Métropole de Théra, Amorgos et des îles
| Métropole de Théra, Amorgos et des îles | |
,_Fira_--_2017_--_2620.jpg) L'église métropolitaine de l'Hypapante à Firá. | |
| Informations générales | |
|---|---|
| Pays |  Grèce
|
| Église | Église de Grèce |
| Rite liturgique | byzantin |
| Type de juridiction | Métropole (en) |
| Siège | Firá, Égée-Méridionale |
| Titulaire actuel | Amfilóchios (el) |
| Langue(s) liturgique(s) | Koinè des Évangiles |
| Calendrier | Calendrier julien révisé |
| Statistiques | |
| Paroisses | 33 |
| Territoire | Sud-est des Cyclades |
| Site web | https://imthiras.gr/ |
modifier  |
|
La Métropole de Théra, Amorgós et des îles (en grec byzantin : Ιερά Μητρόπολις Θήρας, Αμοργού και Νήσων) est un évêché de l'Église orthodoxe de Grèce. Son siège est à Fira, la capitale de l'île de Théra ou Santorin. Elle étend son ressort sur neuf îles habitées situées au sud et au sud-est de l'archipel des Cyclades et sur les îlots inhabités avoisinants. Elle compte 33 paroisses.
La cathédrale[modifier | modifier le code]
- C'est l'église de l'Hypapante du Sauveur à Thira (Fira).
Métropolites[modifier | modifier le code]
- Pantéléïmon (né Christos Rizos à Pyrgo de Tinos en 1925) d'une date inconnue à 2003.
- Epifánios (el) (né Artémis à Vroútsis d'Amorgós en 1934) de 2003 à 2021.
- Amfilóchios (el) (né Panagiótis Roussákis à Athènes en 1970).
L'histoire[modifier | modifier le code]
Théra fut le siège d'un évêché de l'Empire romain d'Orient, avec un premier évêque connu au IVe siècle (« évêché d'Amorgós, Ios, Sikinos, Sante-Irène, Anafi et Stampalie » de l'église de Constantinople[1]) ; il resta durant la période ottomane dans l'obédience du patriarcat œcuménique de Constantinople, puis passa en 1831 dans celle de l'église de Grèce.
Le territoire[modifier | modifier le code]
Doyenné de Théra[modifier | modifier le code]
- Île de Théra (Santorin, 17 paroisses)
- Île d'Ios (2 paroisses)
- Île d'Anafi (1 paroisse)
- Île de Thérassia (2 paroisses)
Doyenné d'Amorgós[modifier | modifier le code]
- Île d'Amorgós (7 paroisses)
- Île de Koufonissia (1 paroisse)
- Île d'Iraklia (1 paroisse)
- Île de Skinoussa (1 paroisse)
- Île de Donoussa (1 paroisse)
Les monastères[modifier | modifier le code]
Monastères d'hommes[modifier | modifier le code]
- Monastère du Prophète Élie à Pýrgos Kallístis, fondé en 1700.
- Monastère Panagía Chozoviótissa à Amorgós, fondé en 1088.
Monastères de femmes[modifier | modifier le code]
- Monastère Saint-Nicolas à Himéroviglion de Théra, fondé en 1820.
Les solennités locales[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Jean Darrouzès, Notitiae episcopatuum Ecclesiae Constantinopolitanae : critique de texte, introduction et notes, Peeters Publishers, (ISBN 9789042931183, lire en ligne)
Voir aussi[modifier | modifier le code]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Diptyques de l'Église de Grèce, éditions Diaconie apostolique, Athènes (édition annuelle).
Lien externe[modifier | modifier le code]
