Discussion:États généraux de 1302-1303
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postérité[modifier le code]
dans le dernier paragraphe, il est fait mention des analyses a posteriori de ces premiers États-Généraux; et l'on y menţionne Joseph-Alexandre Saint-Yves d'Alveydre, notemment qu'il y regrette l'absence, entre autre, des représentants des synagogues. Au vu du contexte, cette analyse, ou plutot cette opinion, n'a rien de pertinent, car c'est un regard de sa propre époque sur une toute autre époque, avec une concepţion différente.
La notion de citoyenneté telle que nous la comprenons depuis le XIIXe siècle n'existait pas du temps de Philippe le Bel. Les juifs formant alors une catégorie distincte de la population, elle n'était pas sous le même régime que les chrétiens, aussi ne furent ils pas impliqués dans les EG de 1302. Par ailleurs, ces États Généraux portant avant tout sur un désaccord au sein de l'Eglise (le Roi Très Chrétien d'une part, le pape d'autre part), on voit difficilement ce que les synagogues viendraient y faire. Je rappelle que l'œcuménisme et le dialogue interreligieux n'ont le vent en poupe que depuis la fin des années 1960. 2A01:E0A:984:A320:6D3D:C188:9A1E:226B (discuter) 15 janvier 2022 à 02:34 (CET)