Garancières

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Garancières
Garancières
La mairie.
Blason de Garancières
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité CC Cœur d'Yvelines
Code postal 78890
Code commune 78265
Démographie
Gentilé Garanciérois
Population
municipale
2 512 hab. (2021 en augmentation de 6,71 % par rapport à 2015)
Densité 235 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 18″ nord, 1° 45′ 31″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 188 m
Superficie 10,69 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Garancières-La Queue-les-Yvelines
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives 10e circonscription des Yvelines
Localisation
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Garancières
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Garancières
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Garancières
Liens
Site web https://mairie-garancieres78.fr/

Garancières est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Garancières est située dans la plaine de Montfort-l'Amaury à 32 km à l'Ouest de Versailles et à 26 km de Rambouillet.

Elle fait partie de l'aire d'attraction de Paris, de l'Unité urbaine de Garancières-La Queue-les-Yvelines, de la zone d'emploi de Versailles-Saint-Quentin et du bassin de vie de la Queue-les-Yvelines[I 1]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Autouillet, Béhoust, Boissy-sans-Avoir, Flexanville, Millemont, La Queue-les-Yvelines et Villiers-le-Mahieu.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 10,69 km2 ; son altitude varie de 87 à 188 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.
Le ru de Millemont.
Le ru de Millemont.

Le territoire communal est traversé d'ouest en est par le "ru de Millemont" et le "ru des Fontaines" provenant de La Queue-les-Yvelines au Sud. Ces deux rus se jettent dans le ""ru de Garancières" qui s'écoule vers Boissy-sans-Avoir.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 642 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Léger-en-Yvelines à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 706,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Garancières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Garancières-La Queue-les-Yvelines, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[11] et 4 786 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 15,0 % 156
Espaces verts urbains 1,5 % 16
Terres arables hors périmètres d'irrigation 65,1 % 676
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 9,8 % 102
Surfaces essentiellement agricoles
interrompues par des espaces naturels importants
2,5 % 26
Forêts de feuillus 6,1 % 63
Source : Corine Land Cover[16]

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • Haute Perruche, le Breuil, la Vieuvigne.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 1 194, alors qu'il était de 1 128 en 2015 et de 1 014 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 87,8 % étaient des résidences principales, 7,3 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 81,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 8,6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Garancières en 2020 en comparaison avec celle des Yvelines et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,3 %) supérieure à celle du département (2,6 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Garancières en 2020.
Typologie Garancières[I 3] Yvelines[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 87,8 91 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,3 2,6 9,7
Logements vacants (en %) 4,9 6,4 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la route départementale 42 qui mène, vers l'Est, à Boissy-sans-Avoir et Neauphle-le-Vieux et, vers l'Ouest, à Béhoust et, au-delà, à Septeuil. La route départementale 155 est la rue Louis-Siou ou route de la Gare qui mène à La Queue-les-Yvelines. La route départementale 197 qui commence à proximité de la gare, traverse le Sud du territoire communal pour mener, vers le Sud-Ouest, à Millemont et à la route nationale 12.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La gare.

La ligne de Saint-Cyr à Surdon traverse le territoire communal. La commune possède une gare ferroviaire sur cette ligne, partagée avec la commune de La Queue-les-Yvelines : Garancières-La Queue. Elle se situe sur la ligne N du Transilien, sur la branche Paris Montparnasse-Dreux.

La commune est également desservie par les lignes du réseau de bus Centre et Sud Yvelines :

  • 2 : Dammartin-en-Serve - Mairie ↔ Monfort l'Amaury - Collège Maurice Ravel (ligne scolaire),
  • 22 : Boissy-Sans-Avoir - Mairie ↔ Monfort l'Amaury - Collège Maurice Ravel,
  • Express 67 : Montigny-le-Bretonneux - Gare Routière Paul Delouvrier ↔ Houdan - Zac la Prévôté.
  • TAD : Transport à la demande sur le territoire de Monfort l'Amaury & Houdan.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Waranceræ en 774[17] et 794[18], Warenceras[19] avant 829[18] et Warenceriae au IXe siècle[20], Garanceriæ en 1205[17], Garencerie en 1250[21], Garantiere en 1411 [22], Garrentieres en 1467 [23], Garantiere en 1494 [24], Garentieres en 1611 [23], Garancieres et Garantières en 1613[25], Garentiere en 1668[26], Garenciere en 1707[27], Garencière en 1738[28], Garantière en 1753[27], Garancière en 1768[29], Garencière en 1784[29].

Garancières, mot d'origine germanique Warenceras au IXe siècle, est un champ de garance, plante tinctoriale[19].
Charles Estienne, cite « Garancières près Montfort comme couvert de garance indigène et d’autres lieux de culture en Drouais, Évrecin et Beauce »[30].

Micro-toponymie[modifier | modifier le code]

Entre Garancières et Millemont, près du château du Moulinet[31], il y avait une rue (chemin) des Juifs. M. Walter Eytan, ancien ambassadeur d'Israël en France de 1959 à 1970, fait état d'une rue de la Synagogue, en bordure de forêt.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Des habitats antiques ont été identifiés sur le territoire de la commune de Garancières, s'échelonnant du Ier siècle av. J.-C. au IIe siècle après J.-C., en particulier une villa gallo-romaine au lieu-dit la Mare à Jourdin[32].

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

C'est au IXe siècle, à l'époque carolingienne, qu’apparaît la première trace écrite de l'existence du village. Vers 825, Warenceras fait partie de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés au même titre que Flexanville, Orgerus et d'autres villages des environs.

Après les troubles provoqués par les invasions des Normands, à la fin du IXe siècle, Garancières est intégrée au comté de Montfort et les seigneurs de Garancières sont les vassaux des comtes de Montfort. Le village fait alors partie des marches du royaume de France. Pendant les XIIe siècle et XIIIe siècle, Garancières connait un nouvel essor. Cette période est marquée par des défrichements et la création du village de Béhoust.

Nous avons les seigneurs en 1205 Ricardus de Garenceriae[33], et au XIIe siècle Dominus de Garanceriis homo ligus Ansoldus de Garancerus Johemus de Garanceriis[33]

Période Moderne[modifier | modifier le code]

À la fin du XVe siècle, le mariages d'Anne de Bretagne comtesse de Montfort rattachent définitivement la seigneurie de Garancières à la couronne de France.

Le XVIIe siècle est marqué par les aléas climatiques. Le refroidissement du climat, les inondations de 1650 et les épidémies causent une diminution de la population villageoise.

Finalement, au XVIIIe siècle, Garancières renoue avec la prospérité. Un réchauffement du climat et de meilleures récoltes permettent à la population de croître à nouveau. À l'époque le village est essentiellement agricole dont les cultures principales sont les vignes et les céréales. L'élevage est alors très peu pratiqué dans la commune. Durant cette période la qualité de vie ainsi que l'éducation s'améliorent dans l'ensemble du village. À titre d'exemple, 75 % de la population masculine sait lire en 1650.

Les troubles révolutionnaires affectent assez peu Garancières qui devient chef de canton en 1791. Elle perd ensuite ce titre très rapidement.

Le XIXe siècle est une période faste pour la commune due essentiellement à l'explosion de l'activité vinicole. En effet, le phylloxéra causant la quasi-disparition des vignobles du Midi, favorise ceux d’Ile-de-France. Quelques années plus tard, ce parasite touchera tout aussi durement la région qui perdit ses vignes en une dizaine d'années.

L'activité vinicole n'a jamais repris depuis lors. La monoculture céréalière s'est imposée depuis, accentuée par la modernisation et notamment la mécanisation de l'agriculture. Le paysage en est resté durablement marqué.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[34], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet[I 1] après un transfert administratif effectif au .

Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton de Garancières de 1793 à 1801, Elle faisait depuis lors partie du canton de Montfort-l'Amaury de Seine-et-Oise puis des Yvelines[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton d'Aubergenville[I 1]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription des Yvelines.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, Garancières, demeurée jusqu'alors isolée, intègre le , la communauté de communes Cœur d'Yvelines[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2004 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[35]
Période Identité Étiquette Qualité
1944 mars 1959 Marcel Erhard (1897-1963) DVD Gérant de graineterie
Conseiller général de Montfort-l'Amaury (1949 → 1964)
mars 1959 1979 Yves Benoist[36] (1917-2012)   Exploitant agricole
1979 mars 1989 Pierre Poulayer (1937-2014)    
mars 1989 mai 2024[37] Christian Lorinquer DVD Instituteur
Démissionnaire

Jumelages[modifier | modifier le code]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune possède[38] :

Équipements sportifs[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un stade (terrain de football). Elle est également dotée d'un terrain de roller, un City stade, un skate Park et une balançoire, située au domaine de la Boissière

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].

En 2021, la commune comptait 2 512 habitants[Note 3], en augmentation de 6,71 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
798866821806880848823824823
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
774780791795750749741815905
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
865904907857854796803917930
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9021 0251 1931 3921 9232 2422 3312 3952 342
2021 - - - - - - - -
2 512--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,4 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 184 hommes pour 1 203 femmes, soit un taux de 50,40 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,8 
6,1 
75-89 ans
7,3 
18,8 
60-74 ans
17,4 
25,9 
45-59 ans
26,9 
15,8 
30-44 ans
16,5 
16,9 
15-29 ans
16,0 
16,2 
0-14 ans
15,1 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]


Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Le général Claude-François de Malet (1754-1812), auteur d'une tentative de coup d'État contre Napoléon, fut propriétaire du château du Breuil.
  • Alice Staudenmann, a reçu le titre de Juste parmi les nations par le Comité pour Yad Vashem, dont les noms figurent sur le Mur d'honneur du Jardin des Justes à Jérusalem, mais également à Paris, dans l'allée des Justes, près du mémorial de la Shoah, rue Geoffroy-l'Asnier[47].
  • La chanteuse Sheila a habité Garancières jusqu'en 2017.
  • Le groupe Cupofty vient de Garancières.
  • Le journaliste Michel Lancelot est enterré à Garancières.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Garancières Blason
D'azur à la tour d'or chargée d'une quintefeuille de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Garancières », p. 576–578

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Commune de Garancières (78265) - commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2024), sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Garancières - Section LOG T1 » (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Garancières - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans le Yvelines - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Garancières et Saint-Léger-en-Yvelines », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Leger_sapc » (commune de Saint-Léger-en-Yvelines) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Garancières-La Queue-les-Yvelines », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  17. a et b Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  18. a et b Dans le Polyptyque d’Irminon.
  19. a et b – MULON (Marianne) Noms de lieux d’Île-de-France (1997), p. 167.
  20. Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France: essai de toponymie - Page 225.
  21. Pouillé chartrain.
  22. A.N. T155/10, 1ère liasse.
  23. a et b A.N. T155/14.
  24. A.N. T*155/12.
  25. A.N. T155/11.
  26. A.N. T155/3.
  27. a et b A.N. T155/1.
  28. A.N. étude 8/1033.
  29. a et b A.N. T155/10, 2ème liasse.
  30. Charles Estienne, maison rustique, vol. II, t. 67, .
  31. « Parc du château du Moulinet », notice no IA78000806, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. BARAT (Y.) DUFAŸ (B.) RENAULT (I.) Cartes Archéologique de la Gaule : Les Yvelines (2007), p. 179.
  33. a et b FRERE (Stéphane) Caractérisation d’un terroir villageois au Moyen Âge et à l’époque moderne : Garancières et étude de cas : le domaine de Fresnay. D’après le mémoire de maîtrise (Université Paris I) -1993/1994. En ligne.
  34. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  35. « Les maires de Garancières », sur https://www.francegenweb.org (consulté le ).
  36. [PDF] Hommage, La Gazette de Garancières n°10, 2012.
  37. Mehdi Gherdane, « Yvelines : encore un maire qui démissionne », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ancien enseignant, Christian Lorinquer était élu depuis 1989 [...] l'ex-maire avait essuyé plusieurs démissions dans sa majorité. Il était également confronté aux critiques d'associations de défense de l'environnement ».
  38. Site officiel de l'inspection académique des Yvelines.
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Garancières (78265) », (consulté le ).
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  44. « Église », notice no PA00087441, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Jardin de la ferme de Fresnay », notice no IA78000804, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. Notice no Parc du château du Breuil, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. Alice Staudenmann, dirige "L’Enfant au Grand Air", un home d'enfants de l'Entraide temporaire, à Garancières. Sur les quarante enfants de l'établissement, 10 étaient juifs. Ils avaient été convoyés par Hélène Berr et sa sœur Denise Berr. Elle cacha leurs papiers et garda le secret. Pour se venger d'une punition, un jeune pensionnaire délinquant dénonça Alice Staudenmann. Un officier de la Gestapo vint enquêter et perquisitionner. Alice Staudenmann nia fermement abriter des enfants juifs. Les membres du personnel, qui n'étaient pas au courant, renchérirent et couvrirent de louanges leur directrice. Par mesure de sécurité, craignant une nouvelle perquisition, la directrice décida de transférer les enfants juifs dans un autre refuge