Angaïs

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Angaïs
Angaïs
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Nay
Maire
Mandat
Hubert Vignau
2020-2026
Code postal 64510
Code commune 64023
Démographie
Gentilé Angayais
Population
municipale
905 hab. (2021 en augmentation de 3,31 % par rapport à 2015)
Densité 152 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 14′ 19″ nord, 0° 15′ 05″ ouest
Altitude Min. 214 m
Max. 412 m
Superficie 5,94 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Pau
(banlieue)
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Vallées de l'Ousse et du Lagoin
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Angaïs
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Angaïs
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Angaïs
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Angaïs
Liens
Site web www.Angaïs.fr

Angaïs (prononcé [ɑ̃ɡa.is]) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune d'Angaïs se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 13 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 18 km de Pontacq[3], bureau centralisateur du canton des Vallées de l'Ousse et du Lagoin dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Boeil-Bezing (2,2 km), Beuste (2,8 km), Baudreix (3,6 km), Lagos (3,9 km), Assat (4,1 km), Artigueloutan (4,2 km), Baliros (4,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Angaïs fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes d’Angaïs[6]
Artigueloutan
Bordes Angaïs Nousty
Boeil-Bezing

Paysages[modifier | modifier le code]

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Angaïs.

La commune est drainée par le Lagoin, l'Arrebigne et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Le Lagoin, d'une longueur totale de 28,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Vincent et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Bizanos, après avoir traversé 13 communes[10].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 269 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bénéjacq à 6 km à vol d'oiseau[14], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 244,1 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[19],[Carte 2].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[20],[Carte 3] : les « bois de Benejacq, bordères, Boeil et bordes » (2 158 ha), couvrant 13 communes du département[21].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Angaïs est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pau, une agglomération intra-départementale regroupant 55 communes[25] et 204 037 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28],[29].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,4 %), forêts (28,3 %), zones urbanisées (12,6 %), prairies (5,7 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

La commune est reliée par les routes départementales 38, 212, 839 et 938. Elle est desservie par la ligne 835 du réseau interurbain des Pyrénées-Atlantiques, qui part de Bénéjacq et arrive à Pau.

Chemins de randonnée[modifier | modifier le code]

La commune est bordée au nord-est par le chemin Henri-IV[8], chemin de randonnée qui relie le château de Franqueville à Bizanos, près de Pau (Pyrénées-Atlantiques) au lac de Lourdes (Hautes-Pyrénées). Il alterne pistes forestières et chemins de terre et offre aux randonneurs une vue imprenable sur la chaîne des Pyrénées, le piémont et les plaines.

Long d'environ 35 kilomètres, le parcours du chemin peut être fractionné grâce à diverses routes qui le croisent. Il est possible de l'arpenter à pied, à cheval ou à vélo mais il est interdit à tout véhicule à moteur.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Angaïs est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne)[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Lagoin. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2004, 2007 et 2009 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2013 et 2015[33],[31].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Angaïs.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[34]. 35,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[35].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Angaïs apparaît sous les formes Angays (1343[7], hommages de Béarn[36] et 1385[37], censier de Béarn[38]), Anguays (vers 1540[7], réformation de Béarn[39]), Angais (1793[40] et 1801[40], Bulletin des lois pour la dernière référence) et Angaïs sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[37]). Brigitte Jobbe-Duval[41] indique qu’une origine possible du toponyme est le patronyme Gaiz. Elle mentionne également qu’autrefois, les habitants du village étaient surnommés les « éleveurs de mules ».

Son nom béarnais est Angais[42] ou Angays[43].

Microtoponymie[modifier | modifier le code]

Abérat apparaît sous la forme Averat (1457[7], notaires d'Assat[44]), et était un fief dépendant de la vicomté de Béarn.

Batbielle désigne un ensemble de landes et de bois, s’étendant sur le territoire des communes d’Angaïs, Beuste, Boeil, Bénéjacq, Bordères, Lagos et Mirepeix, placé sous la juridiction des jurats de Beuste. C’est également le titre d’un archidiaconé du diocèse de Lescar, correspondant à l’emprise des cantons de Nay et de Clarac. On retrouve ce toponyme sous les graphies Baigbiella (XIIIe siècle[7], fors de Béarn[45]), archidiagonat de Batbilhe (1385[7], censier de Béarn[38]), Batbielhe et l’arsidiagonat de Begbielle (respectivement 1396[7] et 1400[7], notaires de Navarrenx[46]), le conbent de Bagbielhe et les Abbatbielles (respectivement 1538[7] et 1675[7], réformation de Béarn[39]).

Navailles est une ancienne ferme d'Angaïs, mentionnée en 1863[7] par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[7] note que la commune accueillait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn. En 1385, on y comptait quatre feux. Angaïs dépendait alors du bailliage de Pau.

La baronnie[7] d'Angaïs, créée en 1656, comprenait Beuste, Ousse et Sendets.

Angaïs ressortait de la notairie de Nay, au même titre qu’Arros, Arthez-d'Asson, Asson, Baliros, Baudreix, Bénéjacq, Beuste, Boeil, Bordères, Bosdarros, Clarac, Coarraze, Igon, Lagos, Lestelle, Mirepeix, Montaut, Nay, Pardies et Saint-Abit.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires d'Angaïs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 2001 Pierre Prat    
2001 2020 Bernard Arrabie DVG Retraité
2020 En cours Hubert Vignau    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Angaïs appartient à quatre structures intercommunales[47] :

  • la communauté de communes du Pays de Nay ;
  • le syndicat d'eau potable et d'assainissement du Pays de Nay (SEAPAN) ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat de défense contre les inondations du bassin du Lagoin.

La commune est le siège du syndicat de défense contre les inondations du bassin du Lagoin[48].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Angayais[49],[41].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[51].

En 2021, la commune comptait 905 habitants[Note 8], en augmentation de 3,31 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
568562624661744789785851875
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
853865830802783787757730716
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
697671637560561537511467460
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
491535534623760739795811860
2018 2021 - - - - - - -
896905-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Angaïs fait partie de l'aire urbaine de Pau.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école primaire.

Économie[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le château d'Angaïs[53], construit en 1907 - 1908, est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis le .

Ce château était, dans les années 1970, un centre de traitement et de convalescence. Il accueillait des enfants atteints de cardiopathies, rhumatisme articulaire aigu, néphrites. La Direction de l'établissement était assurée par Madame Léonce Lacueva. La surveillance médicale était assurée par Monsieur le Docteur Casassus (Membre de la Société Française de Cardiologie).

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Notre-Dame[54] fut construite au milieu du XIXe siècle. Elle est répertoriée à l’Inventaire général du patrimoine culturel depuis le [54]. On y trouve un autel[55] et un retable du XVIIe siècle. L'église est dédiée à Notre-Dame.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
  2. « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Angaïs », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Angaïs », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune d'Angaïs », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Angaïs et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Angaïs et Pontacq », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Angaïs », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. a b c d e f g h i j k l et m Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
  8. a b c d e f g h i j k l m et n Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  9. « Fiche communale d'Angaïs », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  10. Sandre, « le Lagoin ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Angaïs et Bénéjacq », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Benejacq » (commune de Bénéjacq) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Benejacq » (commune de Bénéjacq) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Angaïs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Angaïs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF les « bois de Benejacq, bordères, Boeil et bordes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Unité urbaine 2020 de Pau », sur insee.fr (consulté le ).
  26. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  27. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Pau », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  31. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Angaïs », sur Géorisques (consulté le ).
  32. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  33. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  34. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  35. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  36. Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  37. a et b Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059)..
  38. a et b Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne).
  39. a et b Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siècle ».
  40. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. a et b Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9, BNF 42089597).
  42. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  43. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  44. Notaires d'Assat - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  45. Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  46. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  47. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  48. Fiche détaillée des compétences du syndicat de défense contre les inondations du bassin du Lagoin
  49. Gentilé sur habitants.fr
  50. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  51. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  53. « Le château d'Angaïs », notice no PA64000036, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. a et b « L'église Notre-Dame », notice no IA64000583, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. « Le mobilier de l’église Notre-Dame », notice no PM64000030, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.