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École historique[modifier | modifier le code]

Article principal : Historiographie.

L'Allemagne est le pays où la pensée historiciste s'est le plus développée et a eu le plus d'influence, allant même jusqu'à rendre ce pays plus ou moins imperméable aux influences exercées par le courant marginaliste en Europe à la fin du XIX^e siècle et au début du XX^e siècle.

Les écoles allemandes[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Historiographie allemande.

DOCU[modifier | modifier le code]

école allemande

Historicisme marxiste[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Historicisme marxiste.

Historiographie médiéviste[modifier | modifier le code]

Articles détaillés : Moyen Âge et Médiéviste.

La « Nouvelle histoire »[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Nouvelle histoire.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

France[modifier | modifier le code]

Autres[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

DOCU[modifier | modifier le code]

EN-WP : en:Schools of history - en:Bologna School (history) - en:Marxist historiography - en:German Historical School - en:Psychohistory
DE-WP : de:Geschichtsschreibung
Duby

Histoire économique de l'Allemagne[modifier | modifier le code]

Article principal : Économie de l'Allemagne.

Germanie antique[modifier | modifier le code]

Articles détaillés : Germanie et Route de l'ambre.

Allemagne médiévale[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Saint-Empire romain germanique.

Dès 1349, la peste fait son apparition dans la vallée du Rhin et en Prusse. Cologne est touchée en décembre 1349. Pendant l'année 1350, toute l'Allemagne est touchée mais c'est dans le nord du pays que la mortalité est la plus forte. À Brême, entre la moitié et les deux tiers de la population disparait^[1]. Les conséquences économiques ne se font pas attendre: déclin de la production agricole et artisanale, arrêt des transports, récession du commerce et des activités bancaires, arrêt la colonisation de l'Est. À l'Est, la grande peste a comme conséquence la désertion des terres pauvres. En récupérant les terres abandonnées, les seigneurs accroissent leur réserve foncière^[2]. En même temps, les princes qui ont besoin d'argent, abandonnent aux seigneurs leurs droits régaliens. De ce fait, les paysans restant sur les terres se retrouvent sous la domination directe des seigneurs qui leur imposent des lourds corvées, indispensables à l'exploitation des grands domaines. Alors que jusque là, ils étaient plus libres que les paysans du reste de l'Allemagne, ils se retrouvent dans une plus grande servitude.

Au XV^e siècle, une fois le pays remis de la peste, les villes de l'Allemagne moyenne et méridionale connaissent un véritable essor industriel. Les progrès techniques qui se développent dans les mines du Harz, de Thuringe, de Bohême et de Hongrie permettent une augmentation de la production du cuivre, de l'étain, du zinc et de l'argent. Augsbourg et Nuremberg fabriquent le laiton, le bronze mais aussi des armes, des canons qui sont ensuite exportés dans toute l'Europe. Les toiles fabriquées dans les campagnes allemandes pour les marchands d'Augsbourg, de Constance, de Saint-Gall, de Ravensburg sont elles aussi exportées^[2].

Commerce[modifier | modifier le code]

Articles détaillés : Hanse, Route mer du nord et mer baltique et Ancienne route du sel.

Métallurgie[modifier | modifier le code]

Mines[modifier | modifier le code]

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Conséquences économiques de la Guerre de Trente Ans[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Guerre de Trente Ans.

La Guerre de Trente Ans (1618-1648) fut l'un des derniers conflits religieux majeurs en Europe et eût d'importantes conséquences en Allemagne tant aux niveaux démographique, social et économique que politique.

La Révolution industrielle en Allemagne[modifier | modifier le code]

Conséquences économiques du blocus continental[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Blocus continental.

Le « Zollverein »[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Zollverein.

Naissance et développement de l'industrie lourde[modifier | modifier le code]

L'Empire allemand (1871-1918)[modifier | modifier le code]

L'entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Les conséquences de la défaite[modifier | modifier le code]

À l’issue du traité de Versailles sanctionnant la fin de la Première Guerre mondiale, l'Empire allemand perd 1/7^e de son territoire : outre l’Alsace et la Lorraine déjà restituées à la France et Eupen et Malmédy rattachés à la Belgique, l’Allemagne perd à l’est la Posnanie et une partie de la Prusse-Orientale pour permettre la recréation de la Pologne ; La Haute-Silésie est partagée entre la Pologne et l’Allemagne. Le territoire allemand est coupé en deux par le « couloir de Dantzig », démilitarisé, voyant ses colonies confisquées, surveillé, condamné à de lourdes réparations est rendu seul responsable du conflit. Ces réparations, dont le montant n’est fixé qu’en 1921, s’élèvent à 132 milliards de marks-or, à verser en trente annuités (elle ne versera au total que 22,8 milliards de marks-or jusqu’en 1932).

La crise de 1929[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Grande Dépression.

L'économie du Troisième Reich[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Relations économiques entre l'Union soviétique et l'Allemagne nazie.

Économie de guerre[modifier | modifier le code]

Économie de la République Fédérale Allemande[modifier | modifier le code]

Économie de la République Démocratique Allemande[modifier | modifier le code]

Conséquences économiques de la réunification allemande[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

↑ Il est très difficile de connaitre les chiffres exacts de la mortalité. Les sources les plus fiables montrent qu'environ 8000 personnes sont mortes de la peste mais on ne connait pas le chiffre total de la population, peut-être entre 12 000 et 15 000 habitants
↑ ^{a et b} Pierre-Roger Gaussin, article Allemagne médiévale, Encyclopaedia Universalis, DVD 2007

Catégorie:Histoire économique de l'Allemagne

MATOS et DOCU[modifier | modifier le code]

Histoire des frontières[modifier | modifier le code]

Article principal : frontière.

« Si l’on en croit le calendrier historique des guerres, l’inventaire de leurs enjeux, la géographie de leurs espaces, la frontière qui sépare deux États est tout, sauf une ligne simple et immuable, bien au contraire »

— Jean-Pierre Bois

Principes de Droit[modifier | modifier le code]

De l'Antiquité à la naissance des « États-nations » modernes[modifier | modifier le code]

Les frontières au temps des Empires antiques[modifier | modifier le code]

Articles détaillés : Limes de Germanie, Mur d'Hadrien et Systèmes défensifs de l'Afrique romaine.

Article détaillé : Grande Muraille de Chine.

Naissance des États modernes[modifier | modifier le code]

« le temps de la féodalité ... une époque où le concept de frontière a disparu, ou tout au moins n’a pas encore retrouvé le contenu politique ou militaire très précis qu’il pouvait encore avoir à l’époque de la Paix romaine » (JP Bois)

Nouvelle carte de l'Europe et du monde après la Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Articles détaillés : Première Guerre mondiale, Traité de Versailles et Traité du Trianon.

Frontières de la France[modifier | modifier le code]

Frontières européennes[modifier | modifier le code]

Articles détaillés : Congrès de Vienne et Convention de Schengen.

Frontières de la Russie[modifier | modifier le code]

Frontières européennes[modifier | modifier le code]

Frontières du Caucase[modifier | modifier le code]

Frontière asiatique[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Traité de Nertchinsk.

En 1858, le traité d'Aigun (ratifié par le traité de Pékin en 1860) désignait l'Amour et l'Oussouri comme frontière entre la Chine et la Russie tsariste.

Partage du monde aux époques coloniales[modifier | modifier le code]

Articles détaillés : Traité de Tordesillas et Conférence de Berlin.

Frontières arctiques et antarctiques[modifier | modifier le code]

Conflits frontaliers[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Liste de territoires contestés.

Héritages historiques[modifier | modifier le code]

Leur tracé révèle de très anciennes fracture comme la frontière de l’empire romain sous Théodose qui coïncide avec la ligne de partage serbo-croate

Séquelles de la période coloniale[modifier | modifier le code]

L'Amérique latine après les guerres d'indépendance.

Articles détaillés : Guerres d'indépendance en Amérique du Sud et Historique des conflits latino-américains.

La plupart des conflits latino-américains des XIX^e siècle et XX^e siècle trouvent leurs origines profondes dans l'incertitude quant aux frontières et aux compétences des institutions coloniales espagnoles et dans l'absence d'occupation effective sur de vastes portions de territoires (problème juridique de l'« uti possidetis » (litt. « comme vous possédez ») qui peut-être « de jure » ou non (litt. « en droit ou de fait »)) de l'autorité espagnole.

Dans un premier temps, les patriotes sud-américains ( c'est moins vrai en ce qui concerne l'Amérique Centrale ), venus de différents « horizons » régionaux, s'étaient coalisés contre le colonisateur espagnol. Après son départ, ces coalitions ont éclaté pour faire place aux nationalismes régionaux, les alliés d'hier devenant parfois les adversaires du jour.

Afrique post-coloniale.

Cartographie des frontières[modifier | modifier le code]

A la suite de la signature du traité fixant les frontières entre le Chili et l'Argentine en 1881, ce fut la société cartographique Justus Perthes de Gotha qui fut chargée d'établir les cartes définitives de la partie méridionale du continent sud-américain (le Stielers Hand Atlas)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Histoire de la frontière sur le mont Blanc

Notions de droit[modifier | modifier le code]

Enclave

Conflits frontaliers[modifier | modifier le code]

Territoires contestés ou occupés - Conflits frontaliers

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Jean-Pierre Bois : [1]

Afrique[modifier | modifier le code]

UNESCO : Des frontières en Afrique du XIIème au XXème siècle Bamako 1999.
Union Africaine : Déclaration sur le programme frontière de l'Union Africaine et les modalités de sa mise en oeuvre - Conférence des Ministres africains chargés des questions de frontière, Addis-Abeba, 07 juin 2007.

Europe[modifier | modifier le code]

Christophe Brüll : Réparations, annexions ou rectifications ? Le problème de la frontière belgo-allemande après la Seconde Guerre mondiale, 1945-1949
(en) : Laura Cruz, Benjamin Kaplan, Marybeth Carlson : Boundaries and their Meanings in the History of the Netherlands, Brill, série Studies in Central European Histories, Leyde 2009 (ISBN 13-9789004176379^{[à vérifier : ISBN invalide]})