Discussion:Pierre Victurnien Vergniaud

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Avec les Grondins[modifier le code]

"le 10 août 1791, en remplacement de Merlet, il accueille le roi et sa famille venus chercher refuge auprès des députés."

Le dix-aout 1792, très certainement.

Neutralité[modifier le code]

Certains passages n'ont clairement pas l'air neutre, plutôt romancés, très en "faveur" de Vergniaud ... L'un des extraits:

"Auparavant, comme nous l'avons évoqué, il dicta un long réquisitoire et une attaque personnelle contre Vergniaud qu'il lut à la tribune. Le lendemain, Vergniaud lui répondit avec une aisance et une grandeur d'âme qui lui offrirent la victoire. Paris et les sections avaient vaincu Vergniaud et les Girondins, mais jamais Robespierre, ni les autres Montagnards ne surent vaincre Vergniaud à la tribune. Cette rancœur, nous la retrouvons durant l'automne et l'hiver 1792 mais également dans les premiers mois de 1793. Elle explicite une fois encore que Vergniaud et les Girondins ne surent pas profiter de leur avantage, et refusant de s'adresser au peuple, dans les sections, aux Jacobins, ils devaient périr par lui. Robespierre avait vaincu."

Il est déjà précisé "réf. nécessaire" mais il serait bien aussi d'ajouter, si ça semble nécessaire à quelqu'un, "non-neutre" ...

Effectivement, l'article semble avoir été entièrement rédigé par un fan ignorant les règles élémentaires de "sourçage". --Guise (discuter) 1 mars 2017 à 13:22 (CET)[répondre]
Sans parler du style : Danton était la voix du peuple, Mirabeau celui de la foudre et Vergniaud de l'âme. Zythème Paroles dégelées 4 septembre 2022 à 15:30 (CEST)[répondre]