Lataule

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Lataule
Lataule
Carte postale du village à l'issue de la guerre 14/18.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays des Sources
Maire
Mandat
René Mahet
2020-2026
Code postal 60490
Code commune 60351
Démographie
Population
municipale
118 hab. (2021 en augmentation de 6,31 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 27″ nord, 2° 40′ 51″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 133 m
Superficie 7,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Lataule
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Lataule
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Lataule

Lataule est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Lataule est un village-rue rural picard est situé sur un ancien chemin allant à Gournay-sur-Aronde et sur le tracé de l'ancienne RN 38 (actuelle RD 938), à 43 km au nord-est de Beauvais, à 25 km à l'ouest de Noyon et à 18 km au nord-ouest de Compiègne.

Elle est aisément accessible depuis l'Autoroute A1 ainsi que par le tracé initial de l'ex-RN 35 (actuelle RD 935), et est tangentée par l'ex-RN 17 (actuelle RD 1017) à l'est du territoire communal.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Dépendances et écarts en 1883 : le Moulin, la Garenne. Contenance territoriales, 737 hectares. Population 200 habitants.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lataule est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,6 %), forêts (5,3 %), zones urbanisées (4,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 655, 6308, 6328 et 6334 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Tabula Ististoloe (vers 770) ; villa de Tablia (XIIe) ; Odo decanus de Tabula (1228) ; de Tola (1239) ; « Drouars li tavreniers de le taule » (1255) ; Taule (1275) ; « a le voie de le Taule » (1305) ; la Taule (1373) ; le Taule en Biauvoisis (1377) ; Tabula (1500) ; le chastel de la Taulle (1564) ; la taulle (1598) ; Taules (XVIe) ; Letaulle (XVIe) ; Letolle (XVIe) ; la Taulle (vers 1750) ; Lataule (1763)[14].

Du latin tabula, « table » dans le sens de parcelle de terre plate. Le village est bâti sur un vaste plateau élevé[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Blason des seigneurs de Lataule.

Près de la ferme de Portes et du village de Lataule des haches en silex ont été recueillies ainsi qu'une grande quantité de médailles romaines.

La paroisse de Lataule relevait du comté de Clermont ; elle était de la prévôté, de l'élection et du grenier à sel de Montdidier. Elle avait vingt feux en 1469 et quatre-vingt-deux en 1770 ; à cette dernière date elle payait trois cent quatre-vingt-quatre livres de capitation.

La terre de Lataule était un fief qui relevait de la salle du roi[C'est-à-dire ?] et de la châtellenie de Montdidier.

La seigneurie de Lataule appartenait en 1300, à Aubert de Hangest ; elle comprenait trente sept setiers de terre sis au Val-Foubert, douze journaux de prés et cent d'avoine, à prendre sur les terres situées entre les vignes des Planques et Sommes d'Or.

Ce lieu-dit, Sommes d'Or, compte une source intermittente qui coule tous les sept ou huit ans, pendant six mois. Les villageois disent que la Somme-d'Or coule quand le blé est cher.

Aubert de Hangest, comme seigneur de Lataule, fit un accord avec l'Abbaye Notre-Dame d'Ourscamp pour le champart des terres sises près du chemin de Lataule et tenant au Mont-d'Olivet. Aubert épousa Agnès de Beaugies dont il eut Mathieu.

De Hangest Mathieu, chevalier, eut en partage les terres de Lataule et de Huquevile. Il épousa Marie de la Bove, qui lui donna entre autres enfants : Aubert II de Hangest, seigneur de Lataule ; il mourut à la bataille de Poitiers en 1356, laissant de sa femme Alix de Haucourt, Aubert de Hangest, chevalier, seigneur de Lataule, qui mourut sans enfants en 1399.

Son frère Jean de Hangest lui succéda dans la seigneurie, il fut grand maître des arbalétriers de France et décéda célibataire en 1407.

La seigneurie revint à Isabelle de Hangest sur laquelle elle fut saisie par le roi d'Angleterre parce que cette dame était du parti du roi de France.

Cette terre fut sans doute rendue à la famille, car Jacques de Hangest, fut seigneur de Lataule, de Magny, etc., conseiller et Chambellan du roi ; Adrien de Hangest, frère puîné de Jacques fut seigneur de Genlis et de Lataule, il fut grand échanson de France et mourut en 1532, laissant de sa femme Claude du Mas.

Jean III d'Hangest de Genlis (1506- 2 février 1577). Il succède à son oncle comme évêque-comte de Noyon, par dispense en 1525, du pape Clément VII. Il a fait l'objet d'une sentence de justice en 1535, consignée dans les Minutes de Jules Simon, notaire à Paris[16]. Il fut également abbé commendataire de l'abbaye Saint-Éloi de Noyon de 1507 à 1525 et de l'abbaye Sainte-Élisabeth de Genlis de 1545 à 1548. Il rend hommage au roi de France le pour Genlis, La Taule ou Lataule, Le Bac-d'Arblincourt, Gournay[17]etc.. François d'Hangest de Genlis suivit le parti du prince de Condé ; le , les seigneuries de Genlis et de Lataule furent saisies sur lui au nom du roi, parce qu'il était de la religion réformée.

La seigneurie de Lataule fut acquise en 1578 par Valentine des Ursins qui la donna sa nièce, épouse de Charles d'Ognies, comte de Chaulnes.

Son fils, Louis d'Ognies vendit, en 1602, la seigneurie de Lataule à Saint-Julien Du Fos, chevalier, seigneur de Lataule et de Méry. Il fut maintenu dans l'état de noblesse et avait pour armoiries : de sable à un pal d'argent chargé d'une molette de sinople.

La seigneurie de Lataule resta dans la maison du Fos jusqu'à la Révolution française.

Les seigneurs de Lataule possédaient un château qui fut détruit en 1636 par les Espagnols ; il fut rebâti au XVIIe siècle, c'est une construction en brique avec chaînes de pierre, d'une riche élégance. Il est habité par M. le comte de Beaussier.

Selon Louis Graves, les poissonniers qui autrefois suivaient l'ancien chemin de Montdidier à Compiègne, passant près de Lataule, étaient obligés de venir au château, et de laisser prendre ce qui convenait au seigneur. .

L'église paroissiale n'était autrefois qu'une chapelle castrale, sous le vocable de Saint-Blaise, fondée par les seigneurs de Hangest. Elle fut ensuite érigée en succursale de la cure de Cuvilly, mise sous l'invocation de la Vierge et érigée en paroisse par l'évêque de Beauvais. Cette première église qui avait été détruite durant la Guerre de Trente Ans, lors de l'invasion espagnole en 1636 fut rebâtie deux années après. Cette seconde église a été remplacée en 1864/1865 par celle détruite lors de la Première Guerre mondiale[18],[19].

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

La cure de Lataule était à la nomination de l'évêque de Beauvais ; la dîme appartenait à la commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem de Fontaines-sous-Montdidier. Elle était du doyenné de Ressons.

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le village a été détruit le lors de la Bataille du Matz[18],[20] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise[22].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Ressons-sur-Matz[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette organisation territoriale administrative a disparu, le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis[22]

Pour les élections législatives, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la Communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale 'EPCI) à fiscalité propre créé en 1997.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours
(au 9 septembre 2014)
René Mahet LR Président de la CC du Pays des Sources (2001 → )
Réélu pour le mandat 2014-2020[24]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 118 habitants[Note 3], en augmentation de 6,31 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
262283302311418297269258263
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
252246212201186200211220203
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
190183170146166172139137144
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
122108675470106121123112
2017 2021 - - - - - - -
117118-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 55 hommes pour 63 femmes, soit un taux de 53,39 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
5,5 
75-89 ans
4,8 
18,2 
60-74 ans
14,5 
25,5 
45-59 ans
30,6 
25,5 
30-44 ans
12,9 
18,2 
15-29 ans
17,7 
7,3 
0-14 ans
19,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église de Lataule, détruite pendant la Première Guerre mondiale, datait de 1864/1865. Reconstruite en 1922, elle a été réhabilitée par la commune en 2013[18].

Son plan est simplement constitué d’un clocher formant porche et d’une nef unique couverte d’une belle charpente en carène. Une Vierge à l’Enfant du XVe siècle[30] et un buste- reliquaire du XVIIe siècle[31], tous deux en bois, proviennent de l’église précédente[19].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Lataule et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Lataule », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 303.
  15. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 56.
  16. France Archives
  17. Archives nationales de France, cote:P//15
  18. a b et c « Après dix ans de travaux l'église est rouverte au culte : Une cérémonie était organisée samedi, pour marquer la réhabilitation de l'édifice religieux, bombardé en 1918, et du monument aux morts », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. a et b Dominique Vermand, « Lataule, église Notre-Dame », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
  20. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  21. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
  22. a et b « Commune de Lataule (60351) - commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2020), sur insee.fr (consulté le ).
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. « LATAULE La commune prévoit de nouveaux locaux : René Mahet, le maire de Lataule et son équipe lancent la construction d’un atelier municipal. Il devrait être réalisé avant mai 2015. Budgété cette année, ce local de 140 m² prendra place dans la future extension du cimetière. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lataule (60351) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  30. « Vierge à l'Enfant », notice no PM60003446, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  31. « Buste-reliquaire », notice no PM60004769, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.