Utilisateur:Legraindeblé/D/2

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Information Si vous êtes arrivez jusqu'ici, c'est que vous êtes un « curieux[1] », Bienvenue au club ! Vous souhaitez adhérer : Signez, l'hôte vous écrira.[2]

Le cuvier est un nom masculin désignant une cuve à lessive.[3]


Pourtant, ici, point n'est question de laver du linge : d'autres lieux s'y prêtent mieux.

Voici ce que pourrait être une bonne définition du CUVIER :

Club[4]: Cercle où l'on se réunit, Unitaire : qui recherche l'unité sur le plan politique, Valorisation : fait de donner de la valeur à un objet ou à une représentation mentale, Image : représentation favorable que se donne, vis à vis du public une institution, Encyclopédie : ouvrage où l'on traite méthodiquement de toutes les sciences et de tous les arts, Réseau libre : Le Larousse de 1972 est muet à ce sujet. Mais la rumeur du XXIème siècle a du vous parvenir.

Les suivants ont signé, et honorent de leur présence le Club, qui se réunit dans le grand hall

  1. *curieux: Charmant Utilisateur du Réseau Internet Eclectique (Unanimiste, Usagé(e), Uniforme, Unioniste, Unitif, Utopiste, Urbain - et les autres, alors ! - Usurier, -rayer la mention in Utile-) Xénophile.
  2. Pourtant, toutes ces images ont un point commun.
  3. Petit Larousse en couleurs, Edition 1972
  4. Ce club, imaginé comme un endroit de repos au milieu de la jungle, se veut un signe d'appartenance communautaire, un lieu d'empathie.
    L'ambiance serait celle d'un club anglais qu'évoquent, avec talent, de si nombreux romans ou films. Chacun d'entre nous a ses références, «  une ferme africaine », par exemple.
    Le silence, sans être pesant, y est souvent de mise. Pour les cris et les rumeurs, nos médias en sont pleins, tant, que nous devenons indifférents à ces misères un temps exposées, mais bien vite évacuées.
    Les boiseries cirées exhalent un parfum de miel; les tentures écossaises de laine filtrent la lumière; de profonds fauteuils de cuir attendent les corps lourds; la lumière chaude d'une soirée feutrée accompagne le crépitement du feu dans la cheminée; sans oublier l'odeur des thés et des alcools, le cliquetis des tasses et des verres, les conversations chuchotées. L'été, le parc se fait salon.
    Chacun peut s'y ressourcer, consulter un journal de bonnes nouvelles, en annoncer une, déposer un adage, bref, se reposer égoïstement, en union avec les autres membres; et de là repartir rasséréné et confiant, ragaillardi de savoir que plusieurs œuvrent....