Discussion:Champollion (paquebot)

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Inexactitude sur la cause de l'erreur initiale de navigation[modifier le code]

Le manuel de l'électromécanicien et du gardien de phare (1956) du Ministère de travaux publics -Ponts et chaussées - Service de Phares et Balises, indique en un paragraphe de sa page 59 (pages 57, 58 et 59 consacrées au strict respect de la vitesse de rotation d'un phare et donc du nombre d'éclats) :


"Le 21 décembre 1952, les officiers du paquebot français CHAMPOLLION ont perdu devant Beyrouth leur navire qui valait six milliards de francs et ont finalement laissé périr 15 hommes de l'équipage, parce qu'ils ont confondu un phare d'aviation qui donnait un éclat toutes les 4 secondes avec un phare maritime qui donnait un éclat toutes les 3 secondes" (la mise en gras est de mon fait)


En tant que "gardien de l'orthodoxie" des Phares et Balises, et, outré d'une impression de défiance des officiers, le manuel se gausse de leur attitude dans la suite du paragraphe :

"C'est qu'ils n'avaient pas confiance dans les gardiens de phares, pour "faire la seconde". S'ils avaient pu avoir cette confiance et s'ils avaient vérifié le rythme du phare au chronomètre à secondes, ils auraient évité la catastrophe."


Cela contredit totalement ce qui est indiqué dans l'article :

"le feu que l'équipage du Champollion avait vu n'était pas celui du phare de Beyrouth (Al Manara), mais celui de l’aéroport de Beyrouth, mis en route peu de temps auparavant sans avoir été signalé, et qui avait les mêmes caractéristiques que le phare de Beyrouth, c'est-à-dire le même nombre d'éclats," 31.34.11.71 (discuter) 14 juin 2023 à 15:13 (CEST)[répondre]