Discussion:Violence politique
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Compléter une référence[modifier le code]
Je complète une référence [1]. Romanc19s (discuter) 17 janvier 2021 à 12:16 (CET)
Transfert des exemples[modifier le code]
Je transèfere les 2 exemples ici car il est bizarre d'avoir ces 2 exemples placés lu'n à côté de l'autre. MrButler (discuter) 23 octobre 2016 à 13:21 (CEST)
Des concepts variés ont été présentés ou étudiés par les chercheurs en tant que forme de violence politique.
- Le terrorisme est étudié dans « le spectre de la violence politique » par les chercheurs parce qu'il n'y a « aucun consensus concernant les actes méritant l’étiquette ‘terrorisme’, car toujours sujet à discussion. [Cela constitue un problème] car sans donner une définition acceptable et cohérente pour tous de l’acte terroriste, il est impossible de condamner un État, un mouvement, etc. »[1]. « (...) Il est nécessaire de faire une différenciation entre les diverses conditions de la violence et de distinguer les divers modes de conflits, quelle que soit la façon dont on les nomme, [pour] améliorer [la] compréhension de leurs origines, les facteurs qui les affectent et apprendre à y faire face »[1].
- La grève de la faim « consiste à faire souffrir son corps en imputant cette violence au pouvoir d'en face [et] retourner contre ce dernier ce qu'il a pratiqué ou est susceptible de pratiquer (...). » « Le corps [devient] un support du marquage politique (...) pour des acteurs ayant un accès limité aux autres formes de protestations. » Pour lutter contre ce phénomène, des « pratiques de gavage de force [ont d'ailleurs] longtemps existé à l'encontre des grévistes de la faim. »[2]
Références[modifier le code]
- Tanguy Struye de Swielande, Le terrorisme dans le spectre de la violence politique, Les Cahiers du RMES, juillet 2004.
- Philippe Braud, La violence politique dans les démocraties européennes occidentales, Cultures & Conflits, n°9, p.328.