Bellegarde-en-Forez

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Bellegarde-en-Forez
Bellegarde-en-Forez
Le château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Montbrison
Intercommunalité Communauté de communes de Forez-Est
Maire
Mandat
Jacques Laffont
2020-2026
Code postal 42210
Code commune 42013
Démographie
Gentilé Bellegardois [1]
Population
municipale
1 991 hab. (2021 en augmentation de 0,61 % par rapport à 2015)
Densité 105 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 53″ nord, 4° 17′ 56″ est
Altitude Min. 361 m
Max. 606 m
Superficie 18,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Andrézieux-Bouthéon
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web mairie-bellegarde-en-forez

Bellegarde-en-Forez est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Comme son nom l'indique, Bellegarde se situe dans la plaine du Forez, aux portes des Monts du Lyonnais, sur la N89 entre Montrond-les-Bains à 5 km[2] et Chazelles-sur-Lyon à 8 km[3]. Saint-Étienne, la préfecture, est distante de 30 km [4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 743 mm, avec 9,1 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chazelles-Lyon », sur la commune de Chazelles-sur-Lyon à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 764,0 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bellegarde-en-Forez est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (29,9 %), forêts (29,9 %), terres arables (24,2 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), mines, décharges et chantiers (3,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Les indices concernant une ou plusieurs occupations pendant l’Antiquité sont aujourd’hui ténus. En 2006, des prospections effectuées par le Groupe de Recherches Archéologiques de la Loire (GRAL) en ont mis au jour du mobilier archéologique de l’époque gallo-romaine (fragments de tuiles et de céramiques diverses aux lieux-dits Les Vernes, La Vaure et Le Cerizet, sans toutefois pouvoir formellement identifier un habitat[17]. Entre 2013 et 2015, des fouilles archéologiques liées à l’agrandissement des Carrières de la Loire Delage ont exhumé une nécropole de l’Antiquité tardive ou du début du Moyen-Âge au lieu-dit Ruffy[18],[19]. 74 sépultures d’inhumation ont été identifiées, illustrant l’évolution des usages funéraires avec l’abandon progressif de la crémation au profit de l’inhumation. Cette évolution étant liée à l’implantation du christianisme en Gaule depuis le IVe siècle[20].

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

L’histoire de Bellegarde se confond assez largement avec l’histoire de son château et de ses seigneurs jusqu’à la Révolution française.

Le château et le village castral apparaissent dans les sources à partir du milieu du XIIIe siècle[21]. Ils sont précédés chronologiquement par le prieuré Notre-Dame-des Farges attesté dès 1153 dans l’actuel bourg de Bellegarde. Ce prieuré a été fondé probablement au Haut Moyen Âge par l’abbaye d’Ainay, l’une des trois grandes abbayes lyonnaises avec Savigny et l’Île-Barbe. La vignette de l’armorial de Guillaume Revel représentant Bellegarde au XVe siècle suggère que le prieuré semble avoir engendré un premier bourg qui s’est maintenu jusqu’à la fin du Moyen-Âge malgré l’attraction de l’habitat exercée par le château[21].

Bellegarde au XVe siècle.

Du XIIIe au début du XVIe siècle, Bellegarde est l’une des nombreuses châtellenies installées par les comtes de Forez pour contrôler leur territoire. Depuis 1173 et la conclusion d’une transaction appelée permutatio, les comtes de Forez ont renoncé à leurs prétentions sur la ville de Lyon et leurs possessions rhodaniennes en faveur de l’archevêque de Lyon. De fait, la châtellenie de Bellegarde revêt une importance stratégique puisqu’elle se trouve près de la frontière orientale du comté de Forez. Le comte y entretient des représentants de son autorité : un capitaine-châtelain et un prévôt.

Pendant la Guerre de Cent Ans, le comté de Forez est relativement éloigné des zones de conflit. Cependant, comme la plupart des provinces du royaume de France, le comté est victime de déprédations de la part de mercenaires désœuvrés pendant les périodes de paix ou de trêves : la capitale, Montbrison, est pillée et incendiée en 1359[22]. Des visiteurs sont nommés par le comte afin de vérifier l’état des fortifications ; celles de Bellegarde semblent être en mauvais état puisque des réparations sont attestées en 1384[22]. L’administration comtale est maintenue à Bellegarde jusqu’au début du XVIe siècle : les ducs de Bourbon, maîtres du Forez depuis 1417, conservent l’essentiel des structures administratives existantes.

Renaissance et époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1523, les possessions des ducs de Bourbon sont confisquées par François Ier suite à la félonie de Charles de Bourbon, préalable au rattachement définitif du comté de Forez au domaine royal en 1532[23]. René de Rougemont, seigneur de la Liègue (aujourd’hui sur la commune de Saint-Cyr-les-Vignes), achète la seigneurie de Bellegarde en 1521[24]. Ayant épousé Béatrix de Bron dont la maison tomba en quenouille, il hérita des biens de celle-ci sous la condition de relever le nom et les armes de Bron. C’est à la famille de Bron que l’on doit la construction du château actuel de Bellegarde dans la deuxième moitié du XVIe siècle. Il n’a pas remplacé l’ancien château médiéval, dont les vestiges subsistent au nord du castrum, mais a été construit en partie sud de l’emprise du village fortifié.

Le château conserve aujourd’hui plusieurs éléments de la Renaissance tardive : des fenêtres à meneaux, des encadrements de portes à l’antique garnis de frontons, de pilastres et de mascarons ; une série de niches dite « des douze Césars » puisqu’elle aurait abrité des bustes de Jules César et des onze premiers empereurs romains ; une cheminée monumentale datée de 1597 (inscrite MH en 1987[25]) commandée par Antoine de Bron. Le portail de la cour d’honneur portait (probablement jusqu’à la Révolution) les armes de Bron et de la Liègue : D'or à la fasce de gueules et un lion issant de sable en chef (de Bron) et D'or à la fasce ondée de sable (la Liègue).

Le château étant une propriété privée et faute d’études sur la période moderne après le XVIe siècle, il est difficile de déterminer si le château a connu des modifications au XVIIe et XVIIIe siècles. Des modifications ont pu avoir lieu au XVIIe siècle grâce au dernier seigneur de Bron : Claude-Charles de Bron (+1673), baron de Riverie (en Lyonnais), par son mariage avec Marthe d’Hostun perpétue des liens matrimoniaux avec de puissantes familles du Dauphiné : les Sassenage, les La Motte-Brion et les La Baume d’Hostun. Claude-Charles de Bron est mentionné dans le contrat de mariage entre Claudine de la Motte-Brion (sa nièce) et Charles-Louis-Alphonse de Sassenage (1624-1679), premier baron du Dauphiné et bâtisseur du château actuel de Sassenage dans les années 1660.

Le château passe de mains en mains jusqu’à la Révolution française (de Vinols et Ranvier). Difficile d’établir faute d’études approfondies si le château a subi des dommages pendant la Révolution : c’est probablement à cette période que les blasons du portail ont été martelés. Le dernier seigneur de Bellegarde, Jean-Marie Ranvier, a été exécuté avec son frère pendant la Terreur en 1794.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1953 Jean Poy    
1953 1989 Paul Bonnet PS  
1989 1995 Albert Sommier    
1995 2006 Henri Grange    
2006 2008 Jean Fayolle    
2008 En cours
(au 26 mai 2020)
Jacques Laffont [26]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVG Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 1 991 habitants[Note 3], en augmentation de 0,61 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0007217821 0941 1331 2291 1941 3061 345
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3991 4681 4571 4311 4531 6131 6381 5531 528
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5101 5011 4381 2361 1731 1811 0921 0841 028
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0471 0431 0811 2801 2831 4641 7571 7751 847
2015 2020 2021 - - - - - -
1 9791 9871 991------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Activités[modifier | modifier le code]

Sport[modifier | modifier le code]

  • Bellegarde Sports
  • Entente Plaine Montagne
  • Union Bouliste

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château des seigneurs de Bellegarde : il a été construit au milieu du XVIe siècle par la famille de Bron de la Liègue dans l'emprise de l'ancien village fortifié. Il a été modifié dans la deuxième moitié du XIXe siècle par la famille de Rivérieulx de Chambost. Ce château appartient à la famille de Sorbier de Pougnadoresse avec une continuité généalogique depuis 1680 et à la vente du château à Pierre de Vinols. Il est inscrit
  • Chapelle Saint-Pierre-de-Montmeyn
  • Porte Baudin (ou Bandin) : ancienne porte de l'enceinte médiévale du bourg.
  • Vestiges de l'enceinte médiévale, envahis par la végétation sur des parcelles privées.
  • Église Saint-Ennemond : l'église actuelle a été construite à la fin du XIXe siècle, en lieu et place de l'ancienne église du prieuré Notre-Dame-des-Farges. Le clocher de l'ancienne église semble avoir été préservé jusqu'en 1889 puis abattu définitivement[31]: il ne reste plus qu'un morceau de mur arasé. Plusieurs éléments provenant de l'ancienne église ont été préservés : l'une des cloches datée de 1604 (classée MH) portant la dédicace de ses commanditaires, Antoine de Bron et son épouse Jeanne de Sassenage[32]; et un chapiteau roman conservé à la Diana[33].
  • Porte de l'ancienne maison dite de Claude Javogues, inscrite MH en 1947[34].
  • Ancien moulin
  • Ancien viaduc ferroviaire

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Claude Javogues (1759-1796), député à la Convention, siégeant à la Montagne, y est né.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.habitants.fr/loire-42
  2. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Bellegarde-en-Forez et Montrond-les-Bains », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  3. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Bellegarde-en-Forez et Chazelles-sur-Lyon », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  4. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Bellegarde et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Bellegarde-en-Forez et Chazelles-sur-Lyon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Chazelles-Lyon », sur la commune de Chazelles-sur-Lyon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Chazelles-Lyon », sur la commune de Chazelles-sur-Lyon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Bellegarde en Forez » (consulté le )
  18. Simon Lemaître, « Bellegarde-en-Forez – Ruffy 1 », ADLFI. Archéologie de la France - Informations. une revue Gallia,‎ (ISSN 2114-0502, lire en ligne, consulté le )
  19. Stéphane Adam, « Bellegarde-en-Forez – Ruffy 2 », ADLFI. Archéologie de la France - Informations. une revue Gallia,‎ (ISSN 2114-0502, lire en ligne, consulté le )
  20. « Une nécropole exceptionnelle du début du Haut Moyen Age à Bellegarde-en-Forez | PATRIMOINE ET HISTOIRE DE CHAZELLES-SUR-LYON et alentours » (consulté le )
  21. a et b Franck Brechon et Pierre-Yves Laffont, « Bellegarde », dans L'Armorial de Guillaume Revel : Châteaux, villes et bourgs du forez au xve siècle, Alpara, coll. « DARA », , 206–212 p. (ISBN 978-2-916125-52-7, lire en ligne)
  22. a et b Christophe Mathevot, « Chapitre 3. La fortification en Forez au Moyen Âge et l’Armorial de Guillaume Revel », dans L'Armorial de Guillaume Revel : Châteaux, villes et bourgs du forez au xve siècle, Alpara, coll. « DARA », , 57–69 p. (ISBN 978-2-916125-52-7, lire en ligne)
  23. Philippe Hamon, « Charles de Bourbon, connétable de France (1490-1527) », dans Les conseillers de François Ier, Presses universitaires de Rennes, coll. « Histoire », , 95–97 p. (ISBN 978-2-7535-6794-8, lire en ligne)
  24. Antoine (1832-1910) Auteur du texte Vachez, Les vieux châteaux du Forez : Bellegarde et la Liègue : étude historique / par M. A. Vachez,..., (lire en ligne)
  25. « Château »
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Félix (1842-1914) Thiollier, Le Forez pittoresque et monumental : histoire et description du département de la Loire et de ses confins, Impr. A. Waltener et cie (Lyon), (lire en ligne)
  32. « Notice cloche »
  33. La Diana (Loire) Auteur du texte, « Bulletin de la Diana », sur Gallica, (consulté le )
  34. « Javogues »