Aller au contenu

Utilisateur:Koalalakoa/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Elsie Widdowson CH CBE FRS[1] (21 October 1906 – 14 June 2000), was a British dietitian. She and Dr Robert McCance were responsible for overseeing the government-mandated addition of vitamins to food and war-time rationing in Britain during World War II.

Elsie Widdowson (21 octobre 1906-14 juin 2000), était une diététicienne britannique. Elle et le docteur Robert McCance étaient responsables de la surveillance de l’adjonction de vitamines dans la nourriture mandatée par le gouvernement et du rationnement de la grande Bretagne pendant la seconde guerre mondiale.

Early life[modifier | modifier le code]

Widdowson was born in Wallington, Surrey. Her father was a grocer's assistant. Her younger sister Eva Crane trained as a nuclear physicist but became a world-renowned authority on bees.

She lived in Dulwich and attended Sydenham County Grammar School for Girls. She studied chemistry at Imperial College, London and graduated with a BSc in 1928, becoming one of the first women graduates of Imperial College. She did postgraduate work at the Department of Plant Physiology at Imperial College, receiving a PhD in chemistry in 1931 for her thesis on the carbohydrate content of apples. She did further research with Professor Charles Dodds at the Courtauld Institute of Biochemistry at Middlesex Hospital, on the metabolism of the kidneys, and also received a doctorate from the Courtauld Institute.

widdowson est née a wallington (Londres) dans le conté de Surrey. Son père était assistant d’épicerie et sa petite sœur, Eva Crane, fut formée comme physicienne nucléaire mais devenu très renommé dans l'étude des abeilles.

Elle vivait à Dulwich et participait à Sydenham County Grammar School for Girls. Elle étudiait la chimie au collège impérial de Londres et obtint son bac scientifique en 1928, devenant ainsi la première femme diplômée du collège impérial. Elle fit des études supérieures dans le départements de la physiologie des plantes toujours au collège impérial, puis reçu un doctorat en chimie en 1931 pour sa thèse sur la teneur en glucides des pommes. Elle fit des recherches plus poussées avec le docteur Charles Dodds à l’institut de biochimie de Courtauld, situé à l’hôpital de Middlesex, sur le métabolisme des reins et reçue pour cela un doctorat de cet institut.

McCance and Widdowson[modifier | modifier le code]

Bronze bust of Elsie Widdowson by Margo Bulman (1974), at the Royal Society, London.

Dodds suggested that Widdowson should consider specialising in dietetics, and she started a postgraduate diploma at King's College, London. Widdowson met Robert McCance in the kitchens at St Bartholomew's Hospital in 1933, where she was studying industrial cooking techniques as part of her diploma on dietetics. McCance was a junior doctor researching the chemical effects of cooking as part of his clinical research on the treatment of diabetes. Widdowson pointed out an error in McCance's analysis of the fructose content of fruit, and they both realised that there were significant errors in the standard nutritional tables. They became scientific partners and worked together for the next 60 years, until McCance died in 1993.

McCance became a Reader in Medicine at Cambridge University in 1938, and Widdowson joined his team at the Department of Experimental Medicine in Cambridge. They worked on the chemical composition of the human body, and on the nutritional value of different flours used to make bread. Widdowson also studied the impact of infant diet on human growth. They studied the differing effects from deficiencies of salt and of water, and produced the first tables to compare the different nutritional content of foods before and after cooking. Their work became of national importance during the Second World War. Widdowson and McCance were co-authors of The Chemical Composition of Foods, first published in 1940 by the Medical Research Council. Their book "McCance and Widdowson" became known as the dietician's bible and formed the basis for modern nutritional thinking.

Widdowson and McCance and their colleagues became their own experimental subjects, eating a starvation diet of bread, cabbage and potatoes for several months to find out if wartime rationing - with little meat, dairy or calcium intake - would affect their health. They showed that good health could be supported by a very restricted diet, with calcium supplements, and their work became the basis of the wartime austerity diet promoted by the Minister of Food Lord Woolton.

Widdowson and McCance headed the first mandated addition of vitamins and mineral to food. Their work began in the early 1940s, when calcium was added to bread.[2] They were also responsible for formulating the war-time rationing of Britain during World War II.[2]

Widdowson and McCance were employed by the Medical Research Council from 1946, and spent most of their working life in Cambridge. They were consulted on the rehabilitation of the victims of severe starvation in Nazi concentration camps, and visited the Netherlands, Germany and Denmark in early 1946 to study of the impact of the poor wartime diet on the people in Nazi-occupied territories. Widdowson followed up this work in the 1950s, 1960s and 1970s by studying malnourishment in Africa. Research on animals showed that malnourishment in early life led to lifelong effects on growth and health.

Widdowson showed that a new-born human infant has 16 per cent of its weight as fat, much greater than the one or two per cent of other species. She also studied the importance of the nutritional content of infant diets, particularly trace vitamins and minerals in natural and artificial human milk. Her work led to revised standards for breast milk substitutes in the UK in the 1980s.

Dodds suggéra à widdowson de se spécialiser dans la diététique : widdowson débuta alors un diplôme de troisième cycle a king college (Londres).

Widdowson rencontra Robert McCance dans la cuisine de l’hôpital st Barthélemy, en 1933 alors qu'elle étudiait les techniques de cuisines industrielles dans le cadre de son diplôme en diététique. McCance était un jeune docteur qui faisait des recherches sur les effets chimiques de la cuisine dans le cadre de ses recherches sur le traitement du diabète. widdowson lui dévoila une erreur dans ses analyses sur la contenance des fruits en fructose.

Ils se rendirent tout deux compte qu'il y avait des erreurs significatives dans les tableaux nutritionnels standards ils devinrent par la suite collaborateurs et travaillèrent ensemble pendant 60 ans jusqu’à la mort de McCance en 1993.

McCance devint un lecteur en médecine à l'université de Cambridge en 1938, Widdowson rejoignit son équipe dans le département de médecine expérimentale de Cambridge. Ils travaillèrent sur la composition chimique du corps humain et sur et sur la valeur nutritionnelle des différentes farines utilisées pour faire du pain. Widdowson étudia également l’impact de l’alimentation infantile sur la croissance humaine. Ils étudièrent les différents effets de carences du sel et de l'eau

et produisirent les premiers tableaux pour comparer les différents contenus nutritionnels des aliments avant et après la cuisson. Leur travail devint d'une importance nationale au cours de la Seconde Guerre mondiale. Widdowson et McCance furent co-auteurs de la composition chimique des aliments, d'abord publié en 1940 par le Conseil de recherches médicales. Leur livre "McCance et Widdowson" devint connu sous le nom de "la Bible" et constitua la base de la diététiste pour la pensée nutritionnelle moderne.

Widdowson, McCance et leurs collègues devinrent leurs propres sujets expérimentaux, ils firent un régime de pain, de chou et de pommes de terre pendant plusieurs mois pour savoir si le rationnement en temps de guerre, avec peu de viande, de produits laitiers ou de l'apport en calcium, aurait un incident sur leur santé. Ils montrerent que la bonne santé pourrait être soutenu par un régime alimentaire très restreint, avec des suppléments de calcium, et leur travail devint la base de l'alimentation en temps de guerre et fut promu par le ministre de l'Alimentation Lord Woolton.

Widdowson et McCance dirigèrent le premier ajout obligatoire de vitamines et de minéraux aux aliments. Leur travail commença au début des années 1940, lorsque le calcium fut ajouté au pain. [1] Ils rationnèrent également la Grande-Bretagne pendant la Seconde Guerre mondiale. [1]

Widdowson et McCance furent par le Medical Research Council en 1946, et passèrent la plupart de leur vie professionnelle à Cambridge. Ils furent consultés sur la réhabilitation des victimes de la famine dans les camps de concentration nazis, et visitèrent les Pays-Bas, l' Allemagne et le Danemark au début de 1946 pour étudier l'impact de la mauvaise alimentation de la guerre sur le peuple dans les territoires occupés par les nazis. Widdowson accompagna ce travail dans les années 1950, 1960 et 1970 par l'étude de la malnutrition en Afrique. La recherche sur les animaux montra que la malnutrition en début de vie conduit à des effets à long terme sur la croissance et la santé.

Widdowson montra qu'un bébé nouveau-né avait 16% de son poids sous forme de graisse. Elle étudia également l'importance de la teneur nutritionnelle des régimes alimentaires pour nourrissons, en particulier des vitamines et minéraux dans le lait humain naturel et artificiel. Son travail conduisit à de nouvelles normes au Royaume-Uni dans les années 1980.

Later life and honours[modifier | modifier le code]

Widdowson became head of the Infant Nutrition Research Division at the Dunn Nutritional Laboratory in Cambridge in 1966. She formally retired in 1972, but continued academic research in the Department of Investigative Medicine at Addenbrooke's Hospital. She was president of the Nutrition Society from 1977 to 1980, president of the Neonatal Society from 1978 to 1981, and president of the British Nutrition Foundation from 1986 to 1996. She became a Fellow of Imperial College in 1994.

She became a Fellow of the Royal Society in 1976 and was appointed a CBE in 1979. She was made a member of the Order of the Companions of Honour in 1993, which is awarded for outstanding achievements in the arts, literature, music, science, politics, industry, or religion.[3]

The British Nutrition Foundation published a book in 1993 to celebrate 60 years of her partnership with McCance, McCance & Widdowson. A Scientific Partnership of 60 Years, 1933–1993, edited by Margaret Ashwell.

Widdowson lived in Barrington near Cambridge for over 50 years. She ate a simple diet, including butter and eggs, and attributed her longevity to good genes: her father lived to 96 and her mother to 107. She died at Addenbrooke's Hospital after suffering a stroke while on holiday with her sister in Ireland. She never married.

Widdowson devint chef de Division de la recherche Infant Nutrition au Nutritional Laboratory Dunn à Cambridge en 1966. Elle pris officiellement sa retraite en 1972, mais continua la recherche universitaire au Département de médecine de l'hôpital d'Addenbrooke. Elle fut également présidente de la Société de nutrition (1977-1980), présidente de la Société néonatale (1978 à 1981), et présidente de la British Nutrition Foundation (1986 à 1996), puis devint membre de l'Imperial College en 1994.

Elle devient membre de la Royal Society en 1976 et fut nommé CBE en 1979. Elle fut membre de l'Ordre des Compagnons d'Honneur en 1993, qui est une recompense pour réalisations exceptionnelles dans les arts, la littérature, la musique, la science, la politique, l'industrie ou la religion.

La British Nutrition Foundation publia un livre en 1993 pour célébrer ses 60 ans de partenariat avec McCance, McCance & Widdowson. Un partenariat scientifique de 60 ans, 1933 à 1993, édité par Margaret Ashwell.

Widdowson vécu à Barrington près de Cambridge plus de 50 ans. Elle avait un régime simple, et a attribua sa longévité à de bons gènes: son père mouru à 96 ans et sa mère à 107 ans. widdowson décéda à l'hôpital d'Addenbrooke après avoir subi un accident vasculaire cérébral pendant des vacances avec sa sœur en Irlande. Elle ne fut jamais mariée.

References[modifier | modifier le code]

  1. M. Ashwell, « Elsie May Widdowson, C.H. 21 October 1906 - 14 June 2000 », Biographical Memoirs of Fellows of the Royal Society, vol. 48,‎ , p. 483 (DOI 10.1098/rsbm.2002.0028)
  2. a et b (en) Jane Elliott, « Elsie - mother of the modern loaf », BBC News,‎ (lire en ligne)
  3. « Most influential British women in the history of science selected by panel of female Fellows of the Royal Society and science historians », Royal Society (consulté le )

External links[modifier | modifier le code]

Modèle:Library resources box