Auguste Girin
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Auguste Girin
| Naissance | |
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| Décès |
(à 32 ans) 3e arrondissement de Paris |
| Nationalité | |
| Activité |
François Auguste Girin, né le à Versailles[1] et mort le à Paris 3e[2], est un compositeur français.
Biographie[modifier | modifier le code]
On lui doit les musiques d'une soixantaine de chansons du milieu du XIXe siècle sur des paroles, entre autres, de Charles Blondelet, Eugène Baillet, Henri Blondeau, Adolphe Mayer ou Louis-Adolphe Turpin de Sansay, dont :
Références[modifier | modifier le code]
- Archives départementales des Yvelines, acte de naissance n° 101 dressé à Versailles le 22/02/1835, vue 34/148.
- Archives de Paris, acte de décès n° 303 dressé le 13/03/1835, vue 22/31.
- Auguste (18-1867) Compositeur Girin, « Ah ! si l'on écoutait les hommes ! : chansonnette / paroles d'Eugène Baillet ; musique d'Auguste Girin », sur Gallica, (consulté le ).
- Auguste (18-1867) Compositeur Girin, « L'Auvergnat patriote ou L'avocat de son pays : scène comique / paroles de Jules Choux ; musique de Auguste Girin ; chantée par Muller », sur Gallica, (consulté le ).
- Auguste (18-1867) Compositeur Girin, « L'Auvergnat beau danseur ou Le carnaval à St Flour : scène comique / paroles de Léon Quentin ; musique d'Auguste Girin », sur Gallica, (consulté le ).
