, philosophique, morale et religieuse du spiritisme, la diffusion des faits relatifs aux sciences psychiques, l'enseignement mutuel et pratique de la solidarité »[5].

À sa création, le pensionnaire de la Maison des Spirites[4] assimile l'association lémanaise[6],[7] dans son propre Office International des Relations Spirites[8], chargé des publications officielles dans (fr + es + en) Les Archives du spiritisme mondial[8], l'affiliant alors à l'Union des associations internationales[9].

Il est à noter que la structure respecte de nombreux points du comité central qu'appelait Allan Kardec[10], faisant même la promotion de ses ouvrages, comme au congrès de 1928.

Dans les éditions de la Revue Spirite de la première moitiée du 20è siècle, il apparaît que la fédération englobe tant des fédérations d'églises spiritualistes étatsuniennes que des fédérations promouvant la doctrine d'Allan Kardec, comme dans les pays latino-américains, voire même des groupes d'études métapsychiques. Dès l'année 1910, le Bureau International du Spiritisme informait déjà des différences entre les spirites de langues germaniques et romanes. Les uns se référant au point de vue de Duncan[Lequel ?] et les autres de Kardec.

Les congrès spirites internationaux[modifier | modifier le code]

C'est à l'occasion des congrès que des résolutions relatives à la définition du spiritisme et des choix d'actions à mener pour les années à venir sont prises. Aussi, il s'agit pour ses membres d'informer leurs consoeurs des avancées dans leurs travaux, des difficultés et des dénouements de leurs actions.

Photo des délégués à Londres, 1928

Le Congrès de Paris en 1925[modifier | modifier le code]

L'assemblée aura été particulièrement notable en raison de la présence et de la conférence de Sir Arthur Conan Doyle, par l'écho qui en aura été fait dans Le Petit Journal, Le Journal et Le Matin[11], de la présence de 37 délégations, de son adhésion, le 6 septembre, au Congrès universel pour la Paix et à l'Union Internationale des Sociétés de la Paix[12] et, pour finir, une exposition d'arts spirite (photographies, scultpures, gravures, peintures, dessin, livres, manuscrits, etc)[13]. Un hymne spirite proposé par Pascal Forthuny sera choisi comme symbole[14], même si la question d'un emblème aura été écartée[15].

En conclusion de ce rassemblement, le spiritisme est définit comme une philosophie reposant sur des données scientifiques ainsi que sur l'existence de Dieu et de l'âme reliée au corps par le périsprit, l'immortalité de l'âme en vue de son évolution par des stages de vie progressif, la responsabilité individuelle et collective entre tous les êtres vivants[16], cette définition sera complétée à chaque congrès. Il est à noter que l'avant dernier point était sujet à des désaccords entre les spirites anglais et français ; les premiers considérant que la réincarnation n'avait pas lieu, alors que pour les seconds oui [17]. De plus, cet évènement aura été l'occasion de préciser les rapprochements et les différences existantes entre les spirites qui considèrent l'intelligence à la source des phénomènes comme provenant des défunts, et les métapsychistes pour qui elle ne serait due qu'à une force inconnue[17].

Le Congrès de Londre en 1928[modifier | modifier le code]

Ce congrès aura été l'occasion pour les spirites francophones et anglophones de s'accorder sur les questions de réincarnation, comme étant la continuité de la « conscience individuelle », terme rejeté en 1925 au profit de l'« âme », après la vie présente, ainsi que des conditions légales d'exercice de la médiumnité guérissante et des questions de protection juridique des médiums.[18]

insigne de la FSI
Insigne de la F.S.I. dès 1931, dans la Revue Spirite d'avril 1932

Le Congrès de La Haye en 1931[modifier | modifier le code]

L'assemblée s'accorde pour que les fédérations nationales participent à l'instruction et à la l'élaboration de la recherche métapsychique, en particulier sur les questions de médiumnité guérissante, développer un catéchisme spirite sur le modèle des organisations anglo-saxones et latino-américaines, accepter l'adhésion de l'Association Nationale Spiritualiste des Etats-Unis, militer pour le désarmement et la paix universelle et l'adoption d'un insigne.[19]

Le Congrès de Barcelone en 1934[20][modifier | modifier le code]

Cinquante ans après le Congrès universelle de 1888 se tenait le quatrième congrès de la FSI, du 1er au 10 septembre 1934 ; un mois avant la grève générale révolutionnaire de 1934 qui surviendra en Catalogne et un mois après la création du Troisième Reich allemand. Le contexte politique et économique de l'époque transparaît dans ce que disent les intervenants.

Hubert Forestier, alors président de la FSI, et le professeur Asmara, président d'honneur du congrès, interpelleront l'assemblée sur les conséquences des inimitiées et des guerres qu'engendrent les nationalismes et sur une orientation à donner au spiritisme sur ces questions d'un point de vue moral et social. Le congrès proposant que soit développé la question du « spitiualisme dialectique ».

Le Congrès de Glasgow en 1937[21][modifier | modifier le code]

Lors de cette manifestation, qui se tint du 4 septembre au 10 septembre, 27 délégations de différents pays étaient venus, dont 14 d'organisations membres de la FSI. Elle se distinguera des précédentes éditions par un débat mettant en évidence le nombre de britanniques acquis à l'idée de la réincarnation, alors encore en débat entre les spirites et les spiritualistes moderne anglo-saxons. Aussi, seuls deux commissions, l'une Scientifique et l'autre Philosophique, seront mandatés lors de ce congrès, tranchant encore avec ces rassemblements, habituellement plus nombreuses. De plus, à sa clotûre, il ne fut décidé d'aucun pays pour la tenue d'un septième congrès

Ainsi, sans connaître le lieu où se tiendra le VIIè congrès, à la veille de la Seconde Guerre Mondiale, le spiritisme sera définit en ces termes : « Le Spiritisme est une philosophie qui repose sur des données scientifiques précises, et dont les principes fondamentaux sont ainsi énoncés : 1° Existence de Dieu, intelligence et cause suprême de toutes choses. 2° Existence de l'âme, reliée pendant la vie terrrestre au corps physique périssable par un élément intermédiaire appelé périsprit ou corps éthérique. 3° Immortalité de l'âme ; son évolution continuelle vers la perfection par des stades de vie progressifs. 4° Possibilité de communication par la médiumnité, entre le monde visible et l'invisible, soit entre les vivants et les morts. 5° Responsabilité individuelle et collective entre tous les êtres, suivant la loi de causalité. »

L'après guerre[modifier | modifier le code]

Après la Seconde Guerre Mondiale, les locaux parisiens de la FSI sont détruits et de nombreux documents avec[22]. Alors, au mois d'août 1947, pendant la « Semaine Internationale » de la Spiritualists' National Union (en) à Bournemouth, sont invités les organisations nationales des pays scandinaves, du Canada, de l'Afrique du Sud, de l'Autriche, de la France, de la Belgique, de l'Italie, de la Grèce et de la Finlande, afin que leur fédération soit remise sur pied[23].

Ça sera à Londres, un an plus tard, que se tiendra le VIIè Congrès Spirite International, avec pas moins de 30 nations représentées. Pour permettre la rencontre et l'adhésion d'organisations non-spirites, tel que les caodaïstes[24], des groupes d'études métapsychiques et des Églises spiritualistes[25], le spiritisme sera redéfinit à l'aulne des seules notion de survie de l'âme et de la communion des esprits avec les vivants, laissant les questions de « philosophie » et de « charité » à l'appréciation des adeptes[26][27].

Avec cette alternance, le spiritisme ne s'aborde plus exclusivement du point de vue de la doctrine spirite d'Allan Kardec, bien que la majorité des membres continuent de s'en réclamer et de s'y référer, où la promotion de l'amélioration morale et des réincarnation successives y sont consubstantielles[28].

Aussi, compte tenu du caractère central des villes européennes[21], les bureaux de la FSI déménageront dans la capitale anglaise où d'éminents membres de la fédération britannique occuperont des postes clés, publiant un nouveau bulletin fédéral, cette fois-ci anglophone, Yours Fraternally[29],[30], qui connaîtra certaines traductions en français dans les années 1950.

Jusqu'à la création du Conseil Spirite International en 1992, il s'agira de la principale organisation des spirites dans le monde.

Fonctions actuelles[modifier | modifier le code]

Elle étudie et promeut la compréhension des phénomènes psychiques d'un point de vue scientifique et philosophique, en reconnaissant l'existence d'une force de vie créatrice, l'existence d'un lien spirituel entre toutes les formes de vie et la survie de la mort physique par l'esprit humain individuel ; faire connaître la philosophie et les phénomènes spirites/spiritualistes tout en reconnaissant les différences d'interprétation dans les différents pays en raison de facteurs culturels[9]. La Fédération compterait des membres dans presque 35 pays.

Chaque année, elle parraine la « Semaine fraternelle » consacrée à l'enseignement spirituel, aux expériences, à la relaxation, aux conférences, aux cours et aux séminaires ; elle organise des équipes d'enseignement pour visiter divers pays afin d'élever les normes en matière de guérison spirituelle et de présentation des philosophies spiritualistes ; et gère un forum scientifique pour encourager la recherche sur la médiumnité, la guérison et la philosophie spirituelle[3].

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Site officiel
  • (en) Yours Fraternally (organe trimestriel de la FSI), Fédération Spirite Internationale, depuis 1948 (lire en ligne)

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (fr + en + es) Office international des relations spirites et Fédération spirite internationale, Archives du spiritisme mondial : recueil des actes officiels de l'Office international des relations spirites et de la Fédération spirite internationale : ex-bulletin officiel du Bureau international du spiritisme (BNF 32701405, lire en ligne)
  • « Archives du Spiritisme Mondial » Accès libre, sur iapsop.com (consulté le )
  • « Congrès et Conférences » Accès libre, sur autoresespiritasclassicos.com (consulté le )

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « International Spiritualist Federation [ISF] », dans Element Encyclopedia of the Psychic World, vol. 10, Harper Collins, 330–331 p.
  2. Journal Officiel, « Résultats de recherche », Annonce de création de La Fédération Spirite Internationale Accès libre, sur www.journal-officiel.gouv.fr, (consulté le )
  3. a et b (en-US) Lux Ferre, « International Spiritualist Federation » Accès libre, sur occult-world.com, (consulté le )
  4. a et b Sulyac, « Un disciple d'Allan Kardec : Jean Meyer », La Revue Spirite,‎ , p. 172 :

    « En 1924, au Congrès de Liège, Jean Meyer fut désigné comme vice-président de la Fédération Spirite Internationale. En 1925, c'est dans la Maison des Spirites que se tint le Congrès Mondial de Paris, dont Jean Meyer fut l'organisaleur et que présida le vénérable Léon Denis, ayant à ses côtés Arthur Conan Doyle, l'illustre écrivain britannique. »

  5. Journal Officiel, « Déclarations d'associations », Annonce de création de la FSI au Journal Officiel Accès libre, sur www.journal-officiel.gouv.fr, (consulté le )
  6. La Revue Spirite, « Le mouvement Spirite : Organismes Internationaux », La Revue Spirite,‎ , p. 471 :

    « D’ores et déjà, l’Office International des Relations Spirites est institué officiellement. M. le Chev. Le Clément de Saint-Marcq, ancien directeur de feu le «Bureau International du Spiritisme», a transmis ses dossiers, documents et relations au nouvel organisme centralisateur [la Fédération Spirite Internationale]. »

  7. Bureau international du spiritisme, Bulletin officiel du Bureau international du spiritisme : affilié à l'Union des associations internationales, Bilsen, Chev. Le Clément de St-Marcq, (BNF 42199219)
  8. a et b Office international des relations spirites et Fédération spirite internationale, Archives du spiritisme mondial : recueil des actes officiels de l'Office international des relations spirites et de la Fédération spirite internationale (ex-bulletin officiel du Bureau international du spiritisme), Maison des spirites, (lire en ligne), p. 11
  9. a et b (en) Union of International Associations, « International Spiritualist Federation », Union of International Associations Yearbook Profile, sur uia.org (consulté le )
  10. Allan Kardec, « Comité Central », Revue Spirite,‎
  11. « Les deux mondes et l'Autre : Le spiritisme universel tient congrès à Paris », Le Matin,‎ , p. 1 (lire en ligne Accès libre)
  12. G. Vu, « Le Congrès Spirite International », Revue Scientifique et Morale du Spiritisme,‎ , p. 291 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  13. « Exposition du Spiritisme au Congrès de la Fédération Spirite Internationale », La Revue Spirite,‎ , p. 91-95
  14. « Echos de partout : Un hymne spirite », Revue Scientifique et Morale du Spiritisme,‎ , p. 351-352 (lire en ligne Accès libre [PDF]) :

    « Au dernier congrès, cet hymne a été choisi comme signe de rallie­ment entre les spirites du monde entier. »

  15. « Le Congrès Spirite International (Suite) (I) », Revue Scientifique et Morale du Spiritisme,‎ , p. 355-361 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  16. « Le Congrès Spirite International : Conclusions du Congrès », Revue Scientifique et Morale du Spiritisme,‎ , p. 4 (lire en ligne Accès libre [PDF]) :

    « Le Comité Exécutif de la Fédération Spirite Internationale propose au Congrès Spirite, réuni à Paris, le 12 septembre 1925 après lecture des rapports, mémoires, documents et après l’audition des discours se ratta­chant aux questions vitales du spiritisme, sa propagation, son organisa­tion, de voter la conclusion suivante : Le Spiritisme est une philosophie qui repose sur des données scienti­fiques précises et dont les principes fondamentaux sont ainsi énoncés. (1) Existence de Dieu, intelligence et cause suprême de toute chose. (2) Existence de l'âme reliée pendant la vie terrestre au corps physique, périssable, par un élément intermédiaire appelé périsprit ou corps fluidique indestructible. (3) Immortalité de l’âme, évolution continue vers la perfection par des stages de vie progressifs. (4) Responsabilité individuelle et collective universelle entre tous les êtres. »

  17. a et b « Les conclusions du congrès international de spiritisme », Le Matin,‎ , p. 2 (lire en ligne Accès libre)
  18. « Procès verbal de la réunion du Comité Général de la F.S.I : Samedi 12 octobre 1929, à 9h30, à la Maison des Spirites, Paris. : Lecture du rapport du Secrétaire Général », Archives du Spiritisme Mondial,‎ , p. 10-15 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  19. Fédération Spirite Internationale, « Septième Journée : Jeudi, 10 Septembre », CONGRÈS SPIRITE INTERNATIONAL : Réuni à la Haye du 4 au 10 Septembre 1931 : Compte Rendu, éditions Jean Meyer,‎ , p. 45-47
  20. Congrès spirite international (préf. Jean Rivière), Congrès spirite international réuni à Barcelone du 1er au 10 septembre 1934. Compte-rendu. International spiritualist congress. Barcelona, let-10th september 1934, Paris, éditions Jean Meyer, (lire en ligne)
  21. a et b La Revue Spirite, « Le VIè Congrès Spirite International de Glasgow », La Revue Spirite,‎ , p. 433-450
  22. Hubert Forestier, « Passé, Présent, Avenir... », La Revue Spirite,‎ , p. 4 :

    « Qu'on n’oublie pas, en effet, que nous sortons ruinés de la guerre. Dans le pillage de la « Maison des Spirites », nos collections ont été emportées, brûlées, jetées au pillon, tels les ouvrages, à plus d'un titre précieux, d’Allan Kardec, de Léon Denis, de Gabriel Delanne, d’Ernest Bozzano, de Léon Chevreuil et de tant d’auteurs amis, ouvrages nécessaires à la propagande du Spiritisme et que faute de moyens, les « Editions Jean Meyer » seront, de longtemps, hélas! dans l'impossibilité de rééditer. »

  23. « L'Organisation Internationale du Spiritisme se reconstruit », Survie : organe de l'Union Spirite Française,‎ , p. 1
  24. Henri Regnault, « Le Congrès Spirite International de Londres », Survie : organe officiel de l'Union Spirite Française,‎
  25. Jean Barbier, « Echos : LA FEDERATION SPIRITE INTERNATIONALE », La Revue Spirite,‎ , p. 104-105
  26. J.B., « Echos - Dans le monde - Congrès Spirite International », La Revue Spirite,‎ , p. 203-204
  27. (en-US) « International Federation of Spiritualists » Accès libre, sur thefreedictionary.com (consulté le )
  28. André Moreil, Allan Kardec, sa vie, son oeuvre (lire en ligne Accès libre [PDF]), p. 4 :

    « D'ailleurs, quelques mois avant sa mort, [Allan Kardec] écrit : « [Le spiritisme] ne reconnaît pour ses adeptes que ceux qui mettent en pratique ses enseignements, c'est-à-dire qui travaillent à leur propre amélioration morale [...]. » »

  29. Jean Barbier, « Echos : FEDERATION SPIRITE INTERNATIONALE », La Revue Spirite,‎ , p. 62-63
  30. « Yours Fraternally » Accès libre, sur iapsop.com (consulté le )