Discussion:Jacques Foccart

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Il semblerait que tous les spécialistes de la questions ne s'accordent pas, loin de là, pour récuser le terme de "réseau" en ce qui concerne Jacques Foccart. En ce qui concerne foccat pourquoi ne pas faire mention de son activité(comme couverture??) à l'organisation nazi toddt....Et aussi la mort curieuse d'un de ses interprète allemand dont certains(dont péan qui à enquêté) laissé sous entendre que c'est foccart qui l'avait exucuté???.

On peut citer de plus le cas du Biafra en 1967 ou d'autres, dans lesquels ce Monsieur Afrique de la république gaullienne, loin d'être un pacificateur, semble n'avoir fait qu'entretenir par mercenaires interposés, des conflits criminels.

C'est pourquoi en attendant de mettre en lumières les digervences des sources, je propose de poser un avis de non respect de neutralité sur cet article, qui sacrifie un peu trop au consensus journalistique, mais dont la valeur encyclopédique est encore douteuse.

Il y a certainement un "réseau Foccart", en tout cas il avait un pouvoir réel sur la politique française qui dépassait vraisemblablement de loin le cadre officiel de ses fonctions. Il faudrait donc mettre en lumière à quoi correspondait cette part d'ombre.

L'idée d'un émiettement des positions françaises en Afrique depuis sa disparition, elle aussi, est soumise à caution. Les relais sont certes devenus plus complexes, mais la présences française reste indéniable, du mitterandisme (Rwanda) à la Chiraquie, et encore aujourd'hui. De plus parler de "positions françaises" empêchent de voir de ce dont il s'agit (légales ou illégales, coopération internationale ou chasse gardée néocoloniale ?) de qui il s'agit (l'Etat, les entreprises privées, les partis, les hommes) et pour quels intérêts (économiques et financiers, stratégiques, idéologiques, humanitaires).

Laisser entendre que les luttes de clans sont la conséquence d'un retrait français en Afrique va contre toute vérité historique. Les deux phénomènes (conflits internes - présence française) sont profondément liés, et s'alimentent l'un, l'autre.

J'ajoute qu'il faut se méfier de toute doxa sur un tel dossier - je n'hésite pas à m'adresser moi-même cette mise en garde. Le lieu commun des relations françafricaines étant que les conflits en Afrique sont générés exclusivement par des problèmes ethniques.


Autant supprimer simplement le passage incriminé, puisque cette description : "un immense carnet d'adresse qui faisait remonter à lui, pays par pays, toutes les tendances", est justement une description de ce qu'est un réseau. Felipeh 10 janvier 2006 à 12:43 (CET)[répondre]
Je crois que par "lutte de clans", il faut comprendre non pas "luttes entre ethnies" mais plutôt "rivalité entre réseaux". L'expression "émiettement" est à relativiser, mais il est vrai que l'influence française est plutôt sur la pente décendante. Ce passage est à clarifier et à développer. Felipeh 10 janvier 2006 à 13:23 (CET)[répondre]
En effet il fallait bien comprendre "rivalité...", ce qui m'avait échapper à la première lecture. J'ai essayé de clarifier l'article. Mais de nombreuses données manquent encore. L'organisatio quant à elle n'est pas entièrement satisfaisante.

En ce qui concerne l'affaire du Biafra, elle est caractéristique d'une constante de l'action de Jacques Foccart en Afrique : il suivait le président Ivoirien Félix Houphouët-Boigny plus que celui ne le suivait. C'est Houphouët qui le convainc de soutenir la rébellion des chrétiens du Sud du Nigéria : il est temps de rendre aujourd'hui aux Africains ce qui leur revient : certains chefs d'Etats, au premier rang desquels Houphouët, ont conçu et mené des actions politiques en Afrique et la France les a suivis et soutenus, cela s'est produit beaucoup plus souvent que l'on croit. On oublie trop souvent que les indépendances ont été bien réelles, même si l'imbrication des intérêts de tous ordres est restée très forte.

Panneau publicitaire[modifier le code]

Que fait cette espèce de panneau publicitaire pour les élucubrations de Survie et Cie ? N'y a-t-il pas déjà suffisamment de choses à dire sur Jacques Foccart (cf. la volumineuse bibliographie) sans rajouter les délires de feu Verschaves ? Lucrèce 14 juin 2006 à 18:30 (CEST)[répondre]

un peu plus sur le SAC[modifier le code]

C'est bien court sur le SAC dont on sait de quelle façon abominable son existence s'est terminée, et après quels errements !. ça en dit long sur ses fondateurs... Que l'on songe à l'affaire Robert Boulin...