Discussion:Étymologies de Bergoïata et de Berg dans l'Ardèche

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Faute d'orthographe dans le bandeau RECYCLER[modifier le code]

Une réorganisation et une clarification du contenu est nécessaire. Discutez des points à améliorer en page de discussion.

SONT nécessaires --CUBALIBRE2 (d) 29 octobre 2009 à 11:45 (CET)[répondre]

Merci à ???? pour la correction ! Quant à "cet article ou cette section doit être recyclé"... la formulation pose problème... un masculin ou un féminin doit être recyclé ou recyclée ?? Il serait mieux de mettre l'un ou l'autre selon les cas : cet article doit être recyclé ou cette section doit être recyclée --CUBALIBRE2 (d) 29 octobre 2009 à 12:41 (CET)[répondre]

Étymologie : « in monte berco » / « berc »[modifier le code]

"La plus ancienne mention du terme "Berg" se trouve dans le Cartulaire de la cathédrale de Viviers, recueil de chartes qui s’échelonnent entre 630 et 950. On y voit le gallo-romain Marcellus faire don de dix « colonies » (ou domaines), à l’église de Viviers. Ces propriétés étaient à prendre en particulier sur des biens qu’il possédait près de Villeneuve, « in monte Berco », dans la montagne de Berg." (site de villeneuve de berg) A ajouter quelque part dans l'article Etymologie de berg ou n'apporte rien?--CUBALIBRE2 (d) 1 décembre 2009 à 21:30 (CET)[répondre]

(Je continue sur cette page la discussion initiée sur ma page de discussion.)
Je suis d'accord avec vous, il serait intéressant de mentionner ceci dans la page de l'article « Étymologies de Bergoïata et de Berg dans l'Ardèche ». Il me semble que cela ne permet pas de pencher davantage vers l'une ou l'autre des explications avancées pour l'origine étymologique. Le fait qu'en ces temps anciens on disait « Berco », d'après cette source, est néanmoins intéressant car aucune des sources que j'ai vues à propos de l'étymologie ne donne d'explication sur le "c" de ce « Berco » et de la prononciation qui se disait autrefois « Berc » (cf. votre citation de Marius Ribon). Ces éléments, que les explications rattachant « Berg » au mot signifiant hauteur en celte ou en langue germanique n'expliquent pas, mérite donc d'être relevé, et pourrait indiquer que ces dernières explications ne seraient peut-être pas forcément les bonnes.
 
Ceci étant, je me demande si le site web de Villeneuve-de-Berg est une source 100% fiable et si la source originale dans le cartulaire de la cathédrale de Viviers ne disait pas « in monte bergo » plutôt que « in monte berco ». Par exemple, dans d'autres ouvrages qui citent de vieux documents en latins (mais peut-être pas les mêmes que celui/ceux du cartulaire de la cathédrale de Viviers), on lit « in monte bergo » avec un "g", cf. ici ou ici aussi ou ou encore . -- Carfois (d) 2 décembre 2009 à 17:43 (CET)[répondre]
Je suis admiratif Carfois! --CUBALIBRE2 (d) 2 décembre 2009 à 21:55 (CET)[répondre]


"Berck sur mer tire son nom d'un mot allemand "berg" qui fait référence à la dune qui s'élevait au centre du village." voir icipage 243 en haut à droite--CUBALIBRE2 (d) 3 décembre 2009 à 07:44 (CET)[répondre]
Merci pour cet intéressante étude de M Manzano dont vous donnez le lien. Non seulement effectivement, Berck-sur-Mer vient de du germanique berg, et non pas allemand, mais vieux bas francique (voire plus récemment flamand vu, qu'on est sur l'ancienne limite des parlers flamands, voir Westhoek français), mais avec lui tous les Berg du domaine alsacien, lorrain, les Barques et Barc de Normandie, les Bierghes de Wallonie, de Picardie, Bierges de Champagne etc.. Cela dit ça n'a aucun rapport, car on est la dans des régions où l'ensemble de la toponymie montre un fort apport germanique, où il y a eu certainement un bilinguisme roman / germanique au Haut Moyen age . Par conséquent ces berg la sont contextualisés. Ce n'est pas le cas de Berg qui se trouve dans une région où il n'y a aucun appellatif germanique dans la toponymie. Ce qui montre qu'il n'y a jamais eu de bilinguisme roman / germanique. S'il s'agit d'une emprunt, on voit pas trop ce que viendrait faire un emprunt isolé au germanique d'un mot berg qui désigne une réalité qui a un vocable dans toutes les langues, donc dans les langues vernaculaires. L'emprunt d'un mot étranger nécessite un apport technologique, culinaire ou autre
Aussi, faire remonter berg au germanique me semble fantaisiste et se base uniquement sur une ressemblance graphique. C. Cottereau (d) 25 novembre 2010 à 06:22 (CET)[répondre]