Discussion:Parti démocrate (États-Unis)

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Traduction du nom[modifier le code]

Je ne sais pas comment exactement les francophones ont referé à cette parti, mais les Americains qui sont démocrates ont un problème quand on appele le parti le "Parti démocrate" (ang: "Democrat Party"). Les démocrates appele leur parti le "Parti démocratique" (ang: "Democratic Party"), avec l'adjectif.

On est un "démocrate", Ils sont "démocrates", mais le parti est "démocratique". D'accord?

Comme tous les temps, pardonnez mon français terrible. --Alexwcovington 13 sep 2004 à 03:23 (CEST)

En français non, c'est bien parti démocrate. « Parti démocrate » veut dire que le parti est en faveur de la démocratie. « Parti démocratique » voudrait dire que le fonctionnement du parti est conforme à la démocratie, par exemple que son chef est élu, ou que son programme est décidé par les adhérents. Les deux peuvent être vrai, mais c'est clairemement le premier sens qui est voulu.
Not in French. "Parti Démocrate" means the party is in favor of democracy, fights for democracy. Démocratique would means it works as a democracy, which could imply that its chairman is elected by all members, or the platform is decided by a vote of all members. Both may be true, but the first meaning is clearly intendedDidup 25 octobre 2005 à 17:59 (CEST)[répondre]

"Le parti démocrate a par ailleurs perdu 7 des 10 dernières élections présidentielles bien que les 32 villes de plus de 500 000 habitants que comptent les États-Unis aient presque toutes voté démocrate lors de l'élection présidentielle de 2004 et que la majorité d’entre elles se trouvaient dans des États républicains." y'a pas une erreur ?

Parti démocrate (Etats-Unis)[modifier le code]

La caracterisation de la parti démocrate, celle de l'article, est completement fausse. Qui aurait pu ecrire des choses pareil!

Elle n'a pas de programme progressiste ou socialiste, et n'a pas d'origine dans aucune philosophie de gauche telle que la parti socialiste en France. Au contraire, l'origine du parti démocrate moderne ne pourrait pas être plus reactionnaire!

Elle se trouve aprés la guerre civile, dans une alliance des anciennes esclavagistes, connus comme "scalawags"; et nordistes descendus dans le sud pour profiter de la situation (comme en Irak aujourd'hui!), connus comme "carpetbaggers" parce que il remontaient au nord avec des valises remplies d'argent.

Leur programme fut "states' rights", c'est à dire le droit des états -- c'est à dire que la parti revendiquait la retraite de l'armée féderale des anciens états esclavagistes et la fin de la "reconstruction" sous laquelle les anciens esclaves étaient reconnus comme citoyens des Etats-Unis en tout droit, pouvant voter et être elu (il existaient des elus noirs un siècle avant Martin Luther King!). Le programme démocrate était réalisée dans l'année 1876, dix ans aprés la fin de la guerre civile, treize ans aprés la proclamation de l'émancipation des esclaves, avec le "grand compromis". Ce qui reste l'évènement déterminante de l'histoire des Etats-Unis.

Le Ku Klux Klan servait effectivement comme bras de terreur de la parti démocrate, pour repousser les noirs dans un état proche de l'esclavitude et d'aloigner les pauvres blancs des noirs; plus tard, la parti démocrate, victorieuse dans tout les états du sud, formalisait cette situation dans le systême de ségregation légale connu comme "Jim Crow".

La parti démocrate cherchait ses voix dans les couches populaires du nord, avec un discours populiste et démagogue, fortement axé sur le racisme. Voilà comme elle peut apparaitre comme une parti populaire, opposée à la grande bourgoisie victorieuse et tout-puissant.

Cent ans plus tard, dans les années 1960, la ségregation raciale légale fut supprimée sous la presidence du démocrate Johnson, face à l'opposition de la faction sudiste de la parti, par une amendement de la constitution. Mais la mobilisation en masse des noirs était déja tel que la ségregation raciale ne marchait plus et devait être enterrée légalement. Ailleurs, les premiers interventions de l'état féderale pour soutenir les revendications des noirs des états du sud (l'integration des écoles publiques et les universités, par exemple) parvenait sous les présidences du républicain Eisenhower.

La caracteristique des Etats-Unis est justement de ne pas avoir, et de n'avoir jamais eu, une parti de gauche.

l'andorran 08 novembre 2004

Je viens de lire la version de l'article à la date de votre message. Il était réduit à pas grand chose, et à part des listes de présidents et une brève histoire, se cantonne à lister en peu de mots quelques éléments de la plateforme démocrate actuelle. La liste donnée laisse penser que l'auteur y a mis, à l'envers, tout ce qu'il reproche au président actuel. L'hétérogénéité idéologique des grands partis américains est passé sous silence. Cependant, sur tout les points cités, il est bien clair qu'il ont plus de soutien au sein du parti démocrate que du parti républicain.
Votre critique me semble confuse et finalement irrecevable. L'origine du parti démocrate, dites-vous, ne saurait être plus réactionnaire : vous donnez un aperçu historique, et si le résumé devait en être que les démocrates du Sud ont été partisans de l'esclavage et de la ségrégation, et les démocrates du Nord très souvent partisans de les laisser faire, je serai d'accord. Il y aurait à vous reprendre sur de nombreux points, sur lesquels vous êtes dans l'exagération manifeste (le clan bras armé du parti) ou dans l'erreur factuelle : la déségrégation a connu des débuts timides sous Roosevelt, poursuivis et amplifiés sous Trumann, époque à laquelle les plaignants dans Brown v. Board of Education ont eu un soutien sans faille du département de la justice devant la Cour suprême, même si la décision a été rendu sous Eisenhower, moins enthousiaste. La ségrégation a été effectivement démantelée sous Johnson, (démocrate du Sud, atypique) et il n'y est pas pour rien. Il a eu le soutien des démocrates du Nord. Pas d'amendement constitutionnel, sauf un tout petit sur l'interdiction de conditionner le vote au paiement d'un impot. Plus significativement, vous ignorez consiencieusement qu'il y avait des démocrates dans le Nord - ou plutôt, vous les présentez comme une émanation de ceux du Sud. Enfin, vous placez l'origine du parti au moment qui vous arrange, dans les années 1870/1880.
Aux outrances et aux erreurs près, l'histoire du parti a bien entendu sa place dans l'article. Elle ne suffit pas à disqualifier la caractérisation du parti actuel (d'autant que les démocrates du Sud sont nombreux à être passé au parti républicain dans les années 1970/1980). Votre fureur porte-elle alors sur le seul mot « Gauche »? Le parti n'est guère socialiste, si vous entendez par là favorable à la propriété publique des moyens de production, et ne l'a jamais été. Vous risquez de ne plus en trouver beaucoup en Europe non plus aujourd'hui. Vous vous faites le gardien de votre propre définition. Le mot a un sens beaucoup plus large, et très imprécis. C'est une direction plus qu'un lieu. Dire que, dans le jeu politique américain, le parti démocrate représente aujourd'hui la gauche est parfaitement raisonnable, il est à l'évidence à gauche de l'autre parti. Didup 25 octobre 2005 à 17:59 (CEST)[répondre]

Gauche et droite[modifier le code]

Situer le parti démocrate à gauche et le parti républicain à droite est inexact. En fait les deux partis ne se situent pas à gauche ou à droite mais ce sont ces dernières qui agissent au sein des deux partis et selon les époques, la gauche et la droite y sont plus ou moins forts.

Le parti démocrate a été un parti réactionnaire ou/puis populiste jusqu'à la présidence de Roosevelt. Entre 1968 et 1992, il a dérivé plus vers la gauche (sans jamais devenir socialiste) mais s'est recentré au centre-centre droit avec Clinton.

Les républicains, à l'origine le parti des Yankees puritains, des industriels et de la bourgeoisie, ont dérivé vers le conservatisme et la droite depuis 1964 (hormis la période 1989-1993).

Géographiquement, les démocrates du sud sont souvent plus à droite que les républicains de Nouvelle Angleterre. Les républicains de New York sont plus à gauche que ceux du Texas. Chaque émanation locale des deux partis peut situer le parti au centre, vers la gauche ou vers la droite. Ce qui explique que des démocrates d'Alabama ou de Géorgie votent Bush aux présidentielles et que des républicains de Nouvelle Angleterre ou de Californie votent Kerry.

Enfin, les militants des deux partis sont souvent plus radicaux que les électeurs ou sympathisants. Georgio 25 octobre 2005 à 23:40 (CEST)[répondre]


D'accord sur l'analyse de Georgio mais on peut considérer aujourd'hui que l'orientation globale du Parti républicain est la droite, le conservatisme depuis las années Reagan et sa "la révolution conservtrice". L'orientation globale du Parti démocrate est le centre gauche, tiraillé entre progressime et centrisme depuis les années Clinton et sa "troisième voie". Thibault.dumas 10 décembre 2006 à 16:40 (CEST)[répondre]

Il est en effet très génant de continuer à lire l'opposition gauche/droite comme clef pour l'histoire politique US. En France, c'est à l'opposition souverainiste:jacobin contre fédéralistes:démocrates qu'il faudrait se référer, (avec des deux côté des gens de gauche ou de droite).

On aurait intéret à préciser comment les valeurs d'origine des Démocrates (refus d'un état central écrasant la communauté et l'individu, refus du contrôle de l'expension de l'entreprise famililale par une banque centrale, par une taxation douanière, par une réglementation antiesclavagiste) les conduisent à s'appuyer sur un sentiment hostile aux élites industrielles WASP protectionnistes monétaristes du Nord, en tentant d'obtenir le soutien des immigrants et des pionniers, ce qui les conduit à élire des présidents anti élitistes favorisant une expension territoriale au profit de propriétaires terriens (Jefferson d'une certaine façon, Jackson, Polk).

Le parti New Yorkais (dont la base commerçante hollandaise puis ouvrière irlando-juive et l'encadrement libéral)d'accord sur le refus d'une domination des élites fédéralistes WASP finit tout de même par s'opposer aux esclavagistes (par goût de la liberté et vision christique de l'égalité, mais aussi par opposition entre les deux modèles d'appropriation des sols dans l'Ouest conquis en 1848), ce qui conduit à l'éclatement du parti (Van Buren) et indirectement à la guerre civile devant l'échec de ceux qui voulaient maintenir un compromis Le Sud (Démocrates conservateurs) s'oppose aux carpetBackers et aux noirs, en s'appuyant sur les démocrates du Nord plus libéraux, et surtout en profitant de l'incapacité des Républicains à représenter les minorités (imigrants, pionniers, mais aussi natifs)ce qui leur permet d'abord de clore la "reconstruction" (1876) puis même de profiter de la faiblesse des Républicains, trop restrictifs sur le contrôle de la monnaie pour les pionniers et les agriculteurs de l'Ouest, les commerçants du Nord pour faire élire deux fois l'un des leurs à la présidence(CLEVELAND)sur un programme de libre échange acceptant un compromis monétaire avec l'élite capitaliste. Pour obtenir le soutien des électeurs de l'ouest, le parti glisse alors vers un discours plus populiste qui, au nom d'une vision christique s'oppose aux restrictions monétaires(Bryan soutenant le bimetallisme). Trois echecs montrent un archaisme du parti, dont les branches sud et new yorkaise sont archaiques et souvent corrompues.

Il faut attendre l'arrivée d'un des modernistes réformateurs, (WILSON)intellectuel universitaire qui et profite des divisions entre républicain traditionnels et réformateurs (Th Rosevelt). Elu sur le slogan d'une new society il modernise le programme du parti(acceptant la banque centrale, développant les libertés, élargissant la politique démocrate à l'échelle internationale: l'exigence du libre échange devient la demande de la liberté des mers, celle du refus d'un état fort, devient le refus des impérialismes et des états autoritaires, Empire centraux et dictaures de droite ou de gauche mexicaine). L'opposition entre les anciens (isolationisme moral et chretien de Bryan) se fait sur la guerre après la réélection de 1916 qui consuit à un épisode de dirigisme. Mais le retour aux libéralismes (politique vote des femmes, économique aussi) s'accompagne d'un rève de structuration international qui échoue (vote isolationiste permettant le retour des Républicains). Ni le moralisme des démocrates conservateurs du Sud, ni la question ouvrière et syndicale autour de N-York ne permettent de reconstituer une alternative crédible aux républicains qui par la prohibition et le laisser faire en économie ont "asséché" les points d'appui des démocrates.

Leur échec après la crise de 29 provoque l'arrivée du Wilsonien Roosevelt (candidat à la vice présidence en 1920) sur un programme qui fait la synthèse entre les démocrates traditionnels, le Wilsonisme et une perception du rôle de l'état héritée de son cousin, le républicain modernisteur Th Roosevelt. Le refus d'un état central écrasant la communauté et l'individu se marque par la fin de la prohibition ou sa lutte contre la conservatrice cour surpème, mais l'état devient le protecteur de l'entreprise famililale, de l'agriculteur ou de l'individu, par une intervention technique (conseillers du brain trust) qui garanti ses droits. Ce new deal modifie l'electorat des démocrates (en captant définitivement l'espace des syndicats )au profit des intellectuels souvent plus à gauche que les traditionnels sudistes conservateurs auquel il ne conteste toutefois pas la possibilité de conserver un système ségrégatif. Son Wilsonisme armé (contesté en interne par le père Kennedy sur des bases isolationnistes) conduit ses successeurs à un antitotalitarisme qui en fait des anticommunistes marqués.

Socialement, la période Truman accèlère les politiques du Welfare State.la partie gauche est la democrate et la partie droite est republicain

Distinction[modifier le code]

Si on se limite aux 2 grands partis, la gauche n'existe pas aux Etats-Unis, comme dans de nombreux pays dans le monde ! La gauche est un concept de la vieille Europe (avec des exceptions) bien représenté par les pays où le communisme a joué un rôle majeur à un moment de l'Histoire, et également présent en Amérique du Sud avec l'affirmation des communautés écartées des pouvoirs du pays. Le Parti Démocrate est un parti libéral : il n'est ni communiste, ni socialiste, ni écologiste, il n'est donc pas "de gauche" (d'après la conception française de la politique).

Convention[modifier le code]

Euh comment se fait-il que le mot "convention" n'apparaisse pas une seule fois dans l'article ? Quid du jour où sont désignés les candidats à la présidentielle ? Petit Djul tolc2mi - 20 décembre 2009 à 11:12 (CET)[répondre]

Classe ouvrière blanche[modifier le code]

On peut lire à l’heure actuelle dans l’article : « [Le Parti démocrate] est donc traditionnellement la « grande tente » dans laquelle les minorités se retrouvent, qu'elles soient ethniques […] ou sociologiques (la classe ouvrière blanche, […]). » ; j’ai un gros doute concernant la classe ouvrière blanche : il me semblait qu’elle penchait majoritairement pour le Parti républicain (je ne trouve pas de statistiques suffisamment pertinentes, mais il est au moins acquis que les Blancs ont nettement voté en faveur des Républicains lors des élections de mi-mandat de 2010). Il faudrait une référence pour appuyer cette affirmation, ou l’infirmer le cas échéant ; en attendant, je retire dans le doute puisqu’il me semble que c’est une erreur relativement importante dès l’introduction. — SniperMaské (d) 24 février 2011 à 02:00 (CET)[répondre]

L'article de Corine Lesnes (Le Monde) en référence dans l'introduction, indique que Cette année [2008], la coalition noire et classe ouvrière blanche, qui forme l'ossature du parti depuis quarante ans, est à l'épreuve. De nombreux syndicats (transports, enseignants ...) sont notamment connus pour être proches du parti démocrate et d'apporter des fonds, provenant des cotisations obligatoires, pour les campagnes électorales démocrates (voir le débat actuel au Wisconsin où le nouveau gouverneur tea party, Scott Walker, pourrait remettre en cause cette obligation de cotisation dans certains secteurs). Frank Hopper (d) 24 février 2011 à 10:16 (CET)[répondre]
Effectivement, mais il faudrait une source primaire (un sondage par exemple) pour confirmer l’affirmation de la journaliste : il y a parfois des erreurs gravissimes dans la presse, donc une confirmation « en dur » est nécessaire ; d’ailleurs, je remarque que le commentaire le plus récent sous l’article même du Monde en question fait montre du même scepticisme que moi (gras ajouté) :
« Il n'est pas clair du tout que les minorites hispaniques et asiatiques votent democrate. De meme pour les ouvriers blancs. Apres 20 ans passes aux US, je n'ai jamais entendu quelqu'un ce plaindre des "inegalites". A l'inverse de leur equivalents Francais, les Americains ne considerent pas necessairement que l'intervention de l'Etat est une solution aux probleme du pays, surtout les problemes economiques. Beaucoup d'Americains tendent a considerer toute aide de l'etat avec dedain. ».
J’ajoute que les enseignants ne constituent pas une partie de la classe ouvrière (notion certes floue, mais je pense qu’on ne va pas se risquer à qualifier les profs de prolos) ; par ailleurs, les données sur le vote blanc que j’ai signalées précédemment tiennent toujours et continuent de jeter un sérieux doute à mes yeux. — SniperMaské (d) 6 mars 2011 à 04:45 (CET)[répondre]

Parti démocrate pas moins conservateur que le parti républicain?[modifier le code]

Les bandeaux non neutre et référence nécessaire, apposés en introduction de l'article sur une affirmation aussi banale et évidente pour tous ceux qui ont un minimum de culture politique, sont vraiment une mauvaise blague qui décridibilise la Wikipédia francophone. Le fait qu'une frange minoritaire des Démocrates soit plus conservatrice que la minorité la plus libérale des Républicains ne retire rien au fait que les Républicains sont le plus souvent bien plus conservateurs (et le revendiquent!) que les Démocrates. Il ne doit vraiment pas être difficile de trouver des tonnes d'analyses sérieuses et bien documentées sur ce sujet. El Comandante (d) 12 février 2012 à 12:35 (CET)[répondre]

Neutralité[modifier le code]

Merci de nettoyer. --Chôji 17 juillet 2014 à 23:06 (CEST)

"bipartite", ce n'est pas du français[modifier le code]

Cherchez dans tous les dictionnaires, bipartite dans le sens utilisé ici, ça n'existe pas --79.81.159.15 (discuter) 1 février 2016 à 19:13 (CET)[répondre]

Il semble que si → du moins ici. --——d—n—f (discuter) 1 février 2016 à 19:16 (CET)[répondre]
Conflit d’édition TV5, Le Dictionnaire, Académie française , L'Internaute ; et autres. Donc si, « bipartite » est un terme tout à fait correct. ▸Fugitrn, le 1 février 2016 à 19:19 (CET)[répondre]
En fait, le sujet ne m'intéresse absolument pas, alors si vous êtes persuadés d'avoir raison d'avoir tort, faites, faites... Genyornis est quand même plus intéressant que Canard Trompe --79.81.159.15 (discuter) 1 février 2016 à 19:44 (CET)[répondre]

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

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Comme cela a été dit dans la discussion, mais cela figure toujours dans l'article, le parti démocrate n'est pas de gauche. Pas plus que de droite. C'est un parti libéral alors que le parti républicain est conservateur. C'est regrettable de vouloir - je pense que c'est par volonté de vulgarisation - d'induire en erreur des lecteurs français en utilisant des catégories européennes, voire française. Au parlement européen, le groupe PPE auquel appartient la droite française est aussi conservateur. L'évolution récente de la politique française va dans ce sens. Je crois que l'on peut dire aujourd'hui que LREM est un parti libéral et que le nouveau positionnement de LR est conservateur.


Commentaire personnel X.Martin-Dupont -----------

J'abonde dans le même sens techniquement on transpose un concept qui a sens très clair en France dans un pays où il ne fait pas sous cette forme, les clivages politiques ne sont pas du même ordre.

En conséquence de quoi l'article non seulement est de nature à induire en erreur un lectorat francophone mais il perd aussi en neutralité voir même à ce stade je le considère comme non Neutre.

Ne serait pas plus simple d'utiliser le terme de Progressiste - en matière de moeurs, de droit des minorités etc - que le terme de gauche ?

Aux USA ce que vous désignez comme gauche existe mais sous une autre forme, vous avez eu un mouvement socialiste, un mouvement syndical, un mouvement anarchiste, le mouvement des droits civiques et plus largement celui des noirs américains pour leur droits, le mouvement des femmes, un mouvement pacifiste pendant la guerre du Vietnam ce qui caractérise d'abord quand elle (la gauche) s'incarne finalement, c'est d'abord dans des mouvements de société et non pas d'abord dans sous forme de clivages entres partis politiques comme en France

En termes de parti dans l'histoire américaine : Un parti socialiste américain et le parti communiste américain mais il n'ont jamais prospéré dans le bipartisme Républicain/Démocrate, il n'ont jamais été en position de le faire. D'ailleurs vous avez des articles Wiki consacré à ces sujet il suffit simplement d'y renvoyer.

et de remplacer gauche pour chaque du texte par progressiste à partir du moment où cela devient pertinent. ce qui permettra au passage d'éliminer d'autre confusion du style Clinton centre doit ça ne veut rien dire. Économiquement, il poursuit la ligne républicaine celle de la dérégulation des marchés.

L'encyclopédie elle doit au maximum descriptive et nos interprétation personnelle on est censé les garder pour nous et là caractériser le parti démocrate comme de gauche c'est une interprétation. Progressiste à partir d'une certaines époque ou a différent moment un constat factuel.

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil[modifier le code]

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