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- topo : Yves-Louis Martinent, « Le patrimoine immatériel. Sur les communes de Vallon-Pont-d'Arc, Salavas et Lagorce. », Rencontres avec le passé, Les Amis de l’Histoire de la Région de Vallon, , Gargantua. Le bois des Jayandes près de Saint-Remèze. (lire en ligne [PDF]).
- visites : https://dolmensetpatrimoine.fr/download/DolmensPatrimoine_53.pdf ; https://dolmensetpatrimoine.fr/visite-de-la-necropole-de-bourg-saint-andeol-2/
| Nécropole du bois des Géantes Nécropole du bois des Géandes | ||||
 Le dolmen no 5 de la nécropole. | ||||
| Localisation | ||||
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| Pays |  France
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| Région | Auvergne-Rhône-Alpes | |||
| Département | Ardèche | |||
| Arrondissement | Privas | |||
| Commune | Bourg-Saint-Andéol | |||
| Mégalithe | Dolmen | |||
| Protection |  Classé MH (1900, Dolmens 1, 2, 3, 4, 5, 6 et 7)
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| Coordonnées | 44° 22′ 11″ nord, 4° 34′ 45″ est | |||
| Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : France
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| Histoire | ||||
| Préhistoire | Néolithique final/Chalcolithique | |||
| Protohistoire | Âge du bronze | |||
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La nécropole du Bois des Géantes ou nécropole du Bois des Géandes (également connue sous les termes de nécropole du Bois des Joyandes et nécropole du Bois des Jayandes), est un site mégalithique funéraire formé de six (ou sept ?[1]) dolmens classés au titre de monuments historiques en 1900[2],[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9] (classement par liste le 31 décembre [10] mais 27 décembre 1889 pour Gély, Gély et Pape et le site dédié [11]) et répartis sur une étendue totale d'environ 750 m au sein de parcelles domaniales du bois de Laoul appartenant à la commune de Bourg-Saint-Andéol, département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes[12]. L'environnement pédologique des constructions mégalithiques présente un fort substrat de nature calcaire[13]. L'emplacement des dolmens a été déterminé par deux prérogative : d'une part l'existence d'une dépression naturelle (aménagée et agrandie lors de la mise en place des dolmens), garantissant une plus grande stabilité et un appui contre un contrefort affleurement rocheux ; et d'autre part la présence d'un important amas pierreux fournissant le matériau nécessaire à la mise en œuvre des structures mégalithiques[13].
Les six structures mégalithiques ardéchoises présentent une forme grossièrement circulaire et sont aménagées d'une chambre centrale. Ces constructions funéraires sont datées du Néolithique Final 2a / Chalcolithique — aux environs de 2 500-2 100 av. J.-C. pour Laporte[14], aux environs de 3 000 av. J.-C. pour Pape en 2005[13], entre 2 900 et 2 200 ans av. J.-C. pour Gély et Pape en 2014[15] — ont été mentionnés pour la première fois dans un rapport de fouilles daté de 1837 rédigé par un géomètre local, Bonnefont[16]. Le cimetière mégalithique est ensuite utilisé à l'Âge du bronze, de la phase ancienne à la phase récente sans hiatus chronologique important[15]. Ultérieurement, le site funéraire n'est plus employé[17]. Des objets divers de facture moderne, soit d'apparat, de vaissellerie, ou encore à destination militaire, etc... montrent que le site des Géantes a été régulièrement fréquenter visiter au cours des XIXe et début du XXe siècle[17]. Les premières fouilles et recherches sont opérées dans la seconde moitié du XIXe siècle, par Jules Ollier de Marichard tout d'abord, puis par Léopold Chiron[18],[19]. Des dolmens vivarois et de leur instrumentum (notamment le mobilier lithique), les deux préhistoriens en exécutent des croquis, dessins et photographies[18],[19]. À cette époque, sept dolmens sont inventoriés et recensés. Toutefois, seuls six dolmens sont identifiés au cours des travaux de recherches aux XXe et XXIe siècles av. J.-C.[13],[18],[19].
La nécropole mégalithique du Vivarais est particularisée est caractérisée se caractérise se singularise se particuliarise pour rassembler sur un même site trois type de construction dolménique : le type dit « bas-rhodanien », représenté par le dolmen inventorié no 4 ; le type dit « caussenard », représenté par les dolmens d'inventaire no 2, 3 et 6 ; et le type dit « languedocien » représenté par les dolmens d'inventaire no 1 et 5[13]. En outre, si la totalité des six dolmens est aménagée d'une cella (ou chambre funéraire, seul le dolmen no 1 présente une antichambre, alors que les cinq autres structures funéraires sont munies d'un vestibule[20] — la chambre funéraire couvrant un volume de plus de 10 m3, alors que celles des cinq autres constructions mégalithiques possèdent une cella dont l'espace est compris entre 3 et 6 m3[20]. Enfin chacune des six constructions mégalithiques des Géantes est associée à un tumulus dont les surfaces varient entre 9 × 6 m pour le dolmen no 6 à 13 × 10 m pour le dolmen no 1, certains encore en grande partie intacts, d'autres quasiment arasés[20],[21].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Pour l'archiviste Robert Labrely, le toponyme Jayandes est une « corruption » de langage du terme "géantes" ("pierres géantes") et a pour origine, indique, qualifie, l'ensemble des dolmens situés sur le site[22] Albin Mazon, Le préhistorique dans l'Ardèche, Ed. de la Bouquinerie, (lire en ligne). Dans la même , Albin Mazon, citant le toponyme "Argenteiros", évoqué par Jean-Paul Delichères au début du XIXe siècle, met en lumière que ce terme d'origine gauloise est un dérivé de "Jayandes" ("Géandes")[23]. Mazon souligne également que "Jayandes" trouve un écho dans le toponyme "Jayantières", dans le département du Tarn-et-Garonne[23] (« tombes de Géants »), structures mégalithiques mises en évidence puis fouillées sur la commune de Montauban[24]. Le chanoine Jacques Rouchier, qui recense la forme "Jaïandes", forme quant à lui l'hypothèse d'une origine liée à « l'imagination populaire », le toponyme renvoyant à des « Géants » ayant vécu dans les massifs ardéchois et ayant pour sépultures les dolmens de Bourg-Saint-Andéol[25].
Contexte/situation géographique, géologique et topographique[modifier | modifier le code]
Contexte mégalithique dans l'Ardèche[modifier | modifier le code]
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Contexte géologique[modifier | modifier le code]
Le substratum géologique du site des Géantes est daté du Crétacé inférieur à faciès Urgonien[26].
Contexte topographique[modifier | modifier le code]
La nécropole est établie entre deux combes : celle dite de la Verre et celle dite des Journées[26].
Histoire[modifier | modifier le code]
Néolithique final - Chalcolithique[modifier | modifier le code]
Âge du bronze ancien[modifier | modifier le code]
Epoque contemporaine[modifier | modifier le code]
Historique des découvertes fouilles et prospections[modifier | modifier le code]
Durant les années 2000, entre 2004 et 2007, six campagnes de fouilles et de prospections ont été opérées sur le site du cimetière mégalithique vivarois[27]. D'autres opérations de recherches ont été menées jusqu'en 2013 sous l'égide du service archéologique de la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes[27].
Architecture, description et stratigraphie[modifier | modifier le code]
Dolmen 1[modifier | modifier le code]
Architecture et description[modifier | modifier le code]
Table[modifier | modifier le code]
Orthostats[modifier | modifier le code]
Chambre[modifier | modifier le code]
Stratigraphie[modifier | modifier le code]
Lors des fouilles franco-allemandes du début des années 2000 initiées en 2001 et menées entre 2002 et 2005 par l'archéologue Wolfgang Pape, l'Université de Fribourg, la Fondation allemande pour la recherche en coordination avec le service des monuments historiques de la région Rhône-Alpes et le conseil général de l'Ardèche, une couche arable, contenant de l'humus mélangée à des tessons de poteries, à des ossements et des outils en silex a été mise en évidence sous un monticule de pierre élevé en surplomb de la chambre du dolmen no 1[13]. La strate, relativement bien préservée, est datée d'environ 5 000 ans, contemporaine à la construction des dolmens[13]. D'autre part, la présence de cette couche montre que l'environnement de l'époque, non encore soumis à un processus de karstification et d'érosion, comme c'est actuellement le cas, était pérenne et propice présentait des possibilités de culture[13].
Dolmen 2[modifier | modifier le code]
Architecture et description[modifier | modifier le code]
Table[modifier | modifier le code]
Orthostats[modifier | modifier le code]
Chambre[modifier | modifier le code]
Stratigraphie[modifier | modifier le code]
Dolmen 3[modifier | modifier le code]
Architecture et description[modifier | modifier le code]
Table[modifier | modifier le code]
Orthostates[modifier | modifier le code]
Le dolmen no 3 est une structure mégalithique dite « à parois latérales inclinées »[28].
Chambre[modifier | modifier le code]
Stratigraphie[modifier | modifier le code]
Dolmen 4[modifier | modifier le code]
Architecture et description[modifier | modifier le code]
Table[modifier | modifier le code]
Orthostats[modifier | modifier le code]
Chambre[modifier | modifier le code]
Stratigraphie[modifier | modifier le code]
Dolmen 5[modifier | modifier le code]
Architecture et description[modifier | modifier le code]
Table[modifier | modifier le code]
Orthostats[modifier | modifier le code]
Chambre[modifier | modifier le code]
Stratigraphie[modifier | modifier le code]
Dolmen 6[modifier | modifier le code]
Architecture et description[modifier | modifier le code]
Table[modifier | modifier le code]
Orthostats[modifier | modifier le code]
Chambre[modifier | modifier le code]
Stratigraphie[modifier | modifier le code]
Autres structures[modifier | modifier le code]
Tour de pierres sèches[modifier | modifier le code]
Carrières de dalles[modifier | modifier le code]
Charbonnières[modifier | modifier le code]
Petit mobilier archéologique[modifier | modifier le code]
Objets funéraires[modifier | modifier le code]
Écofacts[modifier | modifier le code]
Ossements humains[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- Bernard Gély et Wolfgang Pape 2014, p. 3.3.1.3. Léopold Chiron (1845-1916).
- Ministère de l'Instruction Publique et des Beaux-Arts, chap. I - 1° « France - Monuments mégalithiques », dans Loi et décrets relatifs à la conservation des monuments historiques et liste des monuments classés de 1900, (lire en ligne [PDF]), p. 16.
- « Dolmen numéro 7 du Bois des Géantes », notice no PA00116663, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Dolmen numéro 6 du Bois des Géantes », notice no PA00116662, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Dolmen numéro 5 du Bois des Géantes », notice no PA00116661, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Dolmen numéro 4 du Bois des Géantes », notice no PA00116660, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Dolmen numéro 3 du Bois des Géantes », notice no PA00116659, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Dolmen numéro 2 du Bois des Géantes », notice no PA00116658, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Dolmen numéro 1 du Bois des Géantes », notice no PA00116657, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- https://www.culture.gouv.fr/Media/Regions/Drac-Auvergne-Rhone-Alpes/Files/ressource-doc-pat/Edifices-proteges-au-titre-des-monuments-historiques-de-l-Ardeche
- http://jayandes.free.fr/MHclas.htm
- Bernard Gély et Wolfgang Pape 2014, p. 3.1 Localisation.
- Wolfgang Pape.
- Luc Laporte, Luc Jallot et Maïtena Sohn, « Mégalithismes en France. Nouveaux acquis et nouvelles perspectives de recherche. », Gallia préhistoire, t. 53, , p. 289-334 (DOI 10.3406/galip.2011.2490, lire en ligne, consulté le ).
- Bernard Gély et Wolfgang Pape 2014, p. 8.2.2.1. La nécropole des Géandes - chronologie.
- Bernard Gély et Wolfgang Pape 2014, p. 3.3.1.1. Les premières mentions.
- Bernard Gély et Wolfgang Pape 2014, p. 3.5.1. Les vestiges archéologiques des périodes historiques.
- Bernard Gély 2001, p. 55.
- Bernard Gély et Wolfgang Pape 2014, p. 3.3. Historique des recherches sur la nécropole des Géandes.
- Bernard Gély et Wolfgang Pape 2014, p. 5.3.3. Vestibule et antichambre.
- Bernard Gély et Wolfgang Pape 2014, p. 5.4.1. Tumulus.
- Robert Labrery (préf. Auguste Lesourd), « Les dolmens du canton de Bourg-Saint-Andéol », dans Le Vieux Bourg-Saint-Andéol, , 3e éd. (lire en ligne).
- Albin Mazon, « Le Préhistorique dans l'Ardèche », Revue historique, archéologique, littéraire et pittoresque du Vivarais illustrée : publiée avec le concours d'un groupe d'écrivains ardéchois, (lire en ligne, consulté le ).
- Arthur Bonstetten, Essai sur les dolmens, accompagné d'une carte, de planches et de dessins sur bois, J.-G. Fick, (lire en ligne).
- Jacques Rouchier, « Époque gauloise et domination romaine », dans Histoire du Vivarais., t. premier : Le Vivarais depuis les origines jusqu'à l'époque de sa réunion à l'Empire (1039), Largentière, (lire en ligne), p. 255.
- Bernard Gély 2001, p. 54.
- Arnaud Blin, chap. 3.3.1. « Le Néolithique final », dans Le Néolithique en région Rhône-Alpes. 10 ans de recherches archéologiques (2004 - 2013), vol. 2, DRAC Auvergne-Rhône-Alpes service archéologie, coll. « Bilan Scientifique », (lire en ligne [html/pdf]).
- Florent Châteauneuf et al., « Nouvelles recherches sur l’architecture, l’orientation et la situation des sépultures mégalithiques entre Hérault et Rhône », dans Fonctions, utilisations et représentations de l’espace dans les sépultures monumentales du Néolithique européen [en, Aix-en-Provence, France, Presses universitaires de Provence, (ISBN 9791032003701, DOI 10.4000/books.pup.5077), Les sépultures à parois latérales inclinées.
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Bernard Gély (dir.) et Wolfgang Pape (dir.) (préf. Jean Clottes), La nécropole des Géandes à Bourg-Saint-Andéol (Ardèche) dans le cadre du dolménisme en Bas-Vivarais, Lyon, Alpara, coll. « DARA », (ISBN 9782916125558, DOI 10.4000/books.alpara.2845, lire en ligne).
- Bernard Gély (dir.) et Wolfgang Pape (dir.), chap. 3 « La nécropole des Géandes », dans La nécropole des Géandes à Bourg-Saint-Andéol (Ardèche) dans le cadre du dolménisme en Bas-Vivarais, Lyon, Alpara, (lire en ligne), p. 59 à 119.
- Bernard Gély (dir.) et Wolfgang Pape (dir.), chap. 8 « Synthèse », dans La nécropole des Géandes à Bourg-Saint-Andéol (Ardèche) dans le cadre du dolménisme en Bas-Vivarais, Lyon, Alpara, (ISBN 9782916125558, DOI 10.4000/books.alpara.2866, lire en ligne).
- Bernard Gély et Wolfgang Pape, chap. 5 « Analyse des données architecturales », dans La nécropole des Géandes à Bourg-Saint-Andéol (Ardèche) dans le cadre du dolménisme en Bas-Vivarais, Lyon, Alpara, (ISBN 9782916125558, DOI 10.4000/books.alpara.2863, lire en ligne).
- Véronique Duplan, chap. Annexe « Approche de la population inhumée de la nécropole des Géandes à partir du matériel dentaire », dans La nécropole des Géandes à Bourg-Saint-Andéol (Ardèche) dans le cadre du dolménisme en Bas-Vivarais, Lyon, Alpara, (ISBN 9782916125558, DOI 10.4000/books.alpara.2868, lire en ligne).
- Bernard Gély, Wolfgang Pape et Véronique Duplan, chap. 7 « Données anthropologiques et pratiques funéraires », dans La nécropole des Géandes à Bourg-Saint-Andéol (Ardèche) dans le cadre du dolménisme en Bas-Vivarais, Lyon, Alpara, (ISBN 9782916125558, lire en ligne).
- {{chapitre | auteur1 = Bernard Gély | auteur2 = Wolfgang Pape | numéro chapitre = 6 | titre chapitre = Mobilier funéraire en Ardèche et dans le nord-est du Gard | titre ouvrage = La nécropole des Géandes à Bourg-Saint-Andéol (Ardèche) dans le cadre du dolménisme en Bas-Vivarais | lieu = Lyon | Alpara, 2014 (généré le 20 octobre 2023). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/alpara/2864>. ISBN : 9782916125558. DOI : https://doi.org/10.4000/books.alpara.2864.
- Jacques Rouchier, Histoire du Vivarais, t. 1 : Le Vivarais depuis les origines jusqu'à l'époque de sa réunion à l'Empire (1039), (lire en ligne).
- (de) Wofgang Pape, « Die Dolmen-Nekropole im „Bois des Géantes“ bei Bourg-Saint-Andéol im Département Ardèche und die Dolmen des Bas-Vivarais », Publications de l'Université de Fribourg-en-Brisgau, (lire en ligne [PDF]).
- https://books.google.fr/books?id=Q2E2AAAAMAAJ&printsec=frontcover&dq=inauthor:%22Soci%C3%A9t%C3%A9+des+sciences+naturelles+et+historiques+de+l%27Ard%C3%A8che,+Privas%22&hl=fr&newbks=1&newbks_redir=0&sa=X&redir_esc=y#v=onepage&q=Marichard&f=false
- art. vulgarisation scf
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- (en + fr) Guillaume Robin, André D'Anna et Aurore Schmitt, « Fonctions, utilisations et représentations de l’espace dans les sépultures monumentales du Néolithique européen / New researches on the architecture, orientation and situation of the megalithic graves between Herault and Rhône », dans Maxence Bailly (dir.), Fonctions, utilisations et représentations de l’espace dans les sépultures monumentales du Néolithique européen, Aix-en-Provence, France, Presses universitaires de Provence, (ISBN 9791032003701, DOI 10.4000/books.pup.5077, lire en ligne [PDF]). -> dolmen 3 type « sépulture à parois latérales inclinées »
- Yves Chevalier, L’Architecture des dolmens entre Languedoc et centre-ouest de la France, Bonn, Rudolf Habelt (lire en ligne).
- Dolmen no 6 à sections trapézoïdales construit au voisinage de dalles Florent Chateauneuf, chap. 3 « Les sépultures collectives de Provence et de la rive droite du Rhône », dans Les dolmens à section trapézoïdale des Causses et des Gorges de l’Hérault : approche comparative des architectures et des mobiliers., Université de Provence Département Archéologie et Préhistoire, (lire en ligne [PDF]).
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- Compte-rendu d'ouvrage : R. Joussaume, « A propos de deux ouvrages sur le Mégalithisme du Sud de la France. I. — « L'architecture des dolmens entre Languedoc et Centre-Ouest de la France » par Yves Chevalier, Dr Rudolf Habelt, GMBH, Bonn, 1984, 287 p. et 152 pi. », Bulletin de la Société préhistorique française, t. 84, no 2, (lire en ligne, consulté le ).
http://elec.enc.sorbonne.fr/monumentshistoriques/Annees/1900.html
- Pascal M., Lafarge D., Chedhomme et Glintzboeckel C., Notice explicative de la feuille Bourg-Saint-Andéol à 1/50 000, Bureau de recherches géologiques et minières, (lire en ligne [PDF]).
- https://www.culture.gouv.fr/fr/Regions/DRAC-Auvergne-Rhone-Alpes/Documentation/Publications-de-la-DRAC-Auvergne-Rhone-Alpes/Archeologie-bilan-scientifique-archeologique-rhone-alpes-2014-2%20(2).pdf
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