Flogny-la-Chapelle

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Flogny-la-Chapelle
Flogny-la-Chapelle
L'église Saint-Léger.
Blason de Flogny-la-Chapelle
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Yonne
Arrondissement Avallon
Intercommunalité CC Le Tonnerrois en Bourgogne
Maire
Mandat
Franck Mansanti
2024-2026
Code postal 89360
Code commune 89169
Démographie
Gentilé Capello-Floviniens
Population
municipale
938 hab. (2021 en diminution de 9,37 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 57′ 11″ nord, 3° 52′ 23″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 183 m
Superficie 23,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tonnerre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Tonnerrois
Législatives 2e circonscription de l'Yonne
Localisation
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Flogny-la-Chapelle
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Flogny-la-Chapelle
Liens
Site web http://flogny-la-chapelle.fr/

Flogny-la-Chapelle est une commune française située dans le département de l'Yonne en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Flogny-la-Chapelle est un bourg de l'Yonne limitrophe du département de l'Aube et situé à 12 km à vol d'oiseau au sud-est de Saint-Florentin, 23 km au sud-ouest de Chaource, 14 km au nord-ouest de Tonnerre et 28 km au nord-est d'Auxerre.

Il fait partie de l'Aire d'attraction de Tonnerre, de la zone d'emploi d'Auxerre et du bassin de vie de Saint-Florentin[I 1]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Chessy-les-Prés, Les Croûtes, Marolles-sous-Lignières, Percey, Dyé, Bernouil, Carisey et Villiers-Vineux.

Communes limitrophes de Flogny-la-Chapelle
Les Croûtes
(Aube)
Chessy-les-Prés
(Aube)
Percey
Villiers-Vineux
Flogny-la-Chapelle Marolles-sous-Lignières
(Aube)
Carisey Dyé
Bernouil

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 23,75 km2 ; son altitude varie de 112 à 183 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.
Écluse sur le canal.

La commune est traversée d'est en ouest par :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 753 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chessy-les-Pres_sapc », sur la commune de Chessy-les-Prés à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 756,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −22,2 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Flogny-la-Chapelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tonnerre, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,3 %), terres arables (30,1 %), prairies (21,6 %), zones urbanisées (4,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 584, alors qu'il était de 574 en 2015 et de 557 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 78,6 % étaient des résidences principales, 11,6 % des résidences secondaires et 9,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 81,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 18,5 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Flogny-la-Chapelle en 2020 en comparaison avec celle de l'Yonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (11,6 %) supérieure à celle du département (10,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Flogny-la-Chapelle en 2020.
Typologie Flogny-la-Chapelle[I 3] Yonne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 78,6 77,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 11,6 10,6 9,7
Logements vacants (en %) 9,8 12 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Flogny-la-Chapelle est desservie par l'ancienne RN 5 (actuelle RD 905) qui la relie à Saint-Florentin et à Tonnerre.

Elle est traversée par la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles, mais la gare de Flogny, ouverte en 1849, est désormais fermée. La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Tonnerre desservie par des trains express régionaux des relations Paris-Bercy - Dijon-Ville et Auxerre-Saint-Gervais (ou Laroche - Migennes) - Dijon-Ville.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Dans son ouvrage de 1990 intitulé Histoire de Flogny-la-Chapelle et édité par la Société d'Histoire et d'Archéologie du Tonnerrois, Pierre Zlatoff indique qu'au début du Ve siècle de nouveaux villages naissent et certains portent le nom de leur maître comme Flogny ou Flavigny qui ont la même origine : Flavuniacum.

Le suffixe -acum indique qu'il s'agit d'un bien appartenant à Flavinius. Le mot s'est ensuite transformé en Flauiniacum, puis en Floniacum, avec de multiples variantes intermédiaires pour devenir Flougny ou Floigny et finalement Flogny.

Les habitants devraient être les Flaviniens, mais la consonance définitive de la commune en a fait des Floviniens

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Des fouilles menées à Flogny ont permis de mettre au jour des sépultures gallo-romaines. Cependant dans son livre édité en 1973 Tonnerre et son Comté, Jean Fromageot émet un avis réservé sur le lieudit Camp romain le long de l'Armançon, dont l'origine serait postérieure à cette époque.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Via la Seine, l'Yonne et l'Armançon, les Normands menèrent de nombreuses incursions jusqu'en amont de Tonnerre.

Dans l'ouvrage Tonnerre et son Comté, Jean Fromageot nomme comme étant « les combattants de Flogny » les participants à une bataille livrée en décembre 898 et rapportée comme suit par les Grandes Chroniques de France : « En son temps vinrent Normands derechef et entrèrent par devers Bourgogne jusques à Saint-Florentin et Richard le Duc de Bourgogne assembla son ost et leur alla à l'encontre en la contrée de Tonnerre; grand multitude en occit et li remanianz (survivants) s'enfuirent… ».

Ce n'est qu'avec le traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911 que cesseront les raids normands.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

En 1726 les habitants de Flogny eurent à subir la peste qui sévissait dans le comté de Tonnerre[réf. nécessaire].

De plus cette année-là, un incendie détruisit presque entièrement le village. Lors de la reconstruction, les villageois décidèrent de détruire les murailles qui ceinturaient le bourg et de les remplacer par une promenade ombragée[15]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Un pâtissier parisien, Liénard, qui avait comme spécialité des ramequins au fromage est venu s'installer à Flogny au début du XIXe siècle. Il a modifié sa recette pour en faire ce qui est connu aujourd'hui sous le nom de gougère : une pâte à chou au Comté. Elle était alors un gâteau à couper en parts et était servie en entrée[16]. Elle s'est très vite répandue en Bourgogne.

Avant 1828, les habitants de Flogny et des villages aux environs n'avaient d'autre moyen pour passer sur la rive gauche de l'Armançon que par un bac entretenu par le propriétaire du moulin de ce lieu (…) son pays offrit de faire construire le pont suspendu de Flogny moyennant 37 000 francs[17].

XXe siècle[modifier | modifier le code]

Dans les années 1950, une classique cycliste reliait Paris à Flogny. En 1953, elle fut remportée par l'Icaunais Vital Gérot.

La commune de Flogny, instituée par la Révolution française fusionne avec La Chapelle-Vieille-Forêt en 1971 et prend le nom de Flogny-la-Chapelle[1],[I 1],[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Avallon du département de l'Yonne[I 1].

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Flogny-la-Chapelle[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Tonnerrois[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Yonne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Flogny-la-Chapelle était le siège de la petite communauté de communes d'Othe-en-Armançon, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a été dissoute, et trois de ses communes, dont Flogny-la-Chapelle rejoignent, le , la communauté de communes Le Tonnerrois en Bourgogne[I 1].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs depuis la fusion de Flogny et de La Chapelle-Vieille-Forêt
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1971 1973 Pierre Zlatoff[19]   Médecin
juillet 1973 novembre 1973 Marcel Blandin    
novembre 1973 1977 Georges Barillon    
1977 1989 Paul Cherest    
1989 1995 Paul-Henri Balacey[19]    
1995 avril 2014 Claude Depuydt[19],[20]   Électricien
avril 2014[21] mai 2020[22] Jean-Paul Bouvet[19]   Électricien
mai 2020[23] janvier 2024[24] Claude Depuydt[19]   Électricien à la retraite
Démissionnaire
juin 2023[25] En cours
(au 15 avril 2024)
Franck Mansanti    


Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].

En 2021, la commune comptait 938 habitants[Note 4], en diminution de 9,37 % par rapport à 2015 (Yonne : −2,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
308308313334406394392403442
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
422418404465483501502504452
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
472492467409409393409434390
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
4104731 1371 0821 0701 0991 0101 0101 033
2015 2020 2021 - - - - - -
1 035946938------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Tous les ans, le 3e dimanche de mai, est célébrée la Fête de la gougère à Flogny-la-Chapelle avec animations, concours et expositions.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'ancienne fromagerie, propriété privée :
    François Paul-Renard (1902-1958), originaire de l'Est de la France, installe sa fromagerie en 1926 dans l'ancien moulin de La Chapelle Vieille Forêt. Il est le co-inventeur d'une technique permettant une fabrication de fromages à pâte molle. La fromagerie de Flogny-la-Chapelle sera notamment connue pour sa fabrication de marques de fromages industriels Suprême des Ducs et Pié d'Angloys. Après avoir employé plusieurs centaines d'ouvriers pendant des décennies, l'usine ferme en juin 2009. L'appel de main-d'œuvre qu'elle a engendré est à l'origine de l'arrivée d'immigrés d'origines variées. Nombre d'entre eux ont fait souche à Flogny-la-Chapelle et ses environs. En 2020, on peut encore voir l'imposant complexe de l'usine située entre le canal de Bourgogne et l'Armançon[29].
  • L'église Saint-Léger de Flogny-la-Chapelle :
    Elle a été commencée en 1101. Il reste encore le portail et un oculus du XIIe siècle. La chapelle Saint-Jean-Baptiste a été fondée en 1356. Le cœur actuel date du XVIe siècle et la tour a été terminée en 1664. La nef a été entièrement refaite en 1877. Le cimetière qui entourait l’église dans les siècles passés est déplacé en 1960.
  • L'église Saint-Hubert de Flogny-la-Chapelle.
  • Lavoir en contrebas du canal[30]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

La maison de Charles Laubry au début du XXe siècle.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e « Commune de Flogny-la-Chapelle (89169) - Commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2024), sur https://www.insee.fr (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Flogny-la-Chapelle - Section LOG T1 » (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Flogny-la-Chapelle - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans l'Yonne - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Flogny-la-Chapelle et Chessy-les-Prés », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chessy-les-Pres_sapc », sur la commune de Chessy-les-Prés - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Chessy-les-Pres_sapc », sur la commune de Chessy-les-Prés - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tonnerre », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Jean Fromageot, Tonnerre et son Comté, 1973
  16. Pierre (1836-1902) Auteur du texte Lacam et Antoine Auteur du texte Charabot, Le glacier classique et artistique en France et en Italie / par Pierre Lacam,... Antoine Charabot,..., les auteurs, (lire en ligne).
  17. Recherches historiques sur la rivière d'Armançon, le flottage des bois des comtes de Tonnerre au XVIe siècle, etc. / par Max Quantin - 1888. En ligne sur Gallica[source insuffisante].
  18. « Dominique Zlatoff réédite le livre de son père », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pour marquer le cinquantenaire de la commune, une édition spéciale du livre écrit par le docteur Pierre Zlatoff sur l’histoire de Flogny-la-Chapelle et les villages environnants a été éditée par son fils Dominique, augmenté de mises à jour ».
  19. a b c d et e « Trois maires autour d’une table », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Un face-à-face amical et des discussions à bâtons rompus entre Paul-Henry Balacey (93 ans), maire de 1989 à 1995, Claude Depuydt, maire de 1995 à 2014 et à nouveau depuis 2020, et Jean-Paul Bouvet, maire de 2014 à 2020 ».
  20. Marc Charasson, « Une matinée dans les pas du maire de Flogny-la-Chapelle », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Jean-Paul Bouvet revêt l’écharpe de maire », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Paul Bouvet a été élu maire avec 13 voix, un bulletin blanc et un nul ».
  22. « Jean-Paul Bouvet a présenté sa liste », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu depuis 1995, assurant deux mandats comme conseiller, un mandat d'adjoint et un mandat de maire, déterminé et voulant poursuivre son engagement, il a réussi à rassembler une nouvelle équipe rajeunie ».
  23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Coup de tonnerre à Flogny-la-Chapelle : le maire annonce qu'il démissionne lors de la cérémonie des vœux », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Flogny-la-Chapelle a désormais un nouveau maire », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Franck Mansanti a été élu maire en recueillant 9 voix sur 15, contre 6 voix pour Jean-Bernard Cailliet ».
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Une exploration en images dans la fromagerie abandonnée de Flogny-la-Chapelle », L'Yonne républicaine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Lavoir de Flogny-la-Chapelle (canal de Bourgogne) », notice no IVR26_20138900062NUC4AQ, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture