Discussion:Algorithmique répartie

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il me semble que ces deux articles doivent être fusionné sous le nom d'algorithme distribué. Il existe un déjà un article architecture distribuée. Les anglophone utilisent d'ailleurs le couple Distributed algorithms/Distributed computing. Le terme algorithme me semble plus large que le seul terme de calcul et le terme distribué. Vincnet G discuss 24 mai 2010 à 02:25 (CEST)[répondre]

Contre L'algorithmique répartie est une discipline théorique dans laquelle on écrit des algorithmes. On y prouve des équivalences, écrit des preuves d'impossibilité, etc. Le tout sur du papier, essentiellement, rarement sur des machines.
Le calcul distribué est une discipline appliquée dans laquelle on étudie les méthodes pour mener à bien un calcul, ou un type de calcul, sur une architecture donnée : supercalculateur, grappe de serveurs, système pair à pair, etc.
Les deux ont une forte tendance à se développer chacun de son côté, sans vraiment communiquer, souvent sans même se comprendre. Dans ces conditions, une fusion n'a pas de sens.
D'autre part, il me semble que pour le titre d'un article, on choisit généralement le nom d'une discipline plutôt que le nom des résultats qu'elle produit, donc algorithmique plutôt qu'algorithme. 0yP· 24 mai 2010 à 12:33 (CEST)[répondre]
Tu ne semble pas bien avoir lu ma proposition, il existe déjà un article architecture distribuée (d · h · j · ), cet article n'est pas pour l'heure en question. Le problème soulevé porte sur le terme calcul distribué, ce terme ne désigne qu'un des usages que l'on en fait de l'architecture distribué, un usage qui peut désigné plus ou moins n'importe quoi d'ailleurs. C'est pour cela que je pense qu'il ne faut faire que deux articles sur le sujet, un article sur l'architecture qui n'est pas en cause ici et un autre qui repose sur les notions logiciels qui utilisent cette architecture. Si le terme calcul est inapproprié, le terme d'algorithme est peut être aussi mal choisi, je te l'accorde. En outre Algorithmique répartie ne parle pas vraiment d'algorithmique et dis un peu n'importe quoi. Je site Le but d'un algorithme réparti est de masquer la répartition des sites à l'utilisateur.  ?? ceci ne veux rien dire, ce n'est pas l'algorithme qui cache la répartition, les algorithmes "font avec" des API disponibles qui elles permettent, éventuellement, de cacher l'architecture sous-jacente. Mais avec un terme pareil ne permettrait que de lister une liste d'algorithme ou de patron de conception spécialisé pour. Quel serait alors le meilleur titre pour un article parlant du logiciel des architectures distribuées.
PS:De plus cette fusion permettra d'uniformiser le terme reparti ou distribué autant que de supprimer le terme calcul. Vincnet G discuss 24 mai 2010 à 16:32 (CEST)[répondre]
J'ai lu ta proposition, je l'ai comprise, et je la rejette. En algorithmique répartie, on écrit des algorithmes et des résultats qui les concernent, à ne pas confondre avec des programmes / patrons / logiciels / bibliothèques / etc. Par exemple, le théorème de Fischer, Lynch et Paterson sur l'impossibilité du consensus dans un système réparti asynchrone relève de l'algorithmique répartie, et de rien d'autre dans ce que tu cites. Il n'a pas sa place dans le calcul distribué, et encore moins dans l'architecture distribuée.
Ensuite, il n'y a aucune raison de faire disparaître le mot calcul de ces articles, bien au contraire. Le calcul distribué est une discipline scientifique. On y envisage de nouvelles architectures logicielles destinées à tirer parti des architectures matérielles existantes ou à venir (ou qui ne viendront peut-être jamais, mais ceci est un autre sujet). On y cherche aussi des solutions pour faciliter le travail de l'utilisateur non spécialiste qui souhaite tirer parti d'une architecture distribuée. On y mène des tests et des mesures. Dire que ce n'est « qu'un usage […] » est extrêmement réducteur. Il ne faut quand même pas oublier que plusieurs conférences annuelles y sont consacrées, sans compter les journaux, les livres et autres publications.
L'architecture distribuée est encore autre chose On s'y intéresse aux processeurs, aux réseaux de communication, mais aussi aux problématiques de refroidissement des machines, de leur alimentation en électricité… le calcul distribué n'arrive que plus tard. D'où, d'ailleurs, des problèmes lorsqu'une architecture excellente sur le papier se révèle cauchemardesque à programmer.
Quant aux termes distribué et réparti, dans mon expérience, les théoriciens préfèrent souvent réparti et les praticiens distribué. D'où, évidemment, algorithmique répartie et calcul distribué. Ce n'est pas la seule bizarrerie terminologique en informatique, et ce n'est pas à Wikipédia de la « corriger ».
Enfin, sur l'état actuel des articles, c'est toujours pareil sur WP : tout est améliorable. Mais dans le cas présent, il est totalement clair pour moi que les trois sujets sont admissibles en eux-mêmes, et c'est ce qui compte. Il n'y a pas lieu de les fusionner. 0yP· 24 mai 2010 à 17:35 (CEST)[répondre]
Je trouve que ton raisonnement manque de rigueur, autrement dit il me semble que tu enfonces des portes ouvertes pour au final affirmer des choses incertaines. Ce que tu dis sur les architectures est vrai, je n'ai jamais dis le contraire, je ne conteste pas l'opportunité de cet article. Mais tu écrits que le théorème de Fischer, Lynch et Paterson sur l'impossibilité du consensus dans un système réparti asynchrone relève de l'algorithmique répartie, et de rien d'autre, ceci est faux. Par ailleurs le terme calcul n'induit pas une discipline scientifique, c'est, à moins que je me troupe, plus ou moins le nom donné à la simulation numérique ... sur ce type d'architecture. Or on ne fait pas que de la simulation sur ce genre de machine. Enfin si je montre plus haut que de nombreuses phrases sont douteuses car elles induise des choses fausses, c'est bien parce que c'est du fait même du titre, pas seulement parce que les articles ne sont pas bon. Vincnet G discuss 24 mai 2010 à 22:17 (CEST)[répondre]
J'ai travaillé dans un labo où certains chercheurs sont spécialisés en algorithmique répartie, d'autres en calcul distribué, et d'autres enfin en architectures matérielles, pas forcément distribuées. Les premiers considèrent FLP85 comme un des fondements de leur discipline, les deuxièmes l'ignorent ou ne le comprennent pas, les troisièmes ne sont pas concernés.
La simulation numérique est un petit exemple de calcul distribué. Il n'y a rien de mal à faire de la simulation numérique, mais de très nombreux autres types de calculs sont distribués aussi. Au hasard, casser une clé de chiffrement sur une grappe de serveurs est un calcul distribué, et ce n'est pas de la simulation. 0yP· 24 mai 2010 à 22:58 (CEST)[répondre]
Contre également. À ce stade il me semble nécessaire de reprendre quelques définitions pour que tout le monde soit bien d'accord et de catégoriser un peu tout. Prenons un exemple de calcul : une multiplication entre deux nombre. La méthode qui décrit comment on va effectuer en pratique ce calcul ( Calcul_(mathématiques) ) est nommée un algorithme, un algorithme est un moyen systématique d'effectuer un calcul. La science qui étudie les algorithmes, c'est l'algorithmique. Maintenant, une fois qu'on a des algorithmes pour faire des calculs, il faut bien exécuter ces algorithmes, et c'est là qu'interviennent les machines. La première étape c'est d'implanter ces algos dans les machines en question, c'est à priori à ce stade qu'on va se poser les questions d'architectures logicielles voire matérielle : quels éléments logiciels et matériels on va utiliser, et comment on va les organiser entre eux. Maintenant le côté réparti ou distribué : pour effectuer en pratique le calcul qu'on veut effectuer, on dispose d'une ou plusieurs machines (voire de plusieurs calculateurs humains éventuellement) qu'on aimerait exploiter pleinement. Dans ce cas, les algorithmes qu'on va implanter en machine devront avoir la propriété d'exploiter plusieurs calculateurs, et on parle d'algorithmes répartis. Algorithmes qui vont guidés les calculs distribués que vont faire les machines. Donc l'algorithmique et le calcul, c'est bien deux choses différentes même si bien sûr très liées ... TomT0m (d) 25 mai 2010 à 13:49 (CEST)[répondre]
PS:Si tu as une source pour les usages des termes répartie et distribué, je suis preneur. Vincnet G discuss 24 mai 2010 à 22:21 (CEST)[répondre]
Je ne suis pas sûr d'en trouver, c'est le genre de choses qui se transmet essentiellement par le bouche à oreille. Il faudrait peut-être chercher dans les cours disponibles sur Internet. 0yP· 24 mai 2010 à 22:58 (CEST)[répondre]

Évaluation[modifier le code]

Bonjour, Tous les algorithmes distribués que l’on considèrera dans cette partie seront dans le modèle LOCAL. On suppose que le graphe G est un cycle orienté muni d’une m-coloration. Tout sommet u possède une variable c(u) 2 f0; : : : ;m 􀀀 1g représentant la couleur du sommet u. L’orientation est définie en u par les relations prédécesseurs et successeurs, notées respectivement Pred(u) et Succ(u).

Montrer qu’en une ronde il est possible de calculer pour G une 4-coloration

si m = 6 en donnant l’algorithme correspondant. En déduire qu’il est possible de calculer une 3-coloration pour G en partie entier de(1/2log*m) + 2 ronds . On suppose maintenant que G est un graphe possèdant une 1-orientation, d