Bazarnes

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Bazarnes
Bazarnes
La mairie de Bazarnes.
Blason de Bazarnes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Auxerre
Intercommunalité Communauté de communes Chablis, Villages et Terroirs
Maire
Mandat
Thierry Olivier
2020-2026
Code postal 89460
Code commune 89030
Démographie
Gentilé Bazarnais
Population
municipale
415 hab. (2021 en diminution de 2,12 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 39′ 39″ nord, 3° 39′ 46″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 282 m
Superficie 19,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auxerre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Joux-la-Ville
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bazarnes
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Bazarnes

Bazarnes est une commune française située dans le département de l'Yonne, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Bazarnes est à 18 kilomètres au sud d'Auxerre, au bord de l'Yonne en rive gauche. La commune est riveraine de cette rivière sur 4 km, et est également bordée par le canal du Nivernais.

Les grandes villes les plus proches de Bazarnes sont :

Bazarnes est reliée à Paris-Bercy par une gare ter, la gare de Cravant - Bazarnes.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Vincelles (5,5 km) Cravant (3,4 km) Accolay (3,5 km) Rose des vents
Val-de-Mercy (10 km) N Sainte-Pallaye (1,4 km)
O    Bazarnes    E
S
Fontenay-sous-Fouronnes (9,2 km) Trucy-sur-Yonne (3,5 km) Prégilbert (3 km)
Trucy-sur-Yonne

Les autres villages proches sont :

Sery, 4,9 km au sud ;
Vermenton, 5,3 km à l'est ;
Vincelottes, 5,6 km au nord ;
Irancy, 10 km au nord.

Relief[modifier | modifier le code]

La commune est sur un plateau se terminant à l'est par des coteaux abrupts de la vallée de l'Yonne. Le village, décentré vers l'est sur le territoire de la commune, est au pied du plateau. Au sud, le plateau est entaillé perpendiculairement à l'Yonne (vallée Foussy, vallée Monin, la Côte Noire[1]) par la vallée d'une ancienne rivière maintenant à sec.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 720 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Merry-sur-Yonne », sur la commune de Merry-sur-Yonne à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 776,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bazarnes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auxerre, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 104 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,8 %), forêts (27,4 %), zones urbanisées (4 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui).

Histoire[modifier | modifier le code]

Deux grosses villae sont connues, toutes deux dans la vallée de l'Yonne : au lieu-dit Le Bouchet / La Tuilerie (à 2 km au nord du bourg actuel), occupée jusqu’au Haut Moyen-Âge inclus ; et au Maunoir (à 1,5 km au nord-est du bourg) où un dépôt de monnaies a été enfoui en l'an 304[15].

En 596 le règlement de saint Aunaire, 18e évêque d'Auxerre (572-605), inclut Bazarnes (Bacerne) dans les trente principales paroisses du diocèse qu'ils soumet à un rota de prières[16].

VIe siècle[modifier | modifier le code]

La parochia est citée au VIe siècle sous le nom de Bacerna[17] La commune figure sur le tracé de la via Agrippa[18]. On y a retrouvé des vestiges préhistoriques et antiques.

VIIe siècle[modifier | modifier le code]

À l'occasion de fouilles archéologiques d'urgence menées en 1993 à la suite de la mise au jour d'un dallage lors d'une tranchée de drainage, des sarcophages mérovingiens ont été découverts autour de l'ancienne église Saint-Georges, témoignant ainsi de l'existence d'un lieu de culte ancien remontant au VIIe siècle[19].

XIe – XIIe siècles[modifier | modifier le code]

En 1099, les trois frères seigneurs de Toucy et Bazarnes, Ithier, Hugues et Narjot, possédant en commun l'île de Crisenon, fondent l'abbaye de Crisenon à 2 km au sud sur la commune de Prégilbert. Devenu plus récemment une pisciculture, ce site permet de recouper quelques éléments historiques sur la vie du village grâce aux archives exploitées sur les sires de Saint-Vérain et de Toucy, protégés de l'évêque d'Auxerre[20].

Au XIIe siècle l'église Saint-Vérain est construite. Elle est inscrite au titre des monuments historiques en 1926[21].

En 1189 et 1192, Narjot de Toucy négocie avec les religieuses de Crisenon une rente issue de la production de ses moulins, puis un droit de pêche dans l'Yonne ainsi qu'une dotation de deux muids de vin issus de son clos, attestant d'une activité de meunerie et de viticulture sur le territoire de la commune.

En 1196 Hugues de Noyers, 57e évêque d'Auxerre (1183-1206), autorise les religieux de Saint-Marien d'Auxerre à augmenter la part du curé de Bazernes sur les dîmes de la grange du Boucher[22].

Ancienne église Saint-Georges du XIIe siècle.

XVIe siècle[modifier | modifier le code]

Au XVIe siècle, au Maunoir, la maladrerie Notre-Dame de Saint-Quentin soigne les lépreux. En 1693, n'accueillant plus de malades, une partie des biens est mise au service de la léproserie-maladrerie Sainte-Marguerite d'Auxerre (1231-1773)[23].

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

En 1732, le loup fait des ravages dans la région d'Auxerre et le curé de Bazarnes invoque saint Vérain et saint Georges « après que l'enfant de Jeannin a été retirée de la gueule d'une bête ». Jusqu'en 1734, les registres paroissiaux témoignent de la présence destructrice du loup[24].

En 1791, Exchausses (Echausse), le curé de Bazarnes, refuse de prêter serment à la Constitution civile du clergé et démissionne. Il avait été désigné lors des États généraux de 1789 et se trouvait également, sur procuration du curé Cuny, curé de Fontaines[25].

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1830, le député Jacques Roman adhère à la monarchie de Juillet.

En 1887, le cimetière qui se trouvait autour de l'église est transféré à la sortie du village[26].

Entre 1890 et 1895, la commune rachète les terrains en vue de la construction du barrage du Maunoir sur le canal du Nivernais, prévue en 1930 et justifiée par la mise au gabarit de la péniche normale de 300 tonnes[27].

XXe siècle[modifier | modifier le code]

Le 9 juillet 1944, neuf résistants du maquis de la Souille sont exécutés par les Allemands lors d'une embuscade[28],[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1827?   Jacques Roman Opposition constitutionnelle propriétaire
1899 1904 Alphonse Courvoux    
1904 1913 Mary Caquereau    
1913 1919 Isidore Gourlot    
1919 1925 Alfred Mathé    
1925 1928 Théophile Defaix    
1928 1929 Gaston Melou    
1929 1938 Onésime Bénard    
1938 1944 Gaston Melou    
1944 1946 Jean Pinard    
1946 1947 Raoul Gourlot    
1947 1957 Gabor Naphegyi    
1957 1978 René Charreau    
1978 1997 Roger Amelin    
1997 2001 Martine Corbet    
2001 2014 Michel Deschaintres[30]    
2014 En cours Andrée Blandin DVD Retraitée

Fiscalité[modifier | modifier le code]

Taux et produits des impôts locaux à Bazarnes (en 2015)[31]
Taxe Taux appliqué (part communale) Recettes dégagées en €
Taxe d'habitation (TH) 18,50 % 458 000
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 18,50 % 339 000
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 51,17 % 61 000
Cotisation foncière des entreprises (CFE) 0,00 % 0

Budget[modifier | modifier le code]

En 2015, selon la Direction générale des Finances publiques (DGFiP)

Évolution de l'endettement (en milliers d’€)[32]
Évolution des dépenses d’équipement (en milliers d’€)[32]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 415 habitants[Note 4], en diminution de 2,12 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
487487517559577596596617555
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
594613609604585605603583534
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
517501470387413366341381360
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
410410357395383357400405409
2014 2019 2021 - - - - - -
416413415------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31,4 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,2 % la même année, alors qu'il est de 31,2 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 199 hommes pour 219 femmes, soit un taux de 52,39 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,33 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
0,5 
9,1 
75-89 ans
7,9 
16,8 
60-74 ans
15,3 
20,8 
45-59 ans
21,8 
26,9 
30-44 ans
21,3 
10,2 
15-29 ans
11,1 
15,2 
0-14 ans
22,2 
Pyramide des âges du département de l'Yonne en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,5 
8,3 
75-89 ans
11,3 
20 
60-74 ans
20,2 
20,6 
45-59 ans
20,2 
17,2 
30-44 ans
16,6 
15,1 
15-29 ans
13,1 
17,8 
0-14 ans
16,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Ancienne église Saint-Georges du XIIe siècle.
Portail roman formant avant-corps avec colonnettes à chapiteaux et voussures au décor varié, surmonté d'un bandeau de modillons denticulés.
Nef et bas-côtés XIIe / XIIIe siècle, grandes arcades retombant sur des piles massives, berceau brisé sur doubleaux dans la nef centrale (une seule travée XIIIe siècle, les autres refaites), voûtes d'arêtes sur les bas-côtés (refaites en partie XIXe siècle), chevet circulaire, absidiole nord (seule conservée), clocher carré moderne.
Mobilier : toile de la déposition de la croix XVIe siècle, chaire à prêcher mobile sur roulettes XVIIIe siècle (classée MH[39]), statues de saint Quentin, de sainte Anne enseignante[26], Saint Georges (sur la façade)[40].
  • Lavoir du XIXe siècle, grand « impluvium » avec deux passerelles et un très grand passage couvert.
  • Porte de grange XIIe siècle dans une propriété en bordure de la rue principale (provient de l'ancienne chapelle Saint-Quentin érigée en 1275). La grange et la porte sont inscrites MH[41].
  • Plaine de jeux et de loisirs

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bazarnes Blason
Parti : au 1er d'or à un dragon contourné de gueules, au 2d coupé au I d'azur à une crosse d'or, une gerbe de blé du même brochante en pointe, au II de vair plain ; à la vergette de gueules brochant sur la partition[44],[45].
Détails
Le dragon est attribut de saint Véran, patron de la paroisse locale. La crosse et la gerbe sont pour saint Thibaut, à qui était dédié un ancien ermitage à flanc de colline. Le vair est repris des armes de la famille de Toucy, qui possédait le château et la seigneurie de Bazarnes au XIIe – XIIIe siècle. Enfin, la vergette rappelle l'ancienne voie romaine, actuelle D100, qui traverse la commune.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Divers[modifier | modifier le code]

La gare de Cravant - Bazarnes, de type PLM et située sur la ligne Auxerre-Clamecy, ouverte en 1870 [46], devient une gare importante après la mise en service en 1873[47] de la section vers Avallon, dont l'embranchement se situe à un kilomètre plus au sud.

En 2002, la gare du village a également servi de décor au film Mischka de Jean-François Stévenin avec Jean-Paul Roussillon[48].

En 2012, une usine de la commune a participé à un épisode de la série télévisée Une famille formidable[49].

À Bazarnes, passe la véloroute icaunaise « Auxerre - Coulanges-sur-Yonne »[50] qui s’étire sur 62 km de Clamecy à Auxerre en longeant le canal du Nivernais[51].

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Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Léon Foin, La Voie d'Agrippa, de Saint-Moré à Bazarnes, Auxerre, Gallo, . Document utilisé pour la rédaction de l’article. (versé aux Archives départementales de l'Yonne, réf. BROCH 1346)
  • Christian Sapin, Bourgogne romane, Dijon, . Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • C. Arnaud, Les églises de l’ancien diocèse d’Auxerre du milieu du XIe siècle au début du XIIIe siècle, SSHNY, , p. 499-506. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • S. Aumard, « Les premières églises rurales de l’auxerrois : première synthèse archéologique », dans C. Delaplace (dir.), Aux origines de la paroisse rurale, Paris, , p. 42-58. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Jean-Marc Moriceau, Histoire du méchant loup : 3 000 attaques sur l'homme en France, XVe-XXe siècle, Paris, Fayard, , 623 p. (ISBN 978-2-213-62880-6, présentation en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
    Réédition augmentée : Jean-Marc Moriceau, Histoire du méchant loup : la question des attaques sur l'homme en France, XVe-XXe siècle, Paris, Pluriel, coll. « Pluriel », , 634 p. (ISBN 978-2-8185-0505-2).
  • Léo Hamon, La Révolution à travers un département (Yonne), Éditions de la Maison des Sciences de l'Homme, . Document utilisé pour la rédaction de l’article

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Carte - Vallée Foussy, vallée Monin, la Côte Noire » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Bazarnes et Merry-sur-Yonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Merry-sur-Yonne », sur la commune de Merry-sur-Yonne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Merry-sur-Yonne », sur la commune de Merry-sur-Yonne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Auxerre », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. (2008) Pierre Nouvel, « La vallée de la Cure à l'époque gallo-romaine : Découvertes anciennes et apports des prospections aériennes et terrestres 1991-2008 », Bulletin de la Société d'Études d'Avallon, no 84,‎ , p. 14-43 (lire en ligne, consulté le ), p. 10.
  16. Jean Lebeuf (abbé), Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre..., vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne), p. 116.
  17. Abbé Jean Lebeuf, Mémoires concernant l’histoire ecclésiastique et civile d’Auxerre..., vol. 1, Auxerre, Perriquet, , 886 p. (lire en ligne), p. 116,154.
  18. Pierre Nouvel, « Les voies romaines en Bourgogne antique : le cas de la voie dite de l'Océan attribuée à Agrippa », 20e colloque de l'Association Bourguignonne des Sociétés Savantes, Saulieu. A.B.S.S. / Amis du vieux Saulieu, 2012,‎ 16-17 octobre 2010, p. 9-57 (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Bazarnes » (consulté le ).
  20. « Sires de Saint-Vérain et Toucy » (consulté le ).
  21. a et b « Église Saint-Vérain », notice no PA00113615, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. Lebeuf 1743, p. 324, vol. 1.
  23. « État des fonds hospitaliers - Liste des hôpitaux de l'Yonne et des documents archivés », Archives départementales de l'Yonne, série H, supplément p. 196, sur yonne-archives.fr (consulté le ).
  24. Sylvie Biton et Robert Biton, Les loups dans l'Yonne (lire en ligne).
  25. États généraux. Cahiers des sénéchaussées et bailliages [Angoumois - Clermont-Ferrand], t. 2, (lire en ligne), p. 113.
  26. a et b « Bazarnes - Église paroissiale Saint-Vérain (anc. Saint-Georges) - (canton de Vermenton) », Bulletin du centre des études médiévales d'Auxerre, sur cem.revues.org (consulté le ).
  27. « Barrage du Maunoir (canal du Nivernais) » (consulté le ).
  28. Véronique Sellès, « Son père Gaston, résistant, a été tué à Bazarnes en juillet 1944 », L'Yonne Républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Jacques Tissu (chef du Maquis 4 du SNM), ARORY Association pour la Recherche sur l'Occupation et la Résistance dans l'Yonne.
  30. Conseil général de l’Yonne, Ma Commune, consulté le 15 décembre 2013.
  31. « Les comptes des communes », sur DGFIP, (consulté le ).
  32. a et b « Les comptes des communes - Bazarnes - Yonne », sur DGFIP (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bazarnes (89030) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Yonne (89) », (consulté le ).
  39. « Chaire à prêcher mobile », notice no PM89000133, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
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