Frédéric-Guillaume de Palatinat-Neubourg
Frédéric Guillaume de Palatinat-Neubourg
| Chanoine Cathédrale Saint-Paul | |
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| à partir de | |
| Coadjuteur Cathédrale Notre-Dame de Constance Prévôt | |
| à partir de |
| Naissance | |
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| Décès | |
| Nom dans la langue maternelle |
Friedrich Wilhelm von Pfalz-Neuburg |
| Formation | |
| Activité |
Militaire |
| Famille | |
| Père | |
| Mère | |
| Fratrie |
Éléonore de Neubourg Jean-Guillaume de Neubourg-Wittelsbach Wolfgang-Georges-François du Palatinat-Neubourg Louis-Antoine du Palatinat-Neubourg Charles III Philippe du Palatinat Alexandre Sigismond de Palatinat-Neubourg François-Louis de Palatinat-Neubourg Marie-Sophie de Neubourg Marie-Anne de Neubourg Philippe-Guillaume-Auguste de Palatinat-Neubourg Dorothée-Sophie de Neubourg Elisabeth Sobieski Léopoldine-Éléonore de Palatinat |
| A travaillé pour |
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Frédéric Guillaume de Palatinat-Neubourg ( – ), est comte palatin de Neubourg et général impérial.
La vie[modifier | modifier le code]
Né à Düsseldorf, il est le dixième enfant, mais le septième fils de Philippe-Guillaume de Neubourg et Élisabeth-Amélie de Hesse-Darmstadt.
D'abord destiné à l'Église, en 1677, il est nommé Coadjuteur et en 1685 chanoine à Constance[1]. Il étudie à l'Université de Heidelberg, où il est recteur en 1685.
Plus tard, Frédéric Guillaume abandonne l'église et entre dans l'armée impériale, où il obtient le grade de général. Il tombe pendant la Guerre de la Ligue d'Augsbourg lors du siège de Mayence (1689), où, lors d'une visite dans les tranchées, il est tué d'un coup d'arquebuse à la tête[2]. Il est enterré dans l'Église Saint-André, Düsseldorf.
Ascendance[modifier | modifier le code]
Ascendance de Frédéric-Guillaume de Palatinat-Neubourg
Notes[modifier | modifier le code]
- Michael Masson, Das Königshaus Bayern: genealogisch bearbeitet und mit historisch-biographischen Notizen erläutert, Verl. des Hrsg., 1854, p. 139
- Johann Heinrich Hennes, Mourir Belagerung von Mayence im Jahr 1689, Éditions Victor von Zabern, 1864, p. 29
Références[modifier | modifier le code]
- Gustav Prümm, Ein Gewinn eriksson ganze Leben, des Livres à la Demande, 2009, p. 120
- Johann Samuel Ersch, Allgemeine Encyclopädie der Wissenschaften und Künste, J. f. Gleditsch, 1847, p. 23 en ligne
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
