Aller au contenu

Utilisateur:M benoist

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bonjour monsieur M Benoist

Vous avez écrit:

Je demande la modification de la phrase suivante.

Hormis l'investissement de départ pour la cuve de trempe, la peinture obtenue est de meilleure qualité pour un moindre coût.

Je trouve cette notion trop subjective. il faux préciser par rapport à quoi et pour quel type de produit . De plus, l'auteur ne semble pas tenir compte du coût énergétique d'entretien du bain, ni coût d'application. M benoist 1 juin 2006 à 15:37 (CEST)

Il est difficile de donner des chiffres sur la peinture et les différents méthodes, malgré quoi, nous pouvons converger sur les faits. En matière de peinture industrielle, un constat s'impose ; en sa grande majorité les constructeurs automobile ont adopté comme technique de peinture pour leur châssis de tout type de véhicule, la technologie dite de cataphorèse.

Je suis d'accord pour affirmer que la phrase, reste « subjective » si nous tenons compte des besoins techniques pour une ligne de cataphorèse, non pas une cuve, car comment il est si bien décrit dans nombreuses pages sur le web, sur des sujets YOUTUBE en vidéo si nous cherchons sous le mot clé « cataphorèse ».

Si nous parlons de la qualité de la peinture, de toute évidence, cette technique est adopté pour sont pouvoir antirouille, garantie pour une longue période ; nous parlons de plusieurs années. Cela se doit, au fait à la préparation soigné des surfaces, avec aspersion et ou immersion dans des cuves contenant des produits chimiques très alcalins, nous parlons d'un potentiel hydrogène (pH) supérieur à 10. (pH > 10).

Des agents chimiques associés à des températures d'environs 70° C ; les surfaces sont lavés de tout agent polluant pouvant altérer la qualité de la peinture,

Par la suite puisqu'il s'agit de métaux, il faut rincer avec l'eau de ville, une première étape de neutralisation ou passivation.

Un traitement dit de phosphatation, joue un rôle clé, puisque à différence d'une peinture au pistole, au rouleau ou à la brosse, la surface reçoit une couché de moins de 20 microns de millimètre, qui garanti le traitement anti - corrosion, et permet aussi adhérence et homogénéité de la couche de peinture.

Une ligne de peinture, demande un niveau d'investissement conséquent, mais cela s’amortit, parce que la technique dite de cataphorèse offre le plus faible l'épaisseur parmi toutes les techniques pouvant garantir plus long temps contre l’oxydation, plus d'uniformité de la couche malgré des géométries complexes de la surface, même à l'intérieur de zones creuses, jusqu'à un certains niveau de pénétration, meilleurs que les autres techniques. Quant à sa résistance aux rayures, griffures là aussi la peinture par cataphorèse semble garantir un meilleur niveau de protection, du moment que le procès aura été fini par le passage par une étuve garantissant la cuisson indispensable.

Les châssis de la plus part de véhicules (véhicules particulières, camions, tracteurs, etc.) dans le monde reçoivent un traitement cataphorèse. Mais depuis que cette technique est connu d'autres industries l'ont adopté.

Une peinture de voiture au pistolet, qu'elle soit automatisé (robotisé) ou manuelle se composé de plusieurs couches : 1° impression ou primaire de 5 à 15 microns. 2° une épaisseur de 40 a 200 microns dite d'apprêt. 3° la finition soit directement en peinture brillante qui peu arriver a 120 micros, ou une base ou teinte mat pouvant aller a plus de 70 microns, qui demande un vernissage qui peut atteindre plus de 100 microns. Justement une telle épaisseur est rigide et si le métal est exposé lors d'un accident à des plis, des coups, la fracture est assuré. L'humidité s'attaque alors au métal... Lorsque vous frappé sur une surface peinte en cataphorèse, le risque est inférieur.

Ce n'est pas de l'apologie d'une technique de peinture en particulier, mais pour chaque besoin nécessite une technique appropriée.