Utilisateur:WCL20 Roumanille cle/Brouillon

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On a enfin trouvé notre sujet qui est la mutation génétique animale.

C'est mon premier essai.[1]

Nous avons trouvé une source: le monde numéro 22568 du 4 aout 2017 page 7 article de Paul BENKHIMOUN "Un gène corrigé dans des embryons humains".

  1. « Cité scolaire Roumanille Barjavel », sur roumanille-barjavel.ent.auvergnerhonealpes.fr (consulté le )

voici nos sources ( certaines sont à vérifier )

http://www.genethique.org/fr/loi-de-bioethique-recherche-sur-lembryon-diagnostics-antenataux-avortement-les-invites-de-lombre https://solidarites-sante.gouv.fr/grands-dossiers/bioethique/ https://www.genetique-medicale.fr/la-genetique-medicale-un-savoir-faire-organise/les-textes-de-reference/article/encadrer-la-genetique-medicale-les-textes-de-reference https://www.lemonde.fr/planete/article/2000/02/14/les-enjeux-ethiques-de-la-genetique-par-axel-kahn_42656_3244.html https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Vu-dans-la-presse/10182-Ethique-des-recherches-en-genetique-inquietent-le-monde-scientifique

Nous allons travailler sur le sujet de la bioéthique sur Wikipédia ( nous retravaillerons la mise en page)

Aujourd'hui, nous avons commencé à refaire la mise en page et à réécrire le paragraphe "Vieillir et mourir".

La question de la bioéthique peut se poser sur l'acharnement thérapeutique (à partir de quel moment peut-on considérer que le traitement est trop lourd?) mais aussi sur l'euthanasie, l'aide médicale au suicide ou encore les LATA (limitations ou arrêt des thérapeutiques actives) en réanimation, où il y a de nombreuses controverses sur ce sujet. Effectivement, on peut aussi se demander si les soins palliatifs et le contrôle de la sénescence font partis de la bioéthique car ils font eux aussi polémiques.


Aujourd'hui, nous avons fait la mise en page et à réécrire le paragraphe "Expérimentation" et commencé la mise en page et la réécriture du paragraphe "Interventions sur les êtres et les milieux non humains".

Ces problématiques sur la bioéthique concernent aussi l'expérimentation à visée thérapeutique ou de recherche. Par exemple, on peut se demander quelles sont les personnes admises en expérimentation en France. Elle est interdite sur les personnes en état végétatif chronique, ainsi que sur les personnes en état de mort cérébrale, sauf, dans ce dernier cas, si la personne a fait don de son corps à la science. De plus, les embryons surnuméraires sont utilisés pour la recherche (voir en France la décision du Conseil constitutionnel du 27 juillet 1994 concernant la loi relative au respect du corps humain et la loi relative au don et à l'utilisation des éléments et produits du corps humain, à l'assistance médicale à la procréation et au diagnostic prénatal). Pour finir, l'utilisation des données de santé à caractère personnel sont des enjeux de société.

Nous pouvons nous poser d'autres questions sur l'expérimentation sur les animaux. Les droits des animaux et les utilisations diverses des animaux sont mises en place par l'homme. En effet, il existe des droits des animaux mettant des limites aux utilisations diverses des animaux par l'homme. La préservation des espèces fait parti des questions sur la biodiversité car des études récentes démontrent que la biodiversité des milieux aquatiques aide à la reconstitution plus rapide des stocks de poissons. Il y a aussi des incidences de la société industrielle sur la biosphère comme des nouveaux produits mutagènes et des organismes génétiquement modifiés. Des armes biologiques sont utilisé sur les animaux et les végétaux. Le clonage sur les plantes ou sur les animaux peut être pratiqué comme en Chine depuis plus d'un millénaire. Pour finir, la .Transgénèse est autorisée sur les êtres non humains.


Aujourd'hui, nous avons fini le paragraphe sur les interventions sur les êtres et les milieux non humains et le paragraphe sur les interventions sur le corps humain.

Les prélèvements d'organes, de tissus et la vente d'organe sont autorisés dans certains pays. Les législateurs ont dû définir comment la pénurie d'organes devait être gérée. En France, a été créé en 1992 un registre des refus, qui consigne tous les refus au don d'organe. Le don de cellules souches et le clonage thérapeutique sont également sujets à controverses. Il y a aussi des interventions sur le corps humain par rapport aux prothèses. La neurochirurgie est légale dans certains pays comme par exemple la Russie où est possible d'opérer même sur les mineurs le cerveau des personnes afin de limiter leurs comportements violents[1]. Pour finir, l'utilisation des psychotropes peut être autorisée.


Aujourd'hui je réécris le paragraphe "procréation humaine" et commence la réécriture du paragraphe "Droit européen"

Parmi les questions préoccupant les éthiciens pour leurs enjeux nouveaux dans ce domaine, de manière non exhaustive, on peut citer tout d’abord l’assistance médicale à la procréation qui a été l'un des premiers objets de réflexion de la bioéthique, pour son potentiel eugéniste (en France, le Comité consultatif national d'éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE) a été créé en 1983 après la première naissance par Fivete en 1982.), la contraception et l'avortement. On peut aussi citer le don et l'usage d'éléments et produits ou sous-produits du corps humain (don de gamètes ou d’embryons ; don de sperme, don d'ovules dans le champ de la reproduction), la privatisation de banques d'organes ou de greffons (de sang de cordon par exemple) et l'hypothèse d'une gestation de l’embryon humain par des espèces non humaines. De plus, le clonage humain (thérapeutique ou non) ainsi que le diagnostic prénatal ou préimplantatoire peuvent aussi faire problématiques dans la société. Ensuite, la connaissance de caractères génétiques, la thérapies géniques, l'eugénisme (stérilisation de handicapés mentaux et de personnes à risque génétique...) et le statut juridique de l'embryon et du fœtus (lié en droit français à la « dignité de la personne humaine ») font l’objet de questions auprès des éthiciens. Ils sont aussi préoccupés par la recherche sur l'embryon, l'utilisation d'embryons surnuméraires et les cellules-souches, la recherche sur les cellules-souches humaines (autorisée, en France, à titre exceptionnel, et uniquement à partir des embryons surnuméraires). Pour finir, les neurosciences, (dont les progrès permettent peu à peu de lire, voire de modifier l'activité du cerveau) et les nanobiotechnologies font aussi problématiques dans la société.


La convention d'Oviedo réunie les droits européens de l'homme. Le conseil « Directive 89/381/CEE du Conseil du 14 juin 1989 élargissant le champ d'application des directives 65/65/CEE et 75/319/CEE concernant le rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives relatives aux spécialités pharmaceutiques, et prévoyant des dispositions spéciales pour les médicaments dérivés du sang ou du plasma humains », Journal officiel no L 181 du 28 juin 1989 p. 44-46, qualifie le sang et le plasma humain de « matières premières » qui peuvent être donc donné. Les droits européens sont aussi limités par le parlement européen ( « Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du Conseil du 4 avril 2001 concernant le rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres relatives à l'application de bonnes pratiques cliniques dans la conduite d'essais cliniques de médicaments à usage humain »), sur

CEE « Directive 93/41/CEE du Conseil du 14 juin 1993 abrogeant la directive 87/22/CEE portant rapprochement des mesures nationales relatives à la mise sur le marché des médicaments de haute technologie, notamment ceux issus de la biotechnologie », Journal officiel no L 214 du 24 août 1993 p. 40 (version html [archive]).

  • Parlement européen et Conseil de l’UE « Directive 2004/23/CE du Parlement européen et du Conseil du 31 mars 2004 relative à l'établissement de normes de qualité et de sécurité pour le don, l'obtention, le contrôle, la transformation, la conservation, le stockage et la distribution des tissus et cellules humains » [archive], Journal officiel no L 102 du 7 avril 2004, p. 48-58 (version html [archive]) sur le don de gamètes et l'assistance médicale à la procréation (dont la transposition en droit français a été complétée par le décret (no 2008-588) du 19 juin 2008 ; permet l'implantation d'embryon sur tout le territoire de l'UE.

L'Europe fait plus reposer la bioéthique sur la recherche d'un sens incarné, indépendant de la situation actuelle (la personne n'est pas propriétaire de son corps).

  1. « Agressivité », dans Wikipédia, (lire en ligne)