Bussac (Dordogne)

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Bussac
Bussac (Dordogne)
Le village de Bussac.
Image illustrative de l’article Bussac (Dordogne)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Dronne et Belle
Maire
Mandat
Bernard Merle
2020-2026
Code postal 24350
Code commune 24069
Démographie
Gentilé Bussacois
Population
municipale
391 hab. (2021 en augmentation de 1,56 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 16′ 22″ nord, 0° 36′ 28″ est
Altitude Min. 101 m
Max. 218 m
Superficie 16,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brantôme en Périgord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bussac
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Bussac
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Bussac
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Bussac

Bussac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Le bourg de Bussac.

Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, en Périgord central, la commune de Bussac est incluse dans l'aire d'attraction de Périgueux.

À 600 mètres au nord-est de la route départementale (RD) 2, le petit bourg de Bussac est situé, en distances orthodromiques, cinq kilomètres à l'est de Lisle et neuf kilomètres au nord-ouest de Chancelade.

Le territoire communal est également desservi par les RD 106E1 et 109.

En provenance de la commune de Biras au nord-est, un tronçon commun aux GR 36 et GR 361 traverse le territoire communal sur cinq kilomètres, passant dans le bourg de Bussac et continuant vers le sud-est et la commune de La Chapelle-Gonaguet.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Bussac et des communes avoisinantes.

Bussac est limitrophe de six autres communes, dont Château-l'Évêque au sud-est sur environ 75 mètres et Mensignac au sud-ouest sur environ 600 mètres.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Bussac est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c2c, date du Turonien moyen à supérieur, composée de calcaires cryptocristallins, calcaires gréseux à rudistes et marnes à huîtres et à rhynchonelles. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 758 - Périgueux (ouest) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[Carte 1],[2] et sa notice associée[3].

Carte géologique de Bussac.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 101 m[4] à l'extrême nord-ouest, à l'ouest du lieu-dit les Combes, là où la Donzelle quitte la commune et sert de limite entre celles de Bourdeilles et Lisle, et 218 m[4] au sud-ouest, au nord du lieu-dit Croix Rouge[5],[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[8]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 16,84 km2[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 17,42 km2[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par la Donzelle et la Valade et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[14],[Carte 2].

La Donzelle, d'une longueur totale de 10,29 km, prend sa source dans la commune de La Chapelle-Gonaguet et se jette dans la Dronne en rive gauche à Lisle[15]. Elle traverse la commune du sud au nord-ouest sur cinq kilomètres et demi dont 900 mètres en limite de Lisle.

Son affluent de rive droite la Valade borde brièvement le territoire communal au nord sur 500 mètres.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 3].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 943 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Fressengeas à 9 km à vol d'oiseau[21], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 050,4 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bussac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[25],[26],[27].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[28],[29].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

En 2006, au niveau communal, les sols se répartissaient de la façon suivante : 60,5 % de forêts ou de milieux semi-naturels et 39,5 % de territoires agricoles[30].

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre le bourg de Bussac proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[31] :

  • Bas Tamisier
  • Bataillerie
  • Bidaud
  • Bois de l'Échelle
  • Borderage
  • les Brandes
  • la Brugère
  • Chante-Grenouille
  • Combe Noire
  • les Combes
  • Crébantiéras
  • Croix Rouge
  • l'Éden Vert
  • l'Épalourdie
  • la Forêt
  • la Genevrière
  • les Grands Retours
  • Haut Tamisier
  • les Jalajoux
  • la Jubérie
  • Lafarge
  • la Lande
  • Lavaud
  • le Mas
  • Mironcellas
  • le Moulin de l'Échelle
  • le Moulin du Pontey
  • le Petit Valeuil
  • le Picot
  • Picot Haut
  • la Plansonnie
  • Prigonde
  • Puychâteau
  • Puyjean
  • Riviers
  • la Rousselie Basse
  • la Rousselie Haute
  • Saute-Mouton
  • la Serve
  • le Tuiller
  • le Valgizoux
  • Valpaput
  • Villat.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bussac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Bussac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du au et du au , utilisation réglementée du au et du au [34]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[35],[36].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bussac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[37]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 78,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[39].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1999 et 2018, par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2003, 2009 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La première mention écrite connue du lieu est inscrite dans un pouillé du XIIIe siècle sous la forme Bussas[40]. Au siècle suivant, la forme latine Bussacum est relevée[41].

Le nom de Bussac vient d'un nom de personnage gallo-roman ou latin Buccius suivi du suffixe -acum, indiquant le « domaine de Buccius »[41],[42].

En occitan, la commune porte le nom de Buçac[43].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des traces d'occupation gallo-romaine ont été découvertes sur le territoire communal[41].

L'église de Bussac a été bâtie au XIIe siècle et fortifiée au XIVe siècle[44]. Au Moyen Âge, Bussac était une paroisse dépendant de la châtellenie de Bourdeilles[45].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune de Bussac a été rattachée, dès 1790, au canton de Lisle qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton de Lisle en 1801. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme dépendant de l'arrondissement de Périgueux[4].

En 2017, Bussac est rattachée à l'arrondissement de Nontron[46],[47] et en 2020 le canton de Brantôme est renommé canton de Brantôme en Périgord.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Le , la commune adhère à la communauté de communes du Brantômois. Celle-ci disparait le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : la communauté de communes Dronne et Belle.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[48],[49].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie en 2020.
Liste des maires successifs[50]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
    Pierre Auguste Robert    
  mai 1884 Alfred Marty    
mai 1884 [Note 6] Théodore Delord   Propriétaire
    [Note 6]    
[Note 6] mai 1908 Théodore Delord   Propriétaire
mai 1908 ? (1911 ou 1912) Alfred Marty    
mai 1912 octobre 1923 Lionel (ou Léonard[Note 7]) Denardou[Note 8]    
novembre 1923 décembre 1923 Georges Ricard   Adjoint faisant fonctions de maire
décembre 1923 mai 1925 Julien Riboulet    
mai 1925 1941 Louis Estiveaux   Propriétaire agriculteur
1941 mai 1945 Jean Riboulet    
mai 1945 mai 1953 Louis Estiveaux   Propriétaire agriculteur
mai 1953 mars 1971 Élie Mazeau    
mars 1971 mars 1989 René Martin    
mars 1989 mars 2014 Guy Brethonnet SE[51] Retraité agricole
mars 2014[52] mai 2020 Henri Faissole    
mai 2020 En cours Bernard Merle   Enseignant retraité

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Bussac relève[53] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Bussac se nomment les Bussacois[54].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[56].

En 2021, la commune comptait 391 habitants[Note 9], en augmentation de 1,56 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
698637663715734708647618601
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
619624620556545569506505437
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
419412399316312326308311287
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
282210197200267322354358366
2017 2021 - - - - - - -
397391-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[4] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2016[58], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 188 personnes, soit 48,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-trois) a augmenté par rapport à 2011 (quinze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,0 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte trente-quatre établissements[59], dont dix-sept au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[60].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12].
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. a b et c Absence des registres de délibérations communales entre 1886 et 1894.
  7. Lionel sur les registres de délibérations communales, Léonard sur l'acte de décès.
  8. Décédé en fonctions.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte géologique de Bussac » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
  2. « Réseau hydrographique de Bussac » sur Géoportail (consulté le 17 juillet 2022).
  3. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Bussac », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  3. « Notice associée à la feuille no 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  4. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  5. « 218 » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Bussac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  14. « Fiche communale de Bussac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  15. Sandre, « la Donzelle ».
  16. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  17. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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  24. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  32. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bussac », sur Géorisques (consulté le ).
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  34. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
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  37. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  38. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  39. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  40. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Bussac », 1873, sur guyenne.fr, consulté le .
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  42. « Bucey, Bucy, Bussac » : A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, 2e édition, Librairie Guénégaud, 1re édition en 1963, (ISBN 2-85023-076-6), p. 122.
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  44. a et b « Église Saint-Pierre et Saint-Paul », notice no PA00082423, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
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