Phare de Kélibia

Localisation
Coordonnées	36° 50′ 12″ N, 11° 07′ 00″ E
Baigné par	Mer Méditerranée
Localisation	Kélibia; Tunisie
Aire protégée	Oui
Construction	1888
Hauteur	18 m
Hauteur focale	82 m
Portée	23 NM
Feux	Fl(4) W 20s
ARLHS	TUN001
Amirauté	E6390
NGA	113-21980

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Le phare de Kélibia est un phare situé sur le fort de la ville de Kélibia (dépendant du gouvernorat de Nabeul en Tunisie).

Les phares de Tunisie sont sous l'autorité du Service des phares et balises de la République tunisienne (SPHB)^[1].

Description[modifier | modifier le code]

Le fort de Kélibia est une ancienne citadelle du XVI^e siècle qui est désormais un monument classé. Le phare est construit par les services tunisiens des Travaux publics et mis en service en juin 1888^[2].

Ce phare est une construction carrée, surmontée d'une lanterne, sur le bastion est de la forteresse. La construction est blanche et la lanterne est noire. À 82 mètres au-dessus du niveau de la mer, ce phare émet quatre éclats blancs toutes les vingt secondes, d'une portée maximale de 43 kilomètres.

Identifiant : ARLHS : TUN001 - Amirauté : E6390 - NGA : 21980.

Fort de Kélibia.

Vue de la lanterne.

Notes et références[modifier | modifier le code]

↑ « Services des phares et balises », sur sphb.defense.tn (consulté le 12 septembre 2017)
↑ Jean-Christophe Fichou, « La signalisation maritime en Tunisie (1881-1920) ou les phares de la présence coloniale », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, n^o 128,‎ décembre 2010 (ISSN 0997-1327, DOI 10.4000/remmm.6982, lire en ligne, consulté le 17 mars 2023).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Phare de Kélibia, sur Wikimedia Commons

Lien connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

(en) « Kelibia Light », sur lighthousedigest.com (consulté le 8 septembre 2017).
(en) « Lighthouses of Tunisia », sur unc.edu (consulté le 8 septembre 2017).
(en) « Tunisia », sur wlol.arlhs.com (consulté le 8 septembre 2017).
(en) « Tunesien », sur listoflights.org (consulté le 8 septembre 2017).

[1] « Services des phares et balises », sur sphb.defense.tn (consulté le 12 septembre 2017)

[2] Jean-Christophe Fichou, « La signalisation maritime en Tunisie (1881-1920) ou les phares de la présence coloniale », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, n^o 128,‎ décembre 2010 (ISSN 0997-1327, DOI 10.4000/remmm.6982, lire en ligne, consulté le 17 mars 2023).

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