Belloy

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Belloy
Belloy
Mairie du village
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Christian Cardon
2020-2026
Code postal 60490
Code commune 60061
Démographie
Population
municipale
76 hab. (2021 en diminution de 19,15 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 11″ nord, 2° 39′ 18″ est
Altitude Min. 75 m
Max. 133 m
Superficie 2,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Belloy
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Belloy
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Belloy
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Belloy
Liens
Site web https://www.belloy-60.fr

Belloy est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Belloy est un village périurbain du Plateau picard situé à 19 km au nord-ouest de Compiègne, 24 km au nord-est de Clermont, 47 km au sud-est d'(Amiens et 55 km au sud-ouest de Saint-Quentin.

Le territoire communal est limité au nord par l'ancienne route nationale 38 (actuelle RD 938) et est facilement accessible par l'autoroute A1.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Lataule, Méry-la-Bataille et Neufvy-sur-Aronde.

Communes limitrophes de Belloy
Lataule
Méry-la-Bataille Belloy
Neufvy-sur-Aronde

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 718 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Belloy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,2 %), forêts (9,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte un écart, la Ferme de Bauchemont, au sud du territoire communal.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 47, alors qu'il était de 43 en 2013 et de 39 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 91,5 % étaient des résidences principales, 6,4 % des résidences secondaires et 2,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Belloy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,4 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Belloy en 2018.
Typologie Belloy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,5 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,4 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 2,1 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 655, 6303 et 6334 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bodolitum (1250) ; decima apud Beeloy (1138) ; de baalai (1190) ; Belloi (XVe) ; Bescos de beeloi (1255) ; Belloy près Gournay sur Aronde (XVe) ; Belloy (1667)[14].

Le nom Belloy proviendrait du latin bidolidum, composé de betula, bouleau et du suffixe etum, ensemble de végétaux[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

La terre de Belloy relevait de la seigneurie de Méry et du comté de Clermont. Elle appartint de bonne heure à la famille de Belloy qui tirait son nom de cette terre[16]

La commune, instituée par la Révolution française, a été fugacement réunie de 1826 à 1835 à celle de Lataule[17].

Le village est considéré comme largement détruit à la fin de la Première Guerre mondiale[18] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Ressons-sur-Matz[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Belloy est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014 Antoine Bardinet DVD[20] Président de l'amicale des maires du canton[21]
2014[22] En cours
(au 2 décembre 2020)
Christian Cardon   Réélu pour le mandat 2020-2026[23]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 76 habitants[Note 3], en diminution de 19,15 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
145151166126125122121109105
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
9810389958695997877
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
757746637579656063
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
495362647179838694
2020 2021 - - - - - - -
7976-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 45 hommes pour 44 femmes, soit un taux de 50,56 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,6 
12,5 
75-89 ans
12,8 
20,0 
60-74 ans
20,5 
30,0 
45-59 ans
28,2 
10,0 
30-44 ans
20,5 
20,0 
15-29 ans
10,3 
7,5 
0-14 ans
5,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Jean - Cloche de l'église sonnant 10h :
  • Église Saint-Jean-Baptiste, reconstruite en brique en 1924-1925 en s’inspirant des dispositions de l’édifice précédent, totalement détruit pendant la Première Guerre mondiale et qui remontait, semble-t-il, au XVIIe ou au XVIIIe siècle[29].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Quelques noms de seigneurs de Belloy nous sont parvenus[16] :

  • Lanfroy est qualifié d'optimus dans un échange qu'il fit avec Hilduin de Saint-Denis, abbé de Saint-Denis, de plusieurs biens qu'il possédait dans le Parisis, au territoire de Belloy, la quinzième année du règne de Louis le Débonnaire (824) et le 9 février 940, il donna avec Teutgilde, sa femme et avec ses fils à la même abbaye, plusieurs manses et des serfs qu'il possédait à Belloy.
  • Hugues et Gauthier de Belloy sont cités dans différents titres, comme sires de Belloy.
  • Alméric de Belloy, comparaît à la donation que fait en 1144 Gérard de Picquigny à l'abbaye du Gard. Garin de Belloy est témoin dans une charte de 1190 avec ses fils Hugues et Henri. Il eut pour femme Mathilde.
  • Guy, sire de Belloy, seigneur de Morangle, reconnaît en 1279, être homme-lige de Jean, vidame d'Amiens.
  • Jean de Belloy, chevalier, fit une transaction en 1333, avec Pierre de Chambly, concernant la haute, moyenne et basse justice sur la terre de Belloy. Il servit le roi Philippe VI de Valois et assista à la bataille de Crécy. L'un de ses fils, Jacques de Belloy, chevalier, seigneur de Belloy en France, servit dans les armées du roi. Il épousa d'abord Jeanne du Lys, puis Isabeau de Soizy, dame de Poncey, dans la châtellenie de Méry. De son premier mariage il eut Ancel ou Anceau de Belloy, seigneur de Belloy en France, de Morangle près de Beaumont-sur-Oise, du Lys, d'Estouteville, etc. Il épousa le 18 mai 1391, Marie des Essarts, en présence de Simon de Bucy, évêque de Soissons et fut échanson du roi Charles V et mourut le 18 septembre 1460. Il eut Jacques de Belloy, tué à la bataille de Verneuil le 17 août 1424.
  • Pierre de Belloy, seigneur de Belloy, Morangle, mort avant 1481. De sa femme Catherine, il eut neuf enfants, dont Antoine de Belloy, seigneur de Belloy, qui épousa Madeleine Le Boulanger de Montigny. Leur fils Guillaume de Belloy, seigneur de Belloy, Ronssoy, Fontenettes, Mesnil-Saint-Denis, etc., épousa Antoinette de Perthuis.
  • Antoine de Belloy, chevalier, seigneur de Belloy, gentilhomme de la chambre du roi et chevalier de Malte en 1551. Il mourut en1567 et fut inhumé dans l'église de Belloy, où est sa tombe avec ses armes. Il avait épousé en premières noces Julienne de Montmirail dont il eut une fille Mathilde, et en secondes noces Catherine de Bar.
  • Pierre de Belloy, chevalier, épousa par contrat du 6 novembre 1503 Blanche de Villers, il était homme d'armes du roi. Son fils Jean de Belloy est procureur du roi Charles IX en 1570.
  • François de Belloy, seigneur de Belloy, épousa Madeleine Hesselin. Lieutenant des nobles de Paris il fut tué au service du roi
  • Philippe de Belloy, chevalier, marquis de Morangles, épousa Thérèse le Picard, et en secondes noces Jeanne-Louise d'Anchy, il fut maintenu dans sa noblesse et mourut en 1736, âgé de quatre-vingt-deux ans, laissant vingt enfants de ses deux mariages...
  • Philippe-Sébastien-Claude de Belloy, chevalier, comte de Belloy, seigneur d'Apremont, Oreillers, etc., page du roi et lieutenant de cavalerie, épousa à Paris, Claude-Valentine de Roussel. Leur fils unique Claude-François-Marie de Belloy, chevalier, seigneur de Campneuville, né en 1719, épousa le 23 septembre 1742, Louise-Françoise de Messier dont il eut trois enfants, entre autres Françoise-Marie, dame d'Orvillers, née le 3 février 1746.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Belloy » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Belloy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Belloy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Belloy et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Belloy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 52.
  15. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Paris, P.U.F., 1969 p. 86
  16. a et b Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 432 p. (lire en ligne), p. 314-316, sur Gallica.
  17. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  19. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
  20. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 37.
  21. « Quand les maires jouent à ni oui ni non », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Fiche commune : Belloy »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Union des maires de l'Oise (consulté le ).
  23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Belloy (60061) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  29. Dominique Vermand, « Belloy, église Saint-Jean-Baptiste : Diocèse : Beauvais », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).