Verlhac-Tescou

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Verlhac-Tescou
Verlhac-Tescou
Église Notre-Dame de l'Assomption.
Blason de Verlhac-Tescou
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes Quercy Vert-Aveyron
Maire
Mandat
Michel Regambert
2020-2026
Code postal 82230
Code commune 82192
Démographie
Gentilé Verlhacois, Verlhacoise
Population
municipale
552 hab. (2021 en augmentation de 6,77 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 55′ 49″ nord, 1° 32′ 20″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 220 m
Superficie 22,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montauban
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tarn-Tescou-Quercy vert
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Verlhac-Tescou
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Verlhac-Tescou
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Voir sur la carte topographique de Tarn-et-Garonne
Verlhac-Tescou
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Verlhac-Tescou

Verlhac-Tescou [vɛʁlak tɛsku] est une commune française située dans le sud-est du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays Montalbanais, correspondant à la partie méridionale du Quercy.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Tescou, le Tescounet, le ruisseau de Nadalou et par divers autres petits cours d'eau.

Verlhac-Tescou est une commune rurale qui compte 552 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montauban. Ses habitants sont appelés les Verlhacois ou Verlhacoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le sud du Quercy. Elle est située à 18 km au sud-est de Montauban et à 38 km au nord de Toulouse.

Verlhac-Tescou est limitrophe des départements du Tarn et de la Haute-Garonne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont La Salvetat-Belmontet, Le Born, Villemur-sur-Tarn, Beauvais-sur-Tescou, Montdurausse, Montgaillard, Saint-Urcisse, Saint-Nauphary et Varennes.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 2269 hectares, son altitude varie de 110 à 220 mètres.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Verlhac-Tescou.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Tescou, le Tescounet, le ruisseau de Nadalou, un bras du Tescounet, le ruisseau de Binagret, le ruisseau de Danisou, le ruisseau de la Barrabie, le ruisseau de la Bruguette, le ruisseau de Pébril, le ruisseau de Pouty, le ruisseau des cadèles, le ruisseau des Camparnals, le ruisseau des Tils, le ruisseau des Vergnes et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 28 km de longueur totale[3],[Carte 1].

Le Tescou, d'une longueur totale de 48,8 km, prend sa source dans la commune de Castelnau-de-Montmiral et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tarn à Montauban, après avoir traversé 13 communes[4].

Le Tescounet, d'une longueur totale de 21,7 km, prend sa source dans la commune de Salvagnac et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Tescou à Saint-Nauphary, après avoir traversé 8 communes[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 775 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Puycelsi », sur la commune de Puycelsi à 16 km à vol d'oiseau[8], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −11,7 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Verlhac-Tescou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[I 1],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montauban, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,4 %), zones agricoles hétérogènes (29,2 %), forêts (20,5 %), prairies (3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est accessible par l'A20 Sortie 63 (Albi-Gaillac) puis par la RD999 (ex-RN99).

La gare la plus proche de Verlhac-Tescou est la gare de Montauban-Villebourbon.

A noter qu'une ligne du réseau de bus TER Midi-Pyrénées, reliant Montauban à Albi (ligne 921), s'arrête à proximité de la commune (à Saint-Nauphary et à Beauvais-sur-Tescou).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Verlhac-Tescou est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Tescou et le Tescounet. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[21]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[22],[19].

Verlhac-Tescou est exposée au risque de feu de forêt. Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 4],[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Verlhac-Tescou.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 244 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 233 sont en aléa moyen ou fort, soit 95 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1995, 1998, 2003, 2010, 2011, 2012, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Origine du nom de Verlhac-Tescou[modifier | modifier le code]

Ver(g)iliacum. Peut-être du nom de personne gallo-romain Vergilius + suffixe d'appartenance -acum ; du nom du cours d'eau près duquel le village est établi. L'étymologie tasconium (terre argileuse)[28] est peu convaincante (tascos signifie « blaireau » en gaulois).

Le terme apparaît dans les textes au Xe siècle. Son alleu (fonds de terre, soit noble, soit roturier, exempt de tous les droits et devoirs féodaux) et son église située dans la vallée, près du Tescou, sont évoqués dans le testament de Raymond 1er, comte de Rouergue qui les lègue, à ce moment-là, à l’abbaye de Montauriol.

La bastide au XIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Une bastide fut fondée avant 1249 par Raymond VII comte de Toulouse. Cette bastide ne fut pas une simple juridiction, mais donna certainement naissance à un pôle d’habitat regroupé. Elle fut implantée à proximité d’un château seigneurial préexistant, en sommet de coteau, à un emplacement dominant la vallée du Tescou. Elle se trouvait à proximité de l’actuel lieu-dit le Château. Il n’en subsiste aucun vestige visible aujourd’hui sauf peut-être une partie des fossés[29].

Les coutumes de 1306[modifier | modifier le code]

Des coutumes furent octroyées en 1306 aux habitants de Verlhac par Hélie de Talleyrand, comte de Périgord. Dans les coutumes il est, entre autres, question de la taille des parcelles à bâtir ce qui laisse supposer que la bastide ne s’est pas limitée à une juridiction mais entraîna bien l’agglomération d’un habitat : « cascun hostal o casal que ara sies stadis de largessa et dozze de lonc ». Il y est question de la communauté, mais aussi des franchises économiques ou encore de la justice[29].

Refuge des derniers Cathares[modifier | modifier le code]

Peire Authié s'est réfugié en 1308 à Verlhac-Tescou[30] chez Pierre de Clairac et Bertrand Salès[31],[32], il échappa longtemps aux poursuites, mais fut dénoncé, arrêté par l'Inquisition et brûlé vif à Toulouse le .

Un fort villageois au XVIe siècle[modifier | modifier le code]

Très probablement au milieu du XVIe siècle, au moment des guerres de religion, un fort villageois a été fondé à Verlhac. Un fort villageois est une «fortification collective de faible superficie, d’abord destinée à être utilisée temporairement en cas de danger par les habitants». La bastide, dans laquelle il ne subsistait presque plus de maison, a été mise en défense pour créer le fort. Celui-ci est connu notamment grâce au compoix de 1582. Il y est question du « fort de Verlhac » et du « faubourg de Verlhac». Il y avait à cette date une soixantaine de maisons dans le fort et une cinquantaine dans le faubourg. Tous les tenanciers de maisons dans le fort possédaient aussi au moins une maison à l’extérieur du fort, dans le faubourg, dans un hameau ou isolée. Le fort villageois était fortifié. Il est question à de nombreuses reprises dans ce document de la «muralha du fort[29].

Le déplacement du village au XVIIe siècle[modifier | modifier le code]

Au début de l’époque moderne Verlhac a été marquée par le protestantisme. Il y aurait eu un temple dans le faubourg et les seigneurs du lieu, les du Bousquet, étaient protestants. Jacques du Bousquet est quant à lui victime de la répression anti-protestante en 1685. Son château est saisi et il est exilé en 1687. Le village disparaît donc très certainement du lieu-dit le Château au cours du XVIIe siècle et se déplace progressivement vers son emplacement actuel appelé dans le compoix de 1651 : «les Forests de Saint Barthélemy[29].

En 1811, le village est composé d’un petit regroupement d’habitats au lieu-dit Fourest et à côté duquel se trouve le presbytère. L’église et le cimetière sont relégués à l’écart, au sud du hameau. Vers 1820, une nouvelle église est édifiée à proximité du hameau, légèrement au sud de celui-ci, et l’ancienne est démolie. Le village se constitue réellement au cours de la seconde moitié du XIXe siècle et dans les premières décennies du XXe siècle. À cette période sont construits plusieurs ateliers et commerces, mais aussi des édifices publics. Parmi les ateliers et commerces, il est intéressant de signaler l’épicerie et l’atelier de charron, qui faisait aussi office de café un jour par semaine. Vers 1886, l’église est reconstruite et devant elle, au nord du parvis, est construit un bâtiment abritant la mairie et une école de garçons. L’installation de ces commerces et édifices publics donne naissance au village en tant que pôle administratif et économique de la commune. Ces maisons de village n’ont pas de fonction agricole. Leurs habitants sont alors artisans ou travaillent dans des fermes[29]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[33],[34].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la Première Circonscription de Tarn-et-Garonne, de la Communauté de Communes Quercy-Vert-Aveyron et du canton de Tarn-Tescou-Quercy-Vert. La commune fait aussi partie de l'Arrondissement de Montauban.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1805 Antoine Couderc    
1805 1812 Pierre Lala    
1812 1843 Jean Lala    
1843 1848 Antoine Marty    
1848 1855 Etienne Marty    
1855 1876 Jean-Pierre Prebosc    
1876 1884 Antoine Lala    
1884 1896 Raymond Edouard Segur    
1896 1897 Casimir Segur    
1897 1924 Pierre Talabot    
1924 1925 Antoine Mauquie    
1925 1943 Casimir Segur    
1943 1943 Lucien Alric    
1944 1947 Lucien Alric    
1947 1983 Fernand Vern    
mars 1983 En cours
(au 16 juillet 2014[35])
Michel Regambert    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

En 2021, la commune comptait 552 habitants[Note 5], en augmentation de 6,77 % par rapport à 2015 (Tarn-et-Garonne : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
620475538851953924891953951
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
948970935896901881864813785
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
763732654567570565518492478
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
421435406409411421416402470
2014 2019 2021 - - - - - -
519522552------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Verlhac-Tescou fait partie de l'Académie de Toulouse.

La commune possède une école maternelle, dans laquelle se rendent les élèves de La-Salvetat-Belmontet. L'école élémentaire se trouve donc dans cette même commune voisine.

L'éducation est assurée par le collège Olympe de Gouges de Montauban.

Culture et festivités[modifier | modifier le code]

Sur la commune, il existe un comité des fêtes, organisant notamment la fête annuelle du village, une association responsable du Centre des loisirs, une association pour la défense du patrimoine matériel et immatériel de la commune, un club des Ainés.

Sports[modifier | modifier le code]

La commune est prisée pour des randonnées, à pied ou à vélo.

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets ménagers et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la Communauté de Communes Quercy-Vert-Aveyron.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 205 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 521 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 990 [I 4] (20 140  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 4,4 % 9,1 % 9,6 %
Département[I 7] 8,4 % 10,2 % 10,3 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 312 personnes, parmi lesquelles on compte 78 % d'actifs (68,4 % ayant un emploi et 9,6 % de chômeurs) et 22 % d'inactifs[Note 7],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montauban, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 57 emplois en 2018, contre 55 en 2013 et 78 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 216, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,7 %[I 10].

Sur ces 216 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 44 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

25 établissements[Note 8] sont implantés à Verlhac-Tescou au [I 13]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 24 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 25 entreprises implantées à Verlhac-Tescou), contre 14,9 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole située dans le sud-est du département de Tarn-et-Garonne[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 55 34 32 27
SAU[Note 10] (ha) 1 311 1 277 1 270 1 251

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 55 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 34 en 2000 puis à 32 en 2010[42] et enfin à 27 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 51 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[43],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 311 ha en 1988 à 1 251 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 24 à 46 ha[42].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Association Hiaude[modifier | modifier le code]

L'association HIer AUjourd'hui DEmain à Verlhac, s'est donné pour but de : faire connaître, préserver et promouvoir le patrimoine bâti, naturel et culturel de la commune. Elle s'investit sur 3 projets principaux :

  • La restauration de l'église de La Vinouse
  • La sauvegarde et la mise en valeur des chemins ruraux
  • L'animation communale à l'occasion des journées du Patrimoine

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Barthélemy de Verlhac-Tescou. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[44]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[44].

Église de La Vinouse[modifier | modifier le code]

Église Notre-Dame-de-l'Assomption de la Vinouze - Anciennement Beata Maria Vinosa - (référence à la vigne, prépondante sur des terres argileuses et peu fertiles).

La paroisse de la Vinouse est mentionnée dès le XIIIe siècle[45]. Elle appartenait à la seigneurie du Bourguet à la fin du Moyen Âge et à l'époque moderne. Elle a été une annexe de Montdurausse au cours de l'époque moderne. L'église a été rattachée à la paroisse de Verlhac-Tescou au XVIIIe siècle. Il n'y a plus actuellement de service régulier à la Vinouze.

Cet édifice est une des rares églises du département, bâtie en terre massive et en adobe, et un très rare exemple régional et national encore conservé. D'après la bibliographie, l'église semble avoir été en partie reconstruite à la fin du XVIIe siècle[46]. L’église de la Vinouse a reçu en 2011 le label européen « Architecture européenne de terre remarquable » créé dans le cadre du projet «Terra Incognita», et grâce au soutien du Pays Midi-Quercy. Créée en 2013, l’association HIAUDE a entrepris et mené à bien la restauration complète de ce bâtiment avec l’aide de la municipalité, de la région Occitanie, du programme européen Leader avec l’appui du Pays Midi-Quercy.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Verlhac-Tescou Blason
De sinople à deux pals d'or, au chef du même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean de Viguerie, Un village en Quercy : Verlhac-Tescou (XIIIe-début XXe siècle), Verlhac-Tescou, Hier, aujourd'hui, demain à Verlhac-Tescou, 2017, 110 p. (ISBN 9782956031208).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Verlhac-Tescou » sur Géoportail (consulté le 1 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montauban » (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Verlhac-Tescou » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Verlhac-Tescou » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Verlhac-Tescou » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Verlhac-Tescou » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn-et-Garonne » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche communale de Verlhac-Tescou », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  4. Sandre, « le Tescou »
  5. Sandre, « le Tescounet »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Verlhac-Tescou et Puycelsi », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Puycelsi », sur la commune de Puycelsi - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Puycelsi », sur la commune de Puycelsi - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Verlhac-Tescou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Verlhac-Tescou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Verlhac-Tescou », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Verlhac-Tescou », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  23. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  24. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Verlhac-Tescou », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Les risques majeurs en Tarn-et-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur tarn-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  28. D’après G. Payne in Dictionnaire des paroisses du Diocèse de Montauban.
  29. a b c d et e COMET Anaïs, Inventaire du patrimoine de la commune de Verlhac-Tescou, réalisé dans le cadre de l’inventaire du patrimoine du pays Midi-Quercy, 2010
  30. Jean de Viguerie, Un village en Quercy, Verlhac-Tescou, Verlhac-Tescou, Ass HIAUDE, , 24-25 p. (ISBN 978-2-9560312-0-8), Verlhac, dernier refuge du catharisme persécuté.
  31. Bernard Gui, Le livre des sentences de l'inquisiteur Bernard Gui 1308-1323,, CNRS éditions, , Vol 1.
  32. Jean Duvernoy, Le catharisme, Toulouse, Privat, , 321-322 p., T2.
  33. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  34. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  35. Tableau des électeurs pour les élections sénatoriales, Préfecture de Tarn-et-Garonne, 16 juillet 2014, [lire en ligne], p. 14.
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  41. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  42. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Verlhac-Tescou - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  43. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de Tarn-et-Garonne » (consulté le ).
  44. a et b « Église paroissiale Saint-Barthélemy », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  45. Saisimentum comitatus Tholosani. Procès-verbaux de prise de possession du comté de Toulouse en 1271.
  46. Inventaire général du patrimoine culturel, Région Midi-Pyrénées